Discussion:Énergie en France

Dernier commentaire : il y a 1 mois par Fabius Lector dans le sujet Politique énergétique en France
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Correction sur le taux du nucléaire dans la production d'électricité

modifier

C'est bien la Slovaquie puis la Belgique qui sont derrière la France pour ce taux, la source à laquelle se réfère Jpjanuel omet tout simplement ces deux pays ! Toutes les autres sources concordent (la Corée du Sud est loin derrière ...) CF par exemple le tableau à droite du texte ou encore la World Nuclear association en 2012, je ne connais pas les taux futur mais il y a fort à parier que l'Ukraine et la Corée du Sud resteront derrière.

Vous devez être très étourdi, sans quoi vous auriez vu que l'ensemble du chapitre présente les données 2010 de l'Agence Internationale de l'Énergie ; vous ne pouvez pas remplacer une de ces données sans modifier aussi la date et la référence, sinon on est en pleine incohérence. Je rectifie donc, mais j'ajoute vos données entre parenthèses et avec référence à votre source WNA. Par ailleurs, vous n'êtes pas inscrit à Wikipédia et vous ne signez pas vos messages : pour apprendre comment le faire, voir Aide:Signature/résumé) ; pour finir, lorsqu'on ajoute un sujet dans une liste de discussion, on le met à la fin de la liste des sujets et non au début.--Jpjanuel (d) 6 août 2013 à 10:25 (CEST)Répondre
Le document de l'AIEA ne donne les pourcentages de production que des plus gros producteurs, donc la Belgique et la Slovaquie ne figurent pas malgré la part importante de production nucléaire dans ces pays. Il faut prendre le tableau de la WNA qui est plus complet et plus exhaustif (cf le graphique correspondant de la page wikipedia). Cdlt.--Thepat (d) 6 août 2013 à 15:17 (CEST)Répondre
vous êtes vraiment incapable de prendre en compte les arguments des autres, vous ne tenez aucun compte de la cohérence du chapitre, qui donne les classements de l'IEA (et non pas de l'AIEA comme vous semblez le croire) pour l'ensemble des énergies ; j'ai accepté de citer vos chiffres WNA en plus de ceux de l'IEA, que demandez-vous de plus ? si vous ne cessez pas cette guerre d'édition , je vais être obligé de demander des sanctions contre vous à un administrateur de Wikipédia.--Jpjanuel (d) 6 août 2013 à 17:19 (CEST)Répondre
Avant de traiter les autres participants d'étourdis et d'incapables, merci de garder votre calme et de lire (ou re-lire) la page 17 du document de l'AIE cité en référence : dans le tableau de droite qui mentionne les % de production nucléaire, il n'est fait mention que des "top-ten producers" ce qui exclut de fait les petits pays comme la Belgique et la Slovaquie de ce classement, comme je l'ai mentionné dans mon message précédent. Pour avoir un classement exhaustif il faut donc prendre d'autres données, par exemple les chiffres la WNA (qui ne sont pas mes chiffres contrairement à votre affirmation). Car, sur ce point (% de production d'électricité d'origine nucléaire) les classements donnés dans ces 2 références ne sont pas cohérents : celui de l'AIE ne donne que les "top-ten producers" celui de la WNA donne tous les producteurs d'électricité d'origine nucléaire (pour votre info, le classement en 2010 est, par exemple, présenté dans le graphique suivant que j'avais fait en 2011: http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/archive/d/d4/20130616133253%21Pourcentage_%C3%A9lectricit%C3%A9_origine_nucl%C3%A9aire.gif/120px-Pourcentage_%C3%A9lectricit%C3%A9_origine_nucl%C3%A9aire.gif ) . CQFD. Je peux effectivement comprendre que le document de l'AIE peut préter à confusion sur ce point (il faut bien prendre en compte la mention "top-ten producers"). Je vous laisse corriger cet article en conséquence (ainsi que la section 1 de l'article "électricité en france") et vous remercie déjà d'avoir "accepté de citer "vos" (les!) chiffres WNA en plus de ceux de l'IEA, que demandez-vous de plus?"(sic). Merci de clore cet échange fratricide (nb: je ne suis pas l'auteur du 1er paragraphe non signé qui a initié cet échange). Personne n'est infaillible ;-) Cdlt. --Thepat (d) 7 août 2013 à 07:24 (CEST)Répondre
Enfin tout s'éclaire ! Vous avez raison : le document de l'AIE prête vraiment à confusion. Mais comprenez ma réaction lorsque j'ai vu qu'un utilisateur non enregistré avait fait des modifs sans fournir les références de ses sources ni modifier la date du classement ; nous sommes si souvent confrontés à des débutants inexpérimentés qui font n'importe quoi, ou même à des saboteurs... Je vais donc modifier le paragraphe en enlevant les données AIE, puisqu'elles ne sont pas exhaustives sur ce point. Mais, sans vouloir vous vexer, vous devriez faire attention à vous identifier avant d'intervenir sur le contenu de Wiki, cela éviterait des malentendus comme celui-ci. Reste le mystère de l'auteur de ce 1er paragraphe de la discussion... Pour finir, le "vos" données était évidemment un raccourci pour éviter d'avoir à écrire "les données que vous êtes allé chercher sur le site de WNA", je n'avais nullement à l'idée de supposer que vous les aviez inventées, puisque j'avais vérifié sur le site WNA. Cdlt.--Jpjanuel (d) 7 août 2013 à 15:46 (CEST)Répondre
C'est moi qui ai modifié les données concernant la Slovaquie et la Belgique, apparemment je n'ai pas été pris au sérieux, ce qui m'a fait tiquer c'est de voir la Corée du Sud en troisième position, sachant que la Lituanie était avant la fermeture de leur centrale avant la France avec 75%, alors que la Corée a toujours été bien derrière leur premier réacteur datant des années 80, une politique énergétique et particulièrement nucléaire se décidant sur les 40 ans à venir, d'ailleurs que veulent montrer les chiffres ici ? Que la France dépend du nucléaire et que les autres pays moins, un pays comme la Belgique "rassure" plus que l'Ukraine, c'est un débat de savoir pourquoi nous sommes si isolés en la matière, la France a fait le choix du "tout nucléaire" contrairement à tous les autres pays du monde qui diversifient leur énergie avec des chiffres en deçà des 50% pour les autres pays du monde c'est inquiétant, de savoir qu'un pays occidental et réputé sûr comme la Belgique est majoritairement nucléaire ça change la donne, allez sans rancunes !

Énergie primaire consommée par type d'agent énergétique

modifier

Je pense qu'il serait judicieux, en plus des ressources primaires consommées (qui apparaissent dans le tableau actuel), d'ajouter un tableau de la consommation finale, beaucoup plus proche de la réalité du consommateur que les ressources primaires (qui ne tiennent pas compte des pertes lors de la transformation). En effet le tableau des ressources primaires donne un part très importante à l'éléctricité primaire alors que celle ci ne représente qu'une très faible part de la consommation finale (17%env) ce qui peut être trompeur (surtout dans le débat a venir sur la part du nucléaire, suite aux accidents japonais). Les données se trouvent sur le diagramme en page 7 du document * L'énergie en France, Repères, édition 2008, Ministère de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire.

Correction dans la partie : "Énergie finale consommée"

modifier

Je pense que cette partie est confuse. En effet, cette phrase : "En 2007, la consommation finale d’énergie se répartie pour 25 % dans la production industrielle et agricole, pour 32 % dans la consommation des ménages et du secteur tertiaire, et pour 44 % dans le secteur des transports.", présente des pourcentages qui ne correspondent pas au tableau juste après ou on voit qu'en 2007, le secteur Résidentiel-Tertiaire consomme 71 MTEP/162 MTEP=44% et le secteur des transports : 52 MTEP/162 MTEP=32%. Il doit y avoir une inversion dans la phrase. Il faudrait vérifier ce qui est juste (la phrase ou le tableau, dans l'état actuel de l'article on penserait que le tableau est juste... mais bon). En tout cas moi je ne vois pas ce que ça veut dire. Quelqu'un peut l'expliquer ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par BombX (discuter), le 9 septembre 2010 à 15:56 (UTC) En plus dans l'intro on peut lire : "En 2008, l’énergie est consommée en France par les ménages et le secteur tertiaire (43 %), par le secteur des transports (31 % de la consommation finale totale), et par l’industrie et le secteur agricole (26 %)[BIL 1].", donc il y a dû y avoir une inversion dans la partie "Énergie finale consommée". Je corrige cette inversion du coup. Toutefois, si quelqu'un a la source des chiffres, ça serait mieux.--BombX (d) 10 septembre 2010 à 11:16 (CEST)Répondre

Et la phrase après le tableau "En 2007, la consommation finale d’énergie représente moins de 5,5 % de la consommation totale des ménages." me parait complètement obscure !--BombX (d) 10 septembre 2010 à 11:18 (CEST)Répondre

énergie primaire / électricité

modifier

je ne suis pas certain que ce soit réellement le total de l'énergie primaire. Il faudrait sans doute faire apparaître le mot électricité quelque part... - 65872 29 juin 2006 à 17:03 (CEST)Répondre

Merci de ta remarque constuctive. Effectivement, les transports consomment beaucoup de pétrole sans passer par l'électricité. L'énergie primaire ça regroupe toutes les sources d'énergie. Quelqu'un a des chiffres plus généraux? spoke 30 juin 2006 00:43 (CEST)

Il doit y en avoir sur le site de la dgemp - 65872 30 juin 2006 à 07:59 (CEST)Répondre

regardant ce soir le débat election 2007 taux d'utilisation de l'électricité française produit par l'énergie nucléaire serait de 17% dixit un candidat, et 50% d'après l'autre, à moins d'avoir rasé un paquet de central pendant la sieste !. il y a et une erreur de sa part (bonjour la source ;-) et une erreur sur l'article ce serait 87% en 2005 , que je ne prendrai pas trop de risque cf edf c'est surchargé je dois pas être le seul qui tique cordialement OUAH bravo les correcteurs

Dans ce cas, il suffit de diversifier les sources!! ;-)
http://www.insee.fr/fr/ffc/chifcle_fiche.asp?ref_id=NATTEF11309&tab_id=324
ZeBen

Après vérification : 17% correspond à la part du nucléaire dans la production mondiale d'électricité. Au moins les deux candidats connaissent leurs dossiers, ça fait plaisir !

Combien représente la part du nucléaire dans le bilan d'énergie primaire ? Au vu des chiffres, on est pas loin non plus des 17% (il faut comparer les tep pour les centrale éléctrique et les 5% de part du fioul+gaz dans l'elecricité à comparer aux tep pour le chauffage et les voitures).
http://www.insee.fr/fr/ffc/chifcle_fiche.asp?tab_id=528 à prioris, cela ferait 30% de nucléaire sur la totalité de l'énergie en France.

Il y a un problème avec le bilan énergétique de la France, notamment le petit encart à droite qui décrit les agents énergétiques, ou alors je n'ai pas tout à fait la même méthode de calcul : http://www.manicore.com/documentation/equivalences.html

Non, c'est bien les mêmes chiffres, si vous regardez le graphique que vous mentionnez à gauche, l'électricité indiquée dans la section agent énergétique (sur wiki) correspond plus ou moins au nucléaire de votre tableau, et si vous faites 117/273, vous arrivez bien à 43 %, ce qui correspond... Cordialement, --Lebronj23 (discuter) 7 janvier 2015 à 10:47 (CET)Répondre
Attention! les chiffres de Manicore auxquels vous vous référez datent de 2000. En 2013, la part du nucléaire dans la production d'électricité était de 73,7 %, et sa part dans la consommation d'énergie primaire de 43,8 %.--Jpjanuel (discuter) 7 janvier 2015 à 11:33 (CET)Répondre

Introduction

modifier

Bonjour, j'ai quelques soucis avec l'introduction actuelle, j'ai déjà réalisé quelques corrections. Actuellement l'intro commence par : Le secteur économique de l'énergie en France .... L'article s'intitule Énergie en France et non secteur économique de l'énergie. Je pense qu'il ne faut pas restreindre l'article au secteur économique, le thème énergie en France peut aussi évoquer des aspects purement climatiques comme le potentiel éolien de la France, purement géologico-climatique pour l'installation de barrage... N'étant pas du tout économiste mais énergéticien je préfère sonder avant de biffer cette restriction économique.

Ensuite, il y a ce paragraphe :

La production d’énergie en France se fait essentiellement sous forme de production d'électricité (122,8 millions de tep en 2006, sur un total de 138 millions de tep)[1]. Les importations nettes d’énergie représentent 142,1 millions de tep[1].

J'ai assez vite accroché sur cette phrase. Je suis allé voir la source pour voir ce qu'il en était. Il y a un soucis. Le paragraphe de l'article dit La production d’énergie en France se fait ...' alors que la source mentionne la production d'énergie primaire. Cependant, la source est légèrement fausse, en effet elle parle d'électricité en tant qu'énergie primaire, ce qui est faux étant donné que l'électricité est un produit transformé et ce à partir d'agents primaires différents. Je n'invente rien, la même source le dit un peu plus loin[2]. Je cite : L'énergie primaire est l'ensemble des produits énergétiques non transformés, exploités directement ou importés. Cette source donne de bons chiffres, mais ils sont à utiliser avec beaucoup d'auto-critique, l'INSEE n'étant pas un expert du domaine énergétique.

J'attends des remarques, questions, suggestions... Ludo Bureau des réclamations 29 mai 2008 à 12:07 (CEST)Répondre

Ref de l'article

Ok, pour compléter plutôt que biffer.  
Hum, oui, la source a un petit problème dans l'usage du terme "énergie primaire". Mieux vaut cette source que rien, mais tu dois pouvoir trouver mieux sur le site du MEEDDAT ou de l'OE.
Le terme "produit énergétique" est plus courant que "agent énergétique", non ? et on doit pouvoir trouver mieux que le terme "indigène" ? –MaCRoEco [oui ?] 29 mai 2008 à 13:03 (CEST)Répondre

Dans mon pays le terme indigène est utilisé par les autorités fédérales dans ce cadre. Effectivement, en France ce n'est peut-être pas le cas. Mais bon dans le domaine énergétique ce terme est commun.
"produit énergétique" vs "agent énergétique", je ne sais pas trop, l'article parle de la France, il faut voir lequel est le plus utilisé et s'il existe des définitions officielles données par le (ou les) ministère(s) en charge de ce domaine.
Je vais essayer de reformuler. Ludo Bureau des réclamations 29 mai 2008 à 14:01 (CEST)Répondre
J'ai un peu de mal avec le plan. Je pense que ma modif. a rendu le plan meilleur, mais ce n'est pas encore parfait. Notamment, la section 6 me gène, et la section 8 Énergies renouvelables en France doublonne un peu la section 1.2 actuelle (plan actuel). Que penseriez-vous de :
1. Consommation finale d'énergie
1.1 Consommation par secteurs
1.2 Consommation par produits énergétiques
2. Transformation des agents énergétiques primaires en agents énergétiques secondaires
2.1 Production et distribution d'électricité
2.2 Autres ?
3. Production et importation de produits énergétiques directement exploitables
4. Politique énergétique
5. Prospective, recherche
MaCRoEco [oui ?] 29 mai 2008 à 14:48 (CEST)Répondre
Ca me parait bizarre de commencer par la consommation, j'aurais bien commencé par les types d'agents, leurs provenances, les transformations et le transport, pour finir la consommation qui est la fin de la chaine.
Et finir comme tu l'as dit par Politique énergétique et Prospective, recherche. Qu'en penses-tu ? Ludo Bureau des réclamations 29 mai 2008 à 15:03 (CEST)Répondre

C'est gentil à toi de t'impliquer dans l'énergie en France :-) Oui, ta solution est très logique, mais je n'arrive pas bien à faire un plan avec ça, en tenant compte de la spécificité de l'électricité que j'aurais voulu traiter dans un seul bloc (production + transport). Peut-être peux-tu améliorer ce plan que j'obtiens ?

1. Sources d'énergies
1.2 Nucléaire
1.3 Fossiles (Pétrole+Gaz+Houille)
1.3 Hydrauliques
1.4 Autres renouvelables 
2. Transformation d'agents énergétiques primaires en agents énergétiques secondaires
2.1 Centrales électriques
2.2 Autres ...
3. Transport
3.1 Électricité
3.2 Autres
4. Consommation finale d'énergie par secteurs
5. Politique énergétique
6. Prospective, recherche

MaCRoEco [oui ?] 29 mai 2008 à 15:20 (CEST)Répondre

Le plan me parait assez juste. Dans les sources d'énergies il y a aussi d'autres types : chaleur à distance, déchets industriels... Cependant je ne connais pas les chiffres pour la France.
Pour les centrales électriques il faut découper par grande famille : nucléaire, hydro ...Autres types de transformations d'agents énergétiques : les raffinerie de pétrole.
Il faudrait aussi évoquer la consommation propre du secteur énergétique et les pertes, par exemple en Suisse cela représente 7% pour les produits pétroliers.
Voilà sinon ça me parait juste. Ludo Bureau des réclamations 29 mai 2008 à 16:02 (CEST)Répondre
Je propose après correction :
1. Sources d'énergies
1.2 Combustible nucléaire
1.3 Fossiles (Pétrole+Gaz+Houille)
1.4 Hydraulique
1.5 Autres renouvelables (éolien, solaire ...)
2. Transformation d'agents énergétiques primaires en agents énergétiques secondaires
2.1 Centrales électriques
2.1.1 Centrales nucléaires
2.1.2 Centrales thermiques
2.1.3 Centrales hydro 
2.1.4 Autres (éolien ...)
2.2 Raffinerie pétrolière
2.3 Production de chaleur à distance (réseau d'eau chaude de quartier ...)
2.4 je dois en oublier
3. Transport des agents énergétiques
3.1 Électricité (pertes en ligne)
3.2 Dplct des produits raffinés
3.3 Transport du gaz par réseau de gazoduc (raccordement réseau européen)
3.2 Autres
4. Consommation finale
4.1 Par type d'agent
4.2 Par secteurs
5. Politique énergétique
6. Prospective, recherche
Voilà, c'est surement encore perfectible. Certaines sous-parties vont avoir tendances à marcher sur d'autres notamment pour l'éolien où la quasi totalité est absorbé pour l'électricité, il faudra faire attention. Ludo Bureau des réclamations 29 mai 2008 à 16:30 (CEST)Répondre
Ok pour moi. –MaCRoEco [oui ?] 30 mai 2008 à 10:40 (CEST)Répondre
Merci, j'ai commnené à récrire l'article en partant de mon plan, ne pas hésiter à me corriger si le besoin s'en fait sentir. Je n'ai pas réussi à trouver de source sur la quantié de combustible nucléaire importé par la France chaque année, ainsi que sa provenance, si quelqu'un trouve ça, je suis preneur. Ludo Bureau des réclamations 30 mai 2008 à 12:27 (CEST)Répondre
Tout cela me semble très prometteur. DocteurCosmos - 30 mai 2008 à 14:11 (CEST)Répondre
Vois peut-être sur Industrie nucléaire en France.
Bon, j'ai affiné le plan et repris un peu les formulations. L'Observatoire de l'énergie ne parle pas d'"agents énergétiques", ça complique un peu trop l'article. A propos de la source INSEE parlant de "production d'électricité primaire" : c'est une norme comptable, il s'agit de la quantité d'énergie contenue dans les intrants primaires de la production d'électricité, avec le nucléaire comptabilisé en terme de chaleur (page 7) –MaCRoEco [oui ?] 31 mai 2008 à 00:57 (CEST)Répondre

Phrase dans l'intro

modifier

Bonjour,
Il y a cette phrase : Les importations totales d’énergie représentent 173,3 Mtep (essentiellement des produits pétroliers et du gaz dont la production locale est très faible), et les exportations (électricité et produits raffinés) représentent 33,1 Mtep ; le solde est déficitaire de 142,1 Mtep[3].
Je suis un peu embêté car pour avoir fait des recherches, les autorités françaises sont très peu transparentes quant à la quantité de combustible nucléaire importée. Si quelqu'un dispose de chiffres ? En effet, étant donné la quantité d'électricité nucléaire produite en France et le fait que la France n'ait aucune ressource indigène, la quantité de combustible est surement loin d'être négligeable devant les quantités de pétrole ou de gaz. Ludo Bureau des réclamations 2 juin 2008 à 08:55 (CEST)Répondre

Salut, c'est à vérifier mais il me semble que le combustible nucléaire est considéré "officiellement" comme indigène. En effet, la plus grande partie de la valeur ajoutée du combustible nucléaire se trouve dans les différents traitements que l'uranium subit (conversion puis enrichissement de l'uranium et fabrication des crayons de combustible) et non dans l'extraction minière. D'où les polémiques sur l'indépendance énergétique... Il faudrait également vérifier la définition qu'en donne l'Europe. - 65872 Ceci n'est pas une page de discussion 2 juin 2008 à 11:05 (CEST)Répondre
Dans ce cas, j'ai un énorme cas de conscience. En effet, le pétrole à l'état brut, ne peut servir en rien dans le domaine du transport en France, il lui faut nécessaire passer par la phase de rafinnage pour obtenir des produits utiles et exploitables. En ne considérant pas le combustible nucléaire comme une importation d'agent énergétique, on pourrait tout aussi bien tenir le même raisonnement pour le pétrole. Ludo Bureau des réclamations 2 juin 2008 à 11:11 (CEST)Répondre
La différence est dans la part du coût de combustible par rapport à l'ensemble du coût de production. Pour la production électrique, il me semble que l'uranium minier représente 5% du coût de l'électricité nucléaire quand le gaz représente 70% à 90% du coût de l'électricité d'une centrale à gaz et le charbon 35% à 45% du coût de l'électricité d'une centrale au charbon [PDF]Rapport de l'Agence pour l'énergie nucléaire pages 12 et 13. Pour le transport, je ne connais par le coût du raffinage par rapport au coût d'achat du pétrole. - 65872 Ceci n'est pas une page de discussion 2 juin 2008 à 11:59 (CEST)Répondre
J'ai trouvé un chiffre pour le transport finalement. Hors taxes, le coût du pétrole brut dans le prix à la pompe représente environ 70% du total quand le raffinage représente environ 20% Shell Canada. - 65872 Ceci n'est pas une page de discussion 2 juin 2008 à 13:23 (CEST)Répondre

Données concernant le solde des échanges d'électricité

modifier

Bonjour,

Je suis tombé sur le bilan 2009 de RTE (p.18) qui contredit le bilan 'Energie en France' du Ministère de l'Ecologie cité dans cet article. Notamment en ce qui concerne le solde avec l'Allemagne. Je n'ai aucun moyen de savoir à qui accorder crédit, mais il me semble opportun, sinon de remplacer, au moins de noter cette divergence, en particulier au vu de l'actualité récente. Cette tendance (balance fortement négative) est présente aussi bien dans le rapport 2009 que 2010. Gapato (d) 14 juin 2011 à 17:27 (CEST)Répondre

Le solaire photovoltaïque a triplé en France en un an...

modifier

...Mais j'ai du mal à traduire les unités avec celles déjà utilisées dans l'article. Alors je laisse la source ici : Le solaire en France a triplé en un an, l'éolien augmente de 14 %, La Gazette.fr. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Mélanie Huguet (discuter) le 1 septembre 2011 à 20:43 (CEST)Répondre

Centrales électriques à biomasse en France

modifier

J'ai supprimé un passage parlant de centrale électrique à biomasse. Y en a-t-il en France ? Merci d'indiquer des sources. Teofilo 30 novembre 2011 à 15:56 (CET)Répondre

Gaz de schiste

modifier

Alors que la France est (et surtout a été) productrice de gaz naturel, la section relative aux ressources en gaz naturel est consacrée majoritairement à un type de gaz qui n'a jamais été produit en France, à savoir le gaz de schiste (qui dans la moitié des cas n'est pas du gaz mais de l'huile). Si les généralités (chiffres de l'AIE, etc.) ont leur place dans cet article, ce n'est pas le cas des citations attribuées à tel ou tel homme politique. Bref, je trouve cette restauration n'était pas nécessaire et que la version précédente était plus adaptée à un article généraliste. Seudo (d) 8 avril 2013 à 16:25 (CEST)Répondre

je comprends bien votre point de vue, mais une encyclopédie n'est pas vouée à parler seulement du passé, elle doit aussi aborder le présent et l'avenir ; concrètement, lorsqu'on veut traiter du gaz naturel en France, il me semble impensable de passer sous silence le débat actuel sur le gaz de schiste et ses implications considérables pour l'avenir de l'énergie en France.--Jpjanuel (d) 8 avril 2013 à 16:40 (CEST)Répondre
tout bien réfléchi, je reconnais que vous avez raison pour le dernier paragraphe, qui est un peu anecdotique, bien que révélateur de la désinformation par le lobby pro-gaz de schiste ; je l'enlève de suite ; par contre, les déclarations du président de la république sont tout à fait à leur place ici.--Jpjanuel (d) 9 avril 2013 à 15:03 (CEST)Répondre
La version actuelle me semble un bon compromis. Abaca (d) 9 avril 2013 à 22:43 (CEST)Répondre
C'est en effet le dernier paragraphe qui était le plus anecdotique. Seudo (d) 9 avril 2013 à 22:50 (CEST)Répondre

Mise à jour

modifier

Il y a des tableaux qui date de 2012, 2013 ou 2014 soit il y a 5 ans. Il faudrait les mettre à jour. Skiff (discuter) 11 août 2017 à 19:37 (CEST)Répondre

Bonjour Skiff, je vais voir ce que je peux faire, mais vous devez savoir que les données vraiment fiables n'arrivent qu'avec un délai de 2 ans, et encore elles sont souvent corrigées l'année suivante. En particulier, les données de l'Agence internationale de l'énergie, qui ont le grand intérêt de permettre des comparaisons internationales, ne sont publiées qu'en octobre de l'année n+2 : en octobre 2017, nous aurons les données de 2015. Les rapports du ministère de l'énergie arrivent avec plus de retard encore. Seuls les rapports de RTE pour l'électricité ou ceux de BP pour les combustibles fossiles arrivent quelques mois après la fin de l'exercice écoulé, mais ce sont seulement des estimations provisoires.--Jpjanuel (discuter) 12 août 2017 à 12:05 (CEST)Répondre
Je me disais aussi c'était bizarre ces vielles données. Skiff (discuter) 16 août 2017 à 19:20 (CEST)Répondre

Énergie primaire consommée par source d'énergie

modifier

La signification des pourcentages du tableau de la section Énergie primaire consommée par source d'énergie n'est pas clair. S'agit-il de la distribution de la production ? Non. De la distribution de la demande intérieure par source d'énergie ? Non plus. De la distribution de l'énergie primaire consommée par source d'énergie comme le laisserait entendre le titre ? Pas davantage.

Je pense que l'idée d'introduire le solde extérieur dans le calcul est une mauvaise idée. D'ailleurs, on ne sait pas vraiment si ce solde est excédentaire ou déficitaire. A priori, un signe négatif indique un déficit, mais ici on se dit qu'il s'agit sans doute du solde pour passer de la production d'énergie secondaire à ce qui est consommé en France. Or la France exporte globalement de l'électricité.

Accessoirement, je ne vois pas la source pour le déficit.

Ydecreux (discuter) 29 juillet 2019 à 21:52 (CEST)Répondre

Bonjour Ydecreux, il s'agit bien des % de chacune des sources primaires d'énergie dans la consommation intérieure brute d'énergie primaire, mesurées selon les conventions de l'Agence internationale de l'énergie (consommation intérieure brute = production nationale + importations - exportations - soutes internationales - variation des stocks). Le solde exportateur d'électricité est nécessaire pour boucler le tableau, car il s'agit d'énergie produite en France et consommée à l'étranger ; il vient donc en diminution de la consommation intérieure. Si vous continuez à trouver tout cela bizarre, je vous conseille d'aller voir la source (cliquer sur l'onglet "data table")--Jpjanuel (discuter) 29 juillet 2019 à 22:13 (CEST)Répondre
Je ne vois aucun pourcentage dans la table indiquée en source. Dans tous les cas, affirmer que la consommation d'énergie primaire se répartit en 50 % de fossile, 40 % de nucléaire et 20 % de renouvelables risque de froisser plus d'un lecteur de l'article. Ici la différence est moins flagrante parce que le solde excédentaire est modeste, mais de facto c'est ce qui est écrit, avec des chiffres un peu différents, dans le RI. Au minimum il manque un élément. Si on considère que le déficit commercial est une composante de la consommation d'énergie primaire, alors il doit figurer dans la liste. Ydecreux (discuter) 29 juillet 2019 à 22:39 (CEST)Répondre
J'ai calculé moi-même les % à partir des chiffres de l'AIE. Je comprends bien votre étonnement sur ces proportions ; je suis moi-même très critique sur les conventions utilisées par l'AIE, qui aboutissent à sous-estimer systématiquement la part des énergies renouvelables dans le bilan énergétique (cf les explications détaillées que j'ai exposées dans mon article Bilan énergétique (statistique)). Mais il est difficile de s'opposer à la notoriété de l'AIE, d'autant plus qu'Eurostat et le plupart des organismes des pays européens chargés de présenter leurs statistiques ont adopté les conventions de l'AIE ; seules les statistiques de l'Energy Information Administration américaine et celles de BP utilisent des conventions plus pertinentes. Personnellement, je déconseille de raisonner en termes d'énergie primaire, concept très artificiel et nébuleux, et de travailler plutôt sur les statistiques de consommation finale d'énergie. Encore une fois (cf explications ci-dessus), la ligne "solde exportateur d'électricité" n'est pas un déficit, c'est au contraire un solde exportateur qui doit être déduit de la production pour obtenir la consommation intérieure.--Jpjanuel (discuter) 29 juillet 2019 à 23:17 (CEST)Répondre
PS : j'espère que vous avez bien compris que ce tableau englobe l'ensemble des énergies et pas seulement l'électricité ; il n'est dès lors pas si étonnant que le pétrole consommé par les transport et le gaz consommé par le chauffage des logements totalisent près de 50 % ; par contre, la part des renouvelables électriques est largement sous-estimée comme expliqué ci-dessus--Jpjanuel (discuter) 29 juillet 2019 à 23:24 (CEST)Répondre
Le fait d'établir un bilan de marché par l'équation conso = prod + M − X − variations de stocks (plus ici les soutes internationales) est très classique et valable pour tous les secteurs de production. Mais pour aucun autre secteur de production on ne calculerait la répartition de la consommation par catégories (sous-secteurs) sur la base seulement de la répartition de la production par catégories, sans prendre en compte la répartition des autres composantes du bilan de marché.
Par exemple, la consommation alimentaire française est égale à la production plus les importations moins les exportations. Supposons que la France ne produise que des végétaux et soit exportatrice nette. Écrira-t-on que la France consomme 110 % de végétaux et a par ailleurs un solde exportateur de −10 % ? Non bien sûr, il faudrait aussi prendre en compte la composition des importations et des exportations, déterminer le bilan de marché catégorie par catégorie sur cette base, puis calculer la distribution de la consommation par catégories en pourcentages, avec un total à 100 % dans lequel le solde commercial ne figure plus.
Par ailleurs le solde exportateur de la France est positif. J'ai donc changé le titre dans le tableau pour faire apparaitre le signe moins.
Faute de voir un tableau de l'AIE présenté de cette façon avec les pourcentages également calculés de cette façon, je ne peux pas être convaincu par le tableau actuel.
Cela étant dit, à moi aussi les statistiques d'énergie primaires semblent peu pertinentes, au point que je serais plutôt favorable à ce qu'elles ne figurent pas dans le RI (surtout sous la forme de pourcentages ne sommant pas à 100 %). Comme vous l'avez indiqué dans l'article sur l'énergie primaire, les taux de conversion sont déterminants, et dire que l'énergie nucléaire représente 43 % de l'énergie primaire consommée en France pour finalement ne représenter plus que 18 % de l'énergie finale est un peu difficile à justifier. S'agissant de sources d'énergie qui au départ n'ont rien à voir, il serait pertinent d'utiliser des taux de conversion qui reflètent la capacité d'une source à effectivement contribuer à l'énergie finale.
Merci quoi qu'il en soit pour les explications jusqu'à présent, et désolé de jouer le lecteur naïf qui essaie de comprendre l'article, mais je suppose que d'autres lecteurs pourraient se poser les mêmes questions, donc ce n'est sans doute pas inutile.
Ydecreux (discuter) 30 juillet 2019 à 00:46 (CEST)Répondre
J'ai changé le titre du tableau. Je pense qu'en parlant d'approvisionnement en énergie primaire on comprend mieux qu'une exportation vient en négatif dans l'approvisionnement en énergie du pays. J'ai auparavant supprimé ces statistiques du RI, pour la raison mentionnée plus haut (taux de conversion peu significatifs). On pourrait les réintroduire, mais avec ce titre plus explicite et sans omettre l'électricité. Merci pour votre aide. Ydecreux (discuter) 30 juillet 2019 à 09:35 (CEST)Répondre
Ydecreux, j'approuve votre décision de supprimer les statistiques de consommation d'énergie primaire du RI, car elles sont trompeuses ; les statistiques de consommation finale sont beaucoup plus proches de la réalité (c'est à ce niveau que se produisent les substitutions entre énergies, par exemple entre voiture thermique et voiture électrique) ; ceci dit, je crains que vous n’ayez pas encore bien compris le tableau AIE : la répartition de la consommation par sources n'est pas calculée sur la base de la répartition de la production, elle est calculée sur la base de l'ensemble des flux (production, importations, exportations, etc).--Jpjanuel (discuter) 30 juillet 2019 à 10:59 (CEST)Répondre
Je pense que les choses sont claires pour moi aussi avec le changement de nom et après consultation de la documentation AIE. Le mot production était en effet incorrect, puisque évidemment la France ne produit pas tous ces combustibles fossiles. Il s'agit de l'énergie primaire utilisée en France, et par convention on déduit l'excédent commercial d'électricité pour donner une idée de l'énergie effectivement disponible in fine pour la consommation intérieure, après transformation en énergie finale. C'est cette convention atypique qui diffère de la pratique habituelle pour d'autres secteurs. Quoi qu'il en soit, il vaut mieux ne pas parler directement de consommation intérieure, car il s'agit plutôt des ressources, qui une fois transformées pourront être utilisée comme consommation intérieure finale. Et ce d'autant plus qu'en réalité l'énergie finale consommée sera assez différente compte tenu des taux de conversion qui ne reflètent pas l'efficacité réelle de la transformation et de la distribution. Ydecreux (discuter) 30 juillet 2019 à 11:20 (CEST)Répondre

645 = 55 % de 930 ?

modifier

  Jpjanuel : Je sais que c'est écrit comme cela dans le graphique du résumé de l'étude RTE page 11 et dans l'article des Échos, mais je pense qu'il s'agit d'une erreur de vocabulaire. D'après la note de bas de graphique, les 55 % sont hors perte et hors production d'hydrogène, ce qui correspond bien au concept de consommation finale, mais les 645 TWh correspondent à autre chose, même si la note de bas de graphique parle aussi de consommation finale.

Le rapport complet page 44 ne parle pas de consommation finale mais de consommation intérieure, estimée à 475 TWh en 2019 et projetée à 645 TWh en 2050. Un peu plus tôt, le graphique page 34 présente les chiffres en pourcentages de la consommation finale.

Je pense que le résumé a été écrit par quelqu'un d'un peu moins expert que les auteurs du rapport proprement dit, d'où la confusion. C'est un peu fâcheux pour un rapport aussi important. Quoi qu'il en soit, je pense qu'il vaut mieux éviter la juxtaposition de chiffres contradictoires dans l'article Wikipédia.

Je propose donc d'utiliser comme source le chapitre relatif à la consommation du rapport complet. En tout cas, on ne peut pas laisser la phrase « RTE prévoit qu'en 2050 la consommation énergétique finale sera ramenée à 930 TWh (...) et que la part de l'électricité sera portée à 55 %, soit 645 TWh ».

Ydecreux (discuter) 27 octobre 2021 à 21:22 (CEST)Répondre

bonjour Ydecreux, merci de m'avoir alerté sur ce point : effectivement, les 55 % et les 930 TWh sont des chiffres de la SNBC (voir pages 32 à 36 du rapport complet), mais RTE n'a pas repris ces chiffres pour son scénario de référence, présenté comme « une modélisation reprenant l’esprit de la SNBC, et adaptée pour tenir compte de l’actualisation des perspectives techniques et des retours de la consultation publique » (pages 37-38). Pour l'essentiel, les chiffres de la SNBC se retrouvent dans la trajectoire « sobriété ». Il en résulte une part plus élevée de l'électricité dans la trajectoire de référence, mais RTE ne donne pas d'estimation de la consommation finale, si bien qu'il n'est pas possible de calculer la part de l'électricité. Le journaliste des Échos a tout mélangé (il ne disposait probablement que d'un document résumé). Je vais essayer de rectifier. Cet incident montre bien, comme je l'ai souvent répété, qu'il vaut souvent mieux se référer aux sources primaires qu'aux sources secondaires, contrairement à ce que prétendent les règles de WP.--Jpjanuel (discuter) 27 octobre 2021 à 23:13 (CEST)Répondre
Je vois : faire figurer ce graphique dans le résumé du rapport est de nature à induire le lecteur en erreur. Le lecteur qui parcourt le document en diagonale est incité à penser qu'il correspond aux hypothèses de RTE (erreur commise par le journaliste des Échos). Sur les réseaux sociaux, il est très souvent écrit que RTE table sur une baisse de 40 % de la consommation d'énergie, alors que le graphique page 14 montre que la baisse est plutôt de l'ordre de 32 %. Par ailleurs, le graphique page 11 indique que la part de l'électricité est de 25 %, alors que la vraie part est de 27 %, ce qui est d'ailleurs correctement reflété par la taille de la portion de camembert. Les auteurs du résumé de RTE sont en partie responsables de cette confusion je pense.
Les publications des organismes publics sont considérées d'emblée comme des sources secondaires. Je pense que la recommandation de Wikipédia est utile dans les sujets qui portent à polémiques : une source primaire qui n'est pas reprise par une source secondaire de qualité n'est pas jugée pertinente. Cela n'interdit pas de consulter la source primaire pour vérifier qu'elle est correctement interprétée. Je sais bien que les sources secondaires peuvent se tromper : j'ai corrigé hier une information qui avait été modifiée sur la base d'une source secondaire mais qui était incompatible avec la source primaire (un texte de loi) et une autre source secondaire. In fine, c'est l'avis communautaire qui a le dernier mot.
Ydecreux (discuter) 28 octobre 2021 à 10:27 (CEST)Répondre

Le russe Gazprom

modifier

  Vega : D'après cette source (pas forcément de haute qualité mais je n'ai rien trouvé d'autre), on utilise la majuscule seulement pour une personne. Cette règle est respectée ici dans l'expression « le français LVMH ». On trouve aussi de nombreux exemples où le mot russe est écrit avec une minuscule dans l'expression « le russe Gazprom » ; la minuscule domine nettement dans l'usage. Ydecreux (discuter) 23 juin 2022 à 18:47 (CEST)Répondre

Bonjour Ydecreux, c'est un cas un peu épineux de confusion entre adjectif et nom, donc je ne serais pas surpris que des médias se trompent — si ce n'est pas moi, ou aucune de nous. Ca me semble pourtant clair si on change de mot pour contourner la difficulté : « le chien Gazprom » (nom) ou « le velu Gazprom » (adjectif) ? Plus encore en remplaçant par une personne : « le Russe Dimitri » plutôt que « le russe Dimitri », il s'agit d'un Russe qui s'appelle Dimitri ou Gazprom, pas d'un Dimitri russe.
À moins qu'une entreprise ne compte pas comme "groupe de personne" (cf. 1re référence) ? Ni comme gentilé, ni comme habitant ? Je ne trouve rien sur ce cas particulier... peut-être parce qu'il n'y a pas d'exception aux personnes morales plutôt que physiques, justement. On peut encore poser la question à Wikipédia:Atelier du français. — Vega (discuter) 24 juin 2022 à 17:40 (CEST)Répondre
Pour moi, la raison est en effet qu'une entreprise n'est pas un groupe de personnes mais une entité. Le Russe Dimitri désigne un Russe appelé Dimitri. Le russe Gazprom ne désigne pas un Russe mais une entité russe qui porte le nom de Gazprom. C'est bien un nom, mais il ne désigne pas une personne. À noter qu'ici, la minuscule est préconisée : « la canadienne Bombardier ». Ydecreux (discuter) 24 juin 2022 à 17:52 (CEST)Répondre
>un[e] entreprise n'est pas un groupe de personnes mais une entité
voir Entreprise, mais aussi Société, ou encore Compagnie. On évitera ainsi la tentation des simplifications hâtives. Noliscient (discuter) 25 octobre 2022 à 14:46 (CEST)Répondre

Ah, zut, on a encore oublié l'énergie grise

modifier

En bref, l'énergie grise c'est l'énergie utilisée ailleurs pour fabriquer ce que nous consommons ici. En volume, c'est presqu'autant (503 TWh) que notre production électrique (555 TWh). Ne devrions-nous pas ajouter une section appropriée ? Noliscient (discuter) 11 mars 2023 à 16:17 (CET)Répondre

Le graphique proposé sur Our World in Data correspond à de l'énergie primaire, alors que les 555 TWh d'électricité correspondent à de l'énergie finale. En termes d'énergie primaire, l'énergie nucléaire à elle seule représente plus de 1 000 TWh [1].
Il est possible d'ajouter une sous-section relative à l'énergie consommée en France en intégrant l'énergie grise à la fin de la section Énergie finale consommée, si les autres contributeurs confirment que cet ajout serait pertinent. Cette question est déjà abordée indirectement dans la section Impact environnemental, sous l'angle des émissions de CO2.
Ydecreux (discuter) 11 mars 2023 à 17:23 (CET)Répondre
Comme le fait remarquer Ydecreux, on ne peut pas comparer une estimation en énergie primaire avec une autre en énergie finale. Ceci dit, je suis d'accord avec la proposition de Noliscient. La consommation totale intégrant l'énergie grise doit être insérée dans la section sur la consommation d'énergie primaire.--Jpjanuel (discuter) 11 mars 2023 à 23:15 (CET)Répondre
Pour mémoire je recopie infra l'intitulé du graphique
Consumption-based (trade-adjusted) energy
et l'explication qui l'accompagne
''Consumption-based (trade-adjusted) energy use'' measures domestic energy use minus energy used to produce exported goods, plus energy used to produce imported goods.
Au besoin on trouvera une définition plus détaillée :
Il s'agit bien ici d'énergie utilisée par l'industrie, ce que l'on appelle aussi, je crois, énergie finale. Par ailleurs, et je peux me gourer complètement, il me semble que « notre production d'électricité » n'est ni primaire ni finale. De cette production, quelques % seront perdus en ligne, quelques autres % seront exportés, une grande partie sera transformée en chaleur, forme fatalement finale, soit en première intention (chauffage, cuison) soit comme effet secondaire du mouvement mécanique. Une toute petite partie sera même stockée sous forme d'énergie potentielle dans les STEP.
Quoiqu'il en soit, ce qui m'a motivé à invoquer ici ces 555 TWh c'est de donner un ordre de grandeur compréhensible quoiqu'énorme.
Bien entendu, la plus grande différence entre les 555 TWh bien de chez nous et les 503 off-shore est que ces derniers sont d'une intensité carbonique dont nous ne voudrions pas ici. Noliscient (discuter) 19 mars 2023 à 21:46 (CET)Répondre
Il est possible que la production d'électricité soit mesurée sur une base hybride (Jpjanuel pourra confirmer), mais à mon avis le concept est beaucoup plus proche de l'énergie finale que de l'énergie primaire. En effet, l'énergie nucléaire primaire s'élevait à elle seule à environ 4 138 PJ en 2021 ([2]), soit près de 1 150 TWh. L'énergie primaire totale associée à la production d'électricité est donc encore supérieure.
Le graphique d'Our World in Data ne peut pas correspondre à de l'énergie finale, car il fait ressortir une énergie consommée de 3 000 TWh en 2020, alors que l'énergie finale consommée en France était de l'ordre de 1 600 TWh cette année-là.
L'énergie contenue dans notre solde commercial est donc sensiblement inférieur à notre production d'électricité, mais son contenu carbone est effectivement très important, de sorte que l'écart entre les émissions de CO2 sur base territoriale et sur la base de la consommation est beaucoup plus considérable que l'écart mesuré sur l'énergie elle-même (au moins +50 % sur le CO2, à comparer à environ +17 % sur l'énergie). Ce sujet est abordé dans l'article dans la section relative à l'impact environnemental.
Ydecreux (discuter) 19 mars 2023 à 23:14 (CET)Répondre
bonjour Noliscient et Ydecreux, j'ai ajouté il y a une semaine la sous-section Énergie grise associée au commerce international des biens dans la section Bilan énergétique avec en ref le lien vers Our World in Data. Vu les chiffres, il est évident que ce graphique est en énergie primaire. Comparer ces chiffres avec la production d'électricité, c'est oublier que la production d'électricité (énergie secondaire) ne représente que 35 % de l'énergie primaire qu'elle consomme, du fait du rendement énergétique des centrales thermiques. Il ne faut pas oublier non plus que l'électricité ne représente que 25 % de la consommation finale d'énergie en France (et encore moins dans la plupart des pays). Si on raisonne en énergie primaire, les 555 TWh d'énergie grise ne représentent guère que moins de la moitié de la production nucléaire. Mais c'est déjà énorme. Je travaillais hier sur les États-Unis : on y retrouve le même phénomène de délocalisation massive des industries de base au cours des 30 dernières années : la consommation d'énergie primaire baisse, mais en fait surtout par « évasion de l'énergie grise » vers les pays émergents.--Jpjanuel (discuter) 20 mars 2023 à 09:28 (CET)Répondre
Pour moi, ce n’est pas sur cette page que cela doit figurer. c’est sur la page Bilan des émissions de gaz à effet de serre
  • Scope 1 (obligatoire) : Somme des émissions directes induites par la combustion d'énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon, tourbe..) de ressources possédées ou contrôlées par l’entreprise.
  • Scope 2 (obligatoire) : Somme des émissions indirectes induites par l'achat ou la production d’électricité.
  • Scope 3 (rendu obligatoire pour les grandes entreprises en juillet 2022 ) : Somme de toutes les autres émissions indirectes (de la chaîne logistique, étendue au transport des biens et des personnes. C'est souvent la part la plus importante des émissions d'une entreprise, certaines sources le chiffrent à 75% des émissions, d’autres entre 50% et 90%. Il met en évidence des axes de progrès importants et parfois faciles et donc profitables pour l’impact global réel. Par exemple, un achat a une empreinte carbone souvent très différente selon qu'il ait été produit localement ou qu'il ait circulé en bateau ou en avion. Mieux planifier ses achats ou ses déplacements, ou rechercher des alternatives permet de moins recourir à l'avion et au camion. Beaucoup de sources d'émissions indirectes "grises" ou délocalisées existent
SarmentFurtif (discuter) 20 mars 2023 à 16:32 (CET)Répondre
Hors sujet : le graphique Our World in Data traite de l'énergie, pas des émissions de GES, et il est relatif à la France, donc il est tout à fait logique de le placer dans l'article Énergie en France.--Jpjanuel (discuter) 20 mars 2023 à 16:50 (CET)Répondre

Importations de pétrole

modifier

Le bilan énergétique de la France pour 2021 est disponible depuis mars 2023 ; celui pour 2022 pas encore. Si on voulait préserver l'homogénéité du tableau au paragraphe Pétrole et produits pétroliers, il serait possible de s'arrêter à 2021. Quoi qu'il en soit, dans un mois environ, les données 2022 seront disponibles et permettront une mise à jour plus complète. Ydecreux (discuter) 11 février 2024 à 14:37 (CET)Répondre

Politique énergétique en France

modifier

Suite à cette discussion et parce qu'il n'y avait pas d'article principal pour la catégorie Politique énergétique en France, j'ai créé la page correspondante au stade d'ébauche : Politique énergétique en France.

L'idée est d'avoir une approche générale historique et laisser l'aspect contemporain plutôt sur ici avec la section Politique énergétique mais ce n'est pas vraiment un domaine que je compte travailler donc je laisse ça à l'appréciation de plus compétent que moi. Fabius Lector (discuter) 25 septembre 2024 à 14:59 (CEST)Répondre

Revenir à la page « Énergie en France ».