Épinois
Épinois (en wallon Spinoû) est un village situé entre Binche et Anderlues, en province de Hainaut (Région wallonne de Belgique). Depuis la fusion des communes de 1977 il fait administrativement partie de la ville de Binche.
Épinois | |||||
L'église Sainte-Marie-Madeleine | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | Belgique | ||||
Région | Région wallonne | ||||
Communauté | Communauté française | ||||
Province | Province de Hainaut | ||||
Arrondissement | La Louvière | ||||
Commune | Binche | ||||
Code postal | 7134 | ||||
Zone téléphonique | 064 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Spinacien(ne)[1] | ||||
Population | 1 718 hab. (1/1/2020) | ||||
Densité | 473 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 24′ 18″ nord, 4° 12′ 34″ est | ||||
Superficie | 363 ha = 3,63 km2 | ||||
Localisation | |||||
Localisation d'Épinois au sein de Binche | |||||
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Géolocalisation sur la carte : Région wallonne
Géolocalisation sur la carte : Hainaut
| |||||
modifier |
Évolution démographique
modifier- Sources : INS, Rem. : 1831 jusqu'en 1970 = recensements, 1976 = nombre d'habitants au 31 décembre.
Histoire
modifierDes vestiges paléolithiques et gallo-romains témoignent d'une occupation très ancienne des lieux, qui s'explique du fait également que le village se trouve à 3 kilomètres à peine de l'ancienne chaussée romaine Bavay-Cologne.
Une première mention du village est faite dans un manuscrit de 866, en relation au fait qu'il dépend de l'abbaye de Lobbes (en principauté de Liège).
Il passe plus tard (1590?) à une petite seigneurie laïque qui comprenait également une partie de Leval-Trahegnies et Mont-Sainte-Aldegonde. Le premier seigneur aurait été un certain Jacques d'Esclaibes.
Patrimoine
modifier- Des vestiges gallo-romains
- Un château dont le donjon est d'époque médiévale
- L'église Sainte-Marie-Madeleine
Références
modifier- Jean Germain, Guide des gentilés : les noms des habitants en Communauté française de Belgique, Bruxelles, Ministère de la Communauté française, (lire en ligne), p. 29