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Luiz Ortiz à la 1ère guerre mondiale et entre-deux guerres
modifierAprès la guerre, Luis Ortiz part s'installer en Meuse à Bar-le-Duc. Mais en 1921, il partit pour venir dans la région de la Haute-Marne à Saint-Dizier. Une année plus tard, sa famille le rejoint car elle est touchée par l'exode rural qui n'offre pas de grandes perspectives commerciales pour développer leur entreprise. Au 20ème siècle, les sorbets d'aujourd'hui s'appelaient "Sherbet", puis la famille Ortiz monta leur affaire de crèmes glacées appelées "Les glaces Ortiz". De Paris, ils ont amené un triporteur qui devient une curiosité pour les bragards, et s'en servent pour attirer les clients et vendre leurs produits. Puis ils décidèrent d'ouvrir un cinéma pour accroitre leurs affaires, ce qui marcha. Les Ortiz continua a se développer et décida de vendre leurs glaces dans toute la région, notamment aux évènements qui se déroulent (cinéma, fête foraines, bals…). Malgré ce succès, Luis voulait aller plus loin et avait l'espoir de voir ses produits partout, pendant les week-end il parcourt les routes de France en quête de clientèles pour les fêtes caritatives, kermesses, bals, concours de pêche... Toute la famille Ortiz s'applique dans l'affaire familiale. Les richesses de la famille Ortiz proviennent donc de la vente de produits laitiers (beurres, fromages et crèmes glacées).
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Généalogie de la famille Louis Ortiz
Louis Ortiz (1913-1984) les parents de Louis Ortiz sont Luis Ortiz (créateur de Miko) et sa femme qui est Mercedes Martinez de la Maza. Luiz Ortiz a deux oncles et une soeur du côté de son père : Joaquin Ortiz, Cristino Ortiz et la soeur Fermina Ortiz. Louis Ortiz à quatre frères et une soeur : Juan Ortiz (1914-1992), Vidal Ortiz(1918-2005), Andres(1920-1988), José Ortiz (1922-2009) et sa soeur Joséphine Ortiz (1912-1912).
A un moment de sa vie Louis sillonne les routes pour multiplier ses contacts personnels avec les détaillants, il contrôle les meilleurs points de ventes et finalement il profita de la publicité de ses concurrents. Ensuite se déclara la fameuse "guerre des glaces" quelques mois suivirent il se frotta les main dans son modeste petit bureau de la rue Lamartine. Il dépense peu en publicité puisqu'il sait que les Français adore ses glaces et donc sa société tournera a flow. Dans les années 1970, Louis Ortiz aux rennes de l'entreprise devient parrain du Maillot jaune ainsi il sponsorise cinq équipes de cyclistes. Miko décide de changer de voie, après un essai dans le hockey sur glace, l'entreprise se consacre au patinage artistique. Le secret de sa réussite c'est le travail, tous les dimanches il s'enferme dès sept heures dans son bureau sauf quand il va sur les routes pour visiter ses concessionnaires. Un moment donné dans sa vie d'entreprise, ses concessionnaires ne l'ont pas pris au sérieux puisqu'il avait des soucis financiers, ses rares moment de détente il les consacra au club des "lions" dont il était président et au conseil municipal de Saint-Dizier là où il ne manquait jamais une séance. Il ne faut surtout pas oublier les précieuses aides de ses frères comme il disait "Nous sommes les cinq doigts d'une même main, dit-il, je suis le général, ils sont les lieutenants. Mais je les considère comme mes égaux. A nous cinq, nous réalisons le travail de vingts directeurs. Nous n'aurions peut-être pas réussi si nous n'avions pas tout pris en main. Dans une affaire de famille, on n'a de compte à rendre à personne, on prend des décisions rapides et on évite les cloisonnements."