Utilisateur:Toumriver/Brouillon

Le shadow work dans l'économie

Le shadow work dans l'économie ce définie par étant la création de valeur pour une entreprise en échange de bénéfice ou pas de bénéfice. [1]

Une autre façon d'approcher le sujet serrait d'expliquer pourquoi le shadow work existe. Selon M.Casilli, nous sommes constamment entrain de travailler sans reconnaissance pour les grandes entreprise. En effet, il explique que tout actions faites sur une plateforme génère une donné qui est ensuite utiliser au profit de l'entreprise. «C'est ce qui permet à la plateforme d’exister. Le cas classique est la note que le passager laisse au chauffeur Uber. C'est une donnée qui qualifie le service, qui sert à la plateforme pour optimiser son algorithme et ses prestations.»[2] Cet exemple illustre en quoi consiste le shadow work numérique, c'est-à-dire, toute les réactions du consomateur retenu par le propriétaire. Ensuite, il démontre son utilité. Pour continuer, Craig Lambert soutient une autre explication à la présence de Shadow work dans nos vie. Il explique, grâce à l'exemple d'un supermarché ou il est de plus en plus rare de voir des employés, que l'absence de soutien force les consomateurs à faire plus de travail dans l'enceinte du magasins ce qui prolonge leur temps à être vulnérable à acheter plus de produits.[3] En continuant, Craig Lambert soulève le point, par l'exemple que les stations service d'antan offrait un service à la pompe qui à maintenant été remplacé par un libre-service, que désormais il faut constamment faire des travails de premier rang par soi-même, bénéfice du libre-service. Donc, par l'informatisation de certain service les consomateur se retrouve à faire du Shadow Works au profit des entreprise qui on pu couper dans leurs main d'œuvres.[3]




  1. (en) Sung Yul-Ryoo, « Antecedents and Consequences of Digital Shadow Work in Mobile Shopping Apps Context », sustainability,‎ (lire en ligne)
  2. Antonio casilli, « Il n’y a pas d’intelligence artificielle, il n’y a que le travail du clic de quelqu’un d’autre », éditions du détour,‎ , p. 33-55 (lire en ligne [PDF])
  3. a et b (en) Craig Lambert, « Our Unpaid, Extra Shadow Work », The New Yorks Times,‎ (lire en ligne [PDF])