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Georges Béal Georges Béal est un sculpteur ornemaniste français, né le 30 juillet 1884 à Paris [1], décédé le 10 août 1969 en Seine-et-Marne [2] et enterré au cimetière de Crécy-la-Chapelle (Seine-et-Marne).

Ses objectifs sont de créer des modèles d'objets utiles pour la vie quotidienne : services de table, café, thé, vases, pendulettes, luminaires, coupes… Il confie ensuite ses créations à différents fabricants: bronziers, orfèvres, verriers [3].

==Biographie==
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Formation-La Réunion des Fabricants de Bronzes

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Très jeune, il décide de son métier : influencé par son père, Jean-Marie Béal (1856-1944), artisan gainier, il s’oriente dans le domaine des arts appliqués.

En 1898, à 14 ans, il entre à l’Ecole professionnelle de Dessin, Modelage et Ciselure de la Réunion des Fabricants de Bronzes (8, rue Saint Claude, Paris 3e).

A 17 ans, il passe le concours de fin d'études en sculpture d’ornement et obtient le 3e prix pour « un plateau porte-cartes : modelé et réparé avec une expérience rare à cet âge ». Pour ce prix, la Réunion des Fabricants de Bronzes lui remet une somme de 100 francs grâce au legs Didier. Les prix sont distribués dans la mairie du 3e arrondissement en février de 1902 [4].

En 1909, au Concours des jeunes artisans, la Réunion des Fabricants de Bronzes lui décerne un 6e prix pour la réalisation d’un vase en bronze Les Pissenlits avec une somme de 100 francs du legs Didier ; le vase est représenté dans le bulletin annuel [5].

===Ses ateliers===
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En 1920, Béal crée son atelier personnel de sculpture au 73 rue de Bagnolet, Paris 20e dans un des sept locaux de 27 m2 environ, situés sur cour au rez-de-chaussée [6].

En février 1928, pour faire construire une maison, Béal achète une partie du terrain situé à l’angle de la rue Drevet et de la rue Gabrielle, Paris 18e ; l’autre partie est achetée par le peintre, Maurice Cahours (1899-1974) [7].

La maison de Cahours ouvre au 21 rue Gabrielle avec un atelier s’élevant sur 2 étages ; la maison de Béal comporte un atelier au 1er étage et a pour adresse 14 rue Drevet [8].

===Société des artistes français===
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En 1906, Georges Béal présente au Salon des artistes français une vitrine (n°4615) contenant des objets d’art en matières diverses en collaboration, pour la ciselure, avec Raymond Bonnafoux et Georges Soudanas; il précise qu’il est élève de Furcy Rambaud [9].

En 1907, il expose une vitrine (n°4501) contenant des pièces d’orfèvrerie avec la même collaboration que celle de l’année précédente [9].

En 1910, il présente une lampe électrique et un vide-poche avec des motifs végétaux : Les Orchidées (n°5069) [10].

Pour ces trois expositions, Béal mentionne pour adresse son logement personnel, le 44 rue Alexandre Dumas Paris 11e.


En 1921, Béal présente une vitrine (n°4729) contenant des objets en matières diverses ; son atelier du 73 rue de Bagnolet est signalé pour la première fois [11].

En 1922, il présente une vitrine (n° 4556) contenant divers objets d’art en argent et ivoire édités par la Maison d'orfèvrerie Lapparra et Gabriel (existant actuellement sous le nom de Souche Lapparra): Cafetière argent, anses ivoire. Théière. Sucrier. Crémier. Plateau métal argenté. Légumier argent. Plat rond. Saucière argent avec plateau. Couvert table argent. Couteau table manche argent. Couteau table manche ivoire [12].

===Société des artistes décorateurs===
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A partir de 1921, Georges Béal expose aux Salons des artistes décorateurs [13].

Il devient membre actif de la Société des artistes décorateurs à partir de 1922 et jusqu’à 1949.

Les objets créés par Béal et exposés aux Salons des artistes décorateurs ainsi que les entreprises qui les ont édités sont reportés dans le tableau suivant [13]:

Salons de la

Société des

artistes

décorateurs

(SAD)

Ouvrages créés par Georges Béal édités par:
1921 Sept appliques de meubles en bronze doré

(pour la parfumerie d'Orsay)

Christofle et Cie
1922 Légumier-Saucière sur plateau-Services à thé et à café sur

plateau-Plat-Couverts et Couteau-

Service tête à tête en vermeil (modèle Mado) [14].

Lapparra et Gabriel,

orfèvres

1923 Un vase argenté à 8 pans

Un service à thé argent et bois d'amourette


Trois pendulettes dorées


Un lustre bronze et marbre (5 lumières)


Service de couverts et couteaux en argent à pans filetés

(8 pièces) et différents plats à pans filetés en argent

Service de couverts et couteaux en argent à joncs

(8 pièces) et différents plats à joncs en argent [15]




Lapparra et Gabriel, orfèvres


Servin, horloger


Bonvoisin, bronzes


Cardeillac

collaboration avec

Puechmagre,

dessinateur




1924 Un service à thé en argent et nacre sur plateau,

érable, nacre et argent [16]


Deux pendulettes, bronze doré

Société Française de Joaillerie

et Orfèvrerie

R. Linzeler


Leblanc-Barbedienne

1927 Un service à café argent, bois d'amarante et ébène

sur plateau


Deux services à thé, argent [17]

Béal


Lapparra, orfèvre

1928 Vase en bronze patiné : Les Prismes

Vase en verre pressé : Capillaires, Mimosa [18]

Société Etling


1932 Vase :Trois poissons

Serre-livres : Les Cygnes (en verre pressé) [19]

Société Etling
1933 Coupe Vase
1935 Coupe d'aviation métal argenté [20] [21] Maison Barbedienne


===La Société d'Encouragement à l'Art et à l'Industrie===

La Société d'Encouragement à l'Art et à l'Industrie (SEAI) attribue, pour des artistes français se présentant à des Salons ou à des Concours, des récompenses sous forme de primes et d'une plaquette en bronze (de 5,9cm x 4,1cm) sculptée par Louis Oscar Roty [22] .

Béal a reçu trois récompenses de cette société :

- Suite au Salon des Artistes Français de 1922, la Société d'Encouragement à l'Art et à l'Industrie lui décerne la 1re Prime (300 francs) avec la plaquette en bronze sculptée par Louis Oscar Roty [23].

- Suite au Salon des Artistes Décorateurs de 1922, la Société d'Encouragement à l'Art et à l'Industrie lui décerne la 2e Prime (200 francs) avec la plaquette en bronze sculptée par Louis Oscar Roty [24].

- Suite au Concours du Luminaire Electrique en 1924, la Société d'Encouragement à l'Art et à l'Industrie lui attribue la plaquette en bronze sculptée par Louis Oscar Roty.

===Musée Galliera===
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Au Musée Galliera, pendant l’hiver 1923-1924, Georges Béal présente, à l’Exposition d’Art moderne, ses créations en argent et ivoire éditées par les orfèvres Lapparra et Gabriel qu’il avait montrées auparavant au Salon des artistes français de 1922 [25].

En 1924, il expose à l’Exposition générale annuelle d'art appliqué, au Musée Galliera [26].

===L'Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes de 1925, Paris===
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L'Exposition Internationale des Arts Décoratifs et Industriels modernes de 1925 est marquée par une innovation qui consistait à une étroite collaboration entre industriels et artistes [27].

Béal collabore avec une douzaine d'entreprises industrielles et expose dans différents lieux de l’Exposition [28]:

Biuret-Debeaurin, quincaillerie, Tully (Somme), à l’esplanade des Invalides, stand 2.

Atelier Moderne d'orfèvrerie (Vaguer Frères et Desmarquets Ch .), 26 rue Beaubourg, au Grand Palais dans le Hall C, vitrine 19A.

Bibollet Paul, orfèvrerie, 3 rue de la Perle Paris, au Grand Palais dans le Hall C, vitrine 19B.

Bonvoisin Léon, bronzes d'éclairage, 35 Boulevard Richard-Lenoir, au Grand Palais dans le Hall I, stand 20.

Charles Ernest, horlogerie, 101-103 rue de Turenne, au Grand Palais dans le Hall F, vitrine 12.

Etablissements Pignolet, Sontao et Cie, bronzes d'éclairage, 106 rue Vieille-du-Temple, au Grand Palais dans le Hall F, stand 19.

Lapparra et Gabriel (Lapparra, successeur) fabricant orfèvrerie, 157 rue du Temple, à l’esplanade des Invalides, stand 29.

Maison Aucoc André, orfèvrerie, 6 rue de la Paix, au Grand Palais galerie D, vitrines 36, 37, 38.

Olier G. et Caron E. fabricants-orfèvres, 89 rue Turbigo, au Grand Palais dans le Hall C, vitrine 21.

Savary et fils, orfèvrerie, 79 rue Quincampoix, au Grand Palais dans le Hall C, vitrine 27.

Société française de joaillerie et d'orfèvrerie Robert Linzeler et Marchak réunis, orfèvre, 9 rue d'Argenson et 4 rue de la Paix, à l’esplanade des Invalides, stand 49, 50 et au Grand Palais dans le Hall C, vitrine 22.

Studium-Louvre, place du Palais-Royal, Pavillon 113.

Les objets exposés sont groupés en classe par leur nature et leur destination [28] [29]

Georges Béal obtient des distinctions dans trois classes [30]:

Deux médailles d'or lui sont décernées:

- en groupe I, architecture ; classe 4 : art et industrie du métal : béquille (poignée de porte) et plaque (plaque de propreté) en bronze ciselé et doré au mercure, fabriqués par la Maison de fonderie de cuivre et de fer de Biuret-Debourin et édités par Bricard. Il est écrit : « La même entente artistique régnait dans la galerie réservée à la classe 4. Buiret-Debaurin (l'entreprise) avait demandé des modèles de quincaillerie en bronze à, Dekeirel, Béal et Guiroud ; Bezault frères, à Dumaine, Grisolier et Delannoy ; Bricard, à Béal et Dumaine ; la Quincaillerie centrale, à Prou ; Picard à, Dominique, Puiforcat et Renouvin » [31].

-en groupe II, mobilier ; classe 10, art et industrie du métal : lampe avec deux abat-jour, fabriqué par Aucoc [32].

-un diplôme d'honneur lui est attribué en groupe II, mobilier ; classe 9, tabletterie et maroquinerie : services à thé et de table avec combinaison de pierres précieuses. On peut lire : « Bibollet présente à l'Exposition, avec la collaboration des sculpteurs Béal et De Thèze et du personnel de la maison, des services à thé avec combinaison de pierres précieuses, lapiz, agate, ivoire, un surtout décoré d'améthyste, des plats, légumiers, saucière et quelques fantaisies » [33].


Béal participe aussi à la réalisation de deux ensembles :

- le salon de réception d'une ambassade française située dans la Cour des Métiers du côté de l'Esplanade des Invalides  ; il réalise l'orfèvrerie [28] [34] [35].

- les salles de l'enseignement technique situées dans le Grand Palais au 1er étage ; pour la salle 27, intitulée « atelier des créateurs de modèles », il collabore dans le domaine sculpteur-dessinateur, bronze, orfèvrerie [28].

===L'Exposition Universelle des Arts et des Techniques appliqués à la Vie moderne de 1937, Paris===
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Le Ministère du Commerce et de l'Industrie commande à Georges Béal la création d'un vase lumineux en métal argenté pour l’exposition universelle des Arts et des Techniques appliqués à la Vie moderne de 1937 [36].

Le dossier complet de la commande et du contrat est conservé aux Archives nationales [37]. Le vase Il fut exposé dans le Pavillon de la classe 44 (orfèvrerie).

La médaille d'argent lui est décernée.

Le vase lumineux de Béal est conservé au Mobilier national.

Il a été visible à la Manufacture des Gobelins lors de l'Exposition ‘’L'Esprit et la Main’’ (27 mars 2015-13 décembre 2015).

===La verrerie===
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A partir de 1928, Georges Béal travaille avec des entreprises de verrerie : Etling et Verlys.

Béal fut l'un des artistes principaux de la Maison Etling [38] [39][19] [40] . Cette entreprise était éditeur de « multiples » dans les domaines du verre pressé-moulé et de la statuaire en bronze, terre cuite et céramique.

Béal réalisa des coupes, des vases … aux décors floraux stylisés ou de branches et pommes de pins en relief [38] [39] [19] ; les reliefs étaient moins saillants qu’avec les autres créateurs [39] [19].

Les œuvres de Béal, fabriquées par Etling, sont mentionnées dans quatre livres :

Dans Le génie verrier de l'Europe, un vase en verre opalescent moulé à la presse de motif pommes de pin en relief est représenté [38].

Dans Glass Art Nouveau to Art Deco par Victor ARWAS, un vase-fleur avec une base lumineuse et trois oiseaux perchés est signalé [39].

Dans ‘’Opalescence, le verre moulé des années 1920-1930’’, les créations mentionnés sont : un vase pin,

un serre-livres cygnes (exposé au Salon des Artistes Décorateurs en 1922), une coupelle tournesol de 170mm de diamètre ; en outre, sont représentés trois objets de verre pressé-moulé : une coupe et un bol modèle tournesol et une coupe chardon [19].


La marque Verlys, dont les usines étaient situées aux Andelys, provient de la contraction de VERrerie des AndeLYS.

Dans Opalescence sont photographiés des modèles de vases givrés signés Verlys. Le modèle Les Barrettes est une création de Béal (collection privée)[19] .

Le modèle Mimosa édité par Verlys (collection privée) est différent du modèle Mimosa édité par Etling [18].

Notes et Références

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  1. Archives de Paris, 12e arrondissement, année 1884, acte de naissance n°2086.
  2. Archives de Seine-et-Marne, commune de Lagny-sur-Marne, année 1969, transcription de l'acte de décès n°19
  3. Martine Hanotelle-Hervé, « Georges Béal, sculpteur ornemaniste », Bulletin de la Société d'Histoire et d'Archéologie des IXe et XVIIIe arrondissements de Paris, n°86,‎ , p.52-60 (ISSN 2104-5437)
  4. Fonds de la Réunion des Fabricants de Bronzes, Annuaire, Archives nationales, 106AS/63.
  5. Fonds de la Réunion des Fabricants de Bronzes, Bulletin annuel, Archives nationales, 106AS/65.
  6. Archives de Paris, permis de construire, 73 rue de Bagnolet, Paris 20e, VO11/186 et 2351W/22.
  7. Archives de Paris, sommier foncier, DQ18 1876 et DQ18 1852.
  8. Archives de Paris, permis de construire : 21 rue Gabrielle, VO12/252 ; 14 rue Drevet, VO11/1028.
  9. a et b Catalogue des Salons des artistes français, 1905-1907, Bibliothèque Forney, cote SAF « 1905-1907 ».
  10. Catalogue des Salons des artistes français, 1908-1910, Bibliothèque Forney, cote SAF « 1908-1910 ».
  11. Catalogue du Salon des artistes français en Arts appliqués du 4 mars au 17 avril 1921, Bibliothèque des Arts décoratifs, cote G 199/1921.
  12. Catalogue de l’Exposition d’art appliqué organisée au Salon de la Société des artistes français : du 5 mai au 30 juin 1922, Bibliothèque des Arts décoratifs, cote G 199/1922.
  13. a et b Société des Artistes décorateurs, Bibliothèque Forney, cote SALON SAD.
  14. Art et Décoration, juillet-décembre 1922, tome 42, La Première Exposition de la Décoration Française Contemporaine, Yvanhoé Rambosson, p. 182-192; le service tête à tête en vermeil créé par G. Béal est représenté page 182; https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6129726f/f202.item
  15. Art et Décoration, janvier-juin 1923, tome 43, Le XIVe Salon des Artistes Décorateurs, René Chavance, page161-192, Bibliothèque des Arts décoratifs, cote JP 9 ; La saucière ovale à joncs en argent créée par G. Béal est représentée page 186.
  16. Art et Décoration, janvier-juin 1924, tome 45, Le XVe Salon des Artistes Décorateurs, Léon Deshairs, p. 161-200 ; le service en argent et nacre créé par G. Béal est représenté page 173 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54602699/f192.image
  17. Les Echos des Industries d’Art, n°23, juin 1927, 17ème Salon des Artistes Décorateurs, René Chavance, Bibliothèque des Arts décoratifs, cote JP 98, page 5-22.
  18. a et b Vase modèle Mimosa édité par Etling https://www.catawiki.eu/l/6617923-etling-france-georges-beal-vase-mimosa
  19. a b c d e et f Opalescence, le verre moulé des années 1920-1930, exposition du 15 octobre au 29 novembre 1986, ed . Banque Bruxelles-Lambert, Bruxelles, 1986, Bibliothèque Forney, CE 8509.
  20. La coupe d’aviation exposée en 1935 au SAD pourrait correspondre à celle dont le dessin a été trouvé dans les archives Lapparra : coupe Béal ’’Aviation’’, 12/02/1933, n° 12294.
  21. La coupe Béal dont le dessin porte le n°12294 (archives Lapparra) a été choisie comme récompense pour le deuxième prix d'un concours d'aviation en 1943, obtenu par la section scolaire de Jouy-en-Josas et de l'aéro-club Louis Blériot ; elle est représentée dans la revue l’Aérophile, mars 1944, p. 32 [(Gallica]. [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6553779h/f9.image]
  22. La Société d’Encouragement à l’Art et à l’Industrie, Bibliothèque de l’Hôtel de Ville, Br 5159.
  23. Art et Décoration, Chronique, juillet 1922, page 3, Bibliothèque des Arts décoratifs, cote JP 9.
  24. Art et Décoration, Chronique, avril 1922, page 2, Bibliothèque des Arts décoratifs, cote JP 9.  
  25. Une lettre écrite par Georges Béal avec un en-tête de son atelier témoigne de sa participation au Musée Galliera à l’Exposition d’Art moderne, Archives Palais Galliera, Musée de la mode de la Ville de Paris.  
  26. L'Amour de l'Art, 1924, n° 20, L'exposition générale annuelle d'art appliqué au Musée Galliera, Yvanhoé Rambosson, Bibliothèque des Arts décoratifs, cote JP 50, p. 27-28.
  27. Les Arts décoratifs, les arts graphiques, les arts du spectacle des années 1920-30, Geneviève Tixier, Bibliothèque Forney, cote NS 38387.
  28. a b c et d Catalogue général officiel de l’Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, 1925, Paris, Ministère du Commerce, de l’Industrie, des Postes et des Télégraphes, Bibliothèque Forney, cote UNIV « 1925 » R6.
  29. Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, 1925, Paris : son objet, son programme, son importance économique, Bibliothèque de l’Hôtel de Ville de Paris, cote 203520.
  30. Extrait du Journal officiel de la République Française du 5 janvier 1926 ; Ministère du Commerce, de l’Industrie, des Postes et des Télégraphes, Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, Paris, 1925, Liste des Récompenses, Bibliothèque de l’Hôtel de Ville de Paris, cote 39495.
  31. Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, 1925, Paris, Bibliothèque Forney, cote UNIV « 1925 » R9 Vol III, page 53 et planche XLV (représentation des deux créations).
  32. Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, 1925, Paris, Bibliothèque Forney, cote UNIV « 1925 » R9 Vol V, planche XXIII (représentation de la lampe).
  33. Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, 1925, Paris : L'Art de la Bijouterie, la Joaillerie, l'Orfèvrerie, l'Horlogerie, les Pierres précieuses, Edition de luxe de l'horloger, 49 Boulevard Saint-Michel, Paris, Bibliothèque Forney, cote UNIV »1925 » T41, p. 48.
  34. 1925 quand l’art déco séduit le monde, Cité de l’architecture et du patrimoine du 16 octobre 2013 au 17 février 2014, ED Norma, Bibliothèque Forney, cote CE 40197, p. 112.
  35. L’Art Vivant, 1925, n° 20, Exposition internationale des Arts Décoratifs-Art et Industrie du Métal, Bibliothèque des Arts décoratifs, JP 73, p. 18-22.
  36. Livre d’or officiel de l’Exposition Universelles des Arts et des Techniques appliqués à la Vie moderne, 1937, Paris, République française, Ministère du Commerce et de l’Industrie, Bibliothèque de l’Hôtel de Ville de Paris, cote 1748/V6, p. 375.
  37. Exposition Universelles des Arts et des Techniques appliqués à la Vie moderne, 1937, Paris, , dossier des commandes et travaux, Archives nationales, cote F/12/12163.
  38. a b et c Le génie verrier de l'Europe, Guiseppe Cappa, ed. Mardaga, 1998, p. 251-252, Bibliothèque Forney, NS 58040.
  39. a b c et d Glass Art Nouveau to Art Deco, Victor ARWAS, Academy Editions, London, 1987, p. 69-70, Bibliothèque Forney, NS 40553.
  40. L’Europe de l’art verrier, Des précurseur de l’Art Nouveau à l’Art actuel 1850-1990, Guiseppe Cappa, ed. Mardaga, 1991, page 162-166, Bibliothèque Forney, 39619.
==Annexes==
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===Bibliographie===
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Emmanuel Bénézit, Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays, Paris, Gründ, 1999, Volume 1, p.915.

Thierry Roche, Dictionnaire biographique des sculpteurs des années 1920-1930, Éditeur Beau fixe, octobre 2007, p.48.

===Galerie===
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[[catégorie: sculpteur ornemaniste]]

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[[catégorie: Réunion des Fabricants de Bronzes]]

Société des artistes français

Société des artistes décorateurs

[[catégorie: Société d'Encouragement à l'Art et à l'Industrie]]

Palais Galliera, musée de la Mode de la ville de Paris

Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes

Art et Décoration

[[catégorie: verrerie Verlys]]

[[catégorie: verrerie Etling]]