Utilisateur:StanyH/Brouillon

L'auteur compose ces ciné-poèmes à partir d'une scène du film nommé, d'un cadrage ou d'un détail saisi (réplique d'un dialogue, couleur d'un vêtement, élément de décor...); autant d'éléments assemblés ou isoles qui expriment ressentis et focus personnels reflétant une intention réelle ou supposée du cinéaste.

« Ainsi ne prétend-il pas abusivement « s'effacer derrière le film », illusion moderne prétexte aux démonstrations de force, mais bien au contraire, faire de certains de ses thèmes (même les plus ténus), de certaines de ses couleurs (presque inaperçues) de la lenteur soudaine d'un enchaînement ou du florilège d'actions que progressivement il délivre, l'architecture même de son regard. »

— Ludovic Maubreuil, Ciné-méta-graphiques, Alexipharmaque éditions[1]

  1. Ludovic Maubreuil, Ciné-méta-graphiques, Paris, Alexipharmaque éditions, , 134 p. (ISBN 978-2917579442), chapitre V « Quatre approches hétérodoxes de la cinéphilie », sous chapitre 3 "le poète philosophe : Jacques Sicard", pages 52-54