Utilisateur:Rhetus Periander/Brouillon

Le Rhetus Periander modifier

Rhetus periander, the Periander metalmark or variable beautymark, is a butterfly of the family Riodinidae. It is found in most of Central America and South America, ranging from Mexico to Brazil and Argentina.

Le Rhetus Periander est un genre de lépidoptère, de la famille des Nymphalidae et de la sous-famille des ....

« La casbah [1]ou vieille ville d’Alger tire son nom de la citadelle qui la surplombe. Elle est un exemple important de ville historique au Maghreb. Le secteur de l'artisanat dans la Casbah, autrefois florissant, est de nos jours en déclin, concurrencés par les produits manufacturés. Le tourisme est en revanche stimulé par sa nomination au Patrimoine mondial de l'UNESCO.[2] [3] »


"Le petit panda[4] également appelé panda roux, ressemble à un grand chat. C'est d'ailleurs ce qui ressort de son nom chinois qui se décompose en « ours » et « chat » (les deux à la fois). Son épais pelage est entièrement roux à l'exception du bout des oreilles, des sourcils et des joues qui sont blancs, d'une bande brune qui barre le museau et les joues, et des pattes qui sont noires. Sa queue longue d'une quarantaine de centimètres est touffue et s'orne de neuf bandes blanc jaunâtre. Son extrémité est noire. "


  1. Saïd Almi, Urbanisme et colonisation: présence française en Algérie, Editions Mardaga, , 159 pages (ISBN 2-87009-812-x, lire en ligne), p. 144
  2. UNESCO Centre du patrimoine mondial, « Casbah d'Alger », sur UNESCO Centre du patrimoine mondial (consulté le )
  3. « A Alger, les artisans de la Casbah tentent de sauver leur héritage », sur RFI, (consulté le )
  4. Futura, « Petit panda », sur Futura (consulté le )
Rhetus Periander/Brouillon
Biographie
Activité
directeur des caves de la maison Pommery

Marius Poirier, né le à Chagny et mort le à Reims, est, de 1929 à 1936 , le directeur des caves de la maison de Champagne Pommery. Il succède en 1936 à Louis Cochet au poste de directeur jusqu’en 1948, année de sa

retraite.

Biographie modifier

Marius Poirier est le fils de M. Poirier de Chagny, vice-président de la Société d'agriculture et de viticulture de Chalon et de Marie Suzanne Menu. Il se marie avec Hélène Victorine Molinet, puis Victorine Angélique Antoine (1829-1900). Il travaille pendant 40 ans pour la maison de Champagne Pommery et en est devenu le chef de cave en 1872 jusqu’à son départ à la retraite en 1892[1]. Il décède le à l'âge de 81 ans et repose au cimetière du Sud de Reims.Comme Albert Khan qui constitua entre 1909 et 1931 les archives de la planète, ils comprirent que la technique photographique était non seulement un art, mais aussi la possibilité de témoignages historiques.

Dès août 1914 et pendant toute la guerre, à la méthode de reporters de guerre, ils photographièrent les destructions provoquées par les bombardements allemands sur Reims, la cathédrale et la maison Pommery & Greno.

Marius Poirier n’hésita pas à photographier la guerre dans toute son horreur, les cadavres d’une compagnie de soldats territoriaux français anéantie par un obus allemand tiré sur la Moulin de la Housse, ou ceux de soldats allemands blessés et abrités dans la cathédrale transformée en hôpital et brulés vifs lors du bombardement du 19 septembre 1914.

Ces témoignages photographiques sur plaques de verre sont de très grande qualité, reflet d’une grande habileté dans les angles de vue, les cadrages, les temps de pose et les techniques de développements. Ces 236 plaques stéréoscopiques associées au tapuscrit de l’abbé Rémi Thinot forment un témoignage poignant du martyre subit par Reims et ses habitants. Marius Poirier avait conservé les dernières photographies prises par son ami Remi Thinot juste avant sa mort sur le front où il était aumônier volontaire du groupe de brancardiers de la 34ème division. Après-guerre, Marius continua à photographier Reims et plusieurs photos sont de magnifiques témoignages de la reconstruction.

Politique modifier

Il sera également membre de nombreuses sociétés locales :

  • Vice-président de la société de gymnique « La sentinelle »,
  • Président d’honneur des quatre sociétés colombophiles de Reims,
  • Président d’honneur de la société de tir du 46e territorial,
  • Président d’honneur de l’Orphéon des enfants de Saint-Remy,
  • Président d’honneur de la fanfare de trompette « L’étoile Rémoises »,
  • Administrateur aux hospices civil et du bureau de bienfaisance,
  • Membre du conseil des Directeurs de la Caisse d’épargne de Reims[2].

Décorations modifier

Hommage et postérité modifier

Un boulevard de Reims, ouvert en 1913, porte son nom : le boulevard Victor Lambert[1]. Bezannes, sa ville de naissance, possède également une rue et une impasse à son nom.

Notes et références modifier

  1. a et b Jean-Yves Sureau, Les Rues de Reims, mémoire de la ville, Reims, 2002, p. 217.
  2. https://www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr/ui/notice/209304#show
  3. « Cote LH/1456/82 », base Léonore, ministère français de la Culture.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Victor Lambert - Charles Richard (de Reims), 1901, Reims, Impr. de Matot-Braine.
  • Jean-Yves Sureau, Les Rues de Reims, mémoire de la ville, Reims, 2002, p. 217.

Liens externes modifier

  • Son autobiographie dans l'ouvrage de Léon Frémont, Revue de Champagne et de Brie: Histoire - biographie - archéologie - documents inédits - bibliographie - beaux-arts, H. Menu, (lire en ligne), p. 529-532.