Utilisateur:Patmatou/Brouillon

Emmanuel Cochart Chef d'entreprise et inventeur français. Né en 1900. Mort le 08 Septembre 1980. A vu dans le vélo le moyen de transport de l'avenir pour les villes. Fabriquait entre autres objets des abris et garages à vélo, des meubles de jardin, des plaques publicitaires. A présenté à la société d'astronomie de langue française lors de la séance du 7 avril 1954 un cadran solaire pouvant donner l'heure légale et l'heure universelle. (1)

Parmi une vingtaine d'idées et inventions les 2 plus connues: -l'Abribus -le « Velocipal » vélo municipal ancêtre du velib.

L'Abribus: modifier

Il fit un prototype d'abri pour les personnes attendant les bus sur lequel il avait disposé des plaques publicitaires. Il déposa la marque « Abribus », « Abri pour les personnes en attente à proximité d'une chaussée », le 02 Décembre 1965 à Charleville Mézières. Marque enregistrée sous le numéro de l'INPI 705975.(2) Cette marque "Abribus" fut prise ensuite le 09 Janvier 1986 par Mr JC Decaux.

Le « Velocipal » velo municipal: modifier

A eu l'idée de la mise à disposition de vélos en libre service par les municipalités. A trouvé a La Rochelle le maire Mr Crépeau qui a accepté de tenter l'expérience. Ce furent en 1976. les « vélos municipaux » plus connus sous le nom de « vélos jaunes ». A déposé les marques Velocipal / Velocipaux pour la contraction de « vélo municipal » / « vélos municipaux » "Véhicules à 2 roues destiné principalement à la circulation urbaine", le 03 Janvier 1977, Marques enregistrées sous les numéros de l'INPI 1015936 et 1027720. « L’opération des « vélos municipaux » donne naissance au concept des vélos en libre service tels que nous les verrons se développer dans les années 2000 dans la majorité des grandes villes européennes... L’innovation repose avant tout sur l’appropriation sociale de l’opération par les Rochelais, après l’inauguration. Ainsi, l’utilisation collective d’un mode de déplacement individuel, la gratuité des bicyclettes et la « surveillance citoyenne » du système, suscitent de nombreuses controverses, teintées de tensions idéologiques. Les critiques poussent les édiles urbains à créer une commission extra-municipale chargée de faire évoluer le système. En 1978, les « vélos municipaux » connaissent alors une deuxième vie avec l’introduction de la publicité sur les vélos, le renforcement du contrôle des usagers et de la sécurisation du matériel... En quelque sorte, les vélos rouges de JCDecaux à Lyon reprennent, trente ans plus tard, les inventions sociales des vélos jaunes de La Rochelle. » Extraits de communication prononcée par Maxime Huré au congrès international d'histoire du cycle.

(1)Société Astronomique de France : séance du mercredi 7 avril 1954. Archives de la NASA. (2)(3) Base de données marques de l'INPI. Recherche par nom sur "française non en vigueur". http://bases-marques.inpi.fr/Typo3_INPI_Marques/marques_recherche_avancee.html