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Maël de Calan

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Maël de Calan, né le 30 avril 1980 à Marseille, est un homme politique français élu dans le Finistère, Secrétaire national de l'Union pour un mouvement populaire et Délégué national du think-tank la Boîte à idées[1].

Études et formations

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Maël de Calan est un diplômé de l'École de Sciences Po Paris (2003), HEC (2006) et titulaire d’un DESS de droit des affaires de l’Université de Paris I Panthéon Sorbonne depuis 2006.

Carrière politique

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Maël de Calan a d’abord été investi au sein des Jeunes Populaires, comme Président de l’UMP Sciences Po (2001-2003)[2] puis comme Responsable départemental des Jeunes Populaires de Paris (2003-2005).

En 2010, il a fondé à la demande de Xavier Bertrand et aux côtés de Roger Karoutchi et Enguerrand Delannoy[3] l’Université permanente de l’UMP , une école interne destinée à offrir aux cadres et militants de l’UMP une formation aux idées et méthodes d’action politique.

Après avoir animé en 2011-2012 les groupes de travail ayant élaboré le programme économique de Nicolas Sarkozy[4], il a présenté au Congrès de l’UMP de novembre 2012 la motion de la Boîte à idées, qui a recueilli 9,2% des suffrages. Cette motion s'est depuis transformée en think-tank.

Nommé en 2012 Secrétaire national de l’UMP[5], il est également depuis 2014 conseiller municipal de Roscoff (Finistère), délégué à la communication et à l’Agenda 21[6]. Il est l’un des responsables de l’UMP du Finistère et intervient régulièrement dans le débat politique breton[7].

Membre de l’aile sociale et modérée de l’UMP[8], il est un proche du maire de Bordeaux Alain Juppé[9] ainsi que de l’ancien ministre de l’agriculture Bruno Le Maire[10].

Travaux sur la politique économique et les finances publiques

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Maël de Calan est responsable des questions de politique économique et de politique industrielle au sein de la Boîte à idées[11]. Il est maître de conférences à Sciences Po en finances publiques. Il a co-signé un rapport publié par l’Institut Montaigne qui compte 15 propositions afin de réaliser 60 milliards de $ d’économie dans le secteur des dépenses publiques[12].

Références

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