Utilisateur:Leonard Fibonacci/Niger, de la Pérée et Silas, le Babylonien

Est-ce que Niger de la Pérée qui agit conjointement avec un Silas et des parents du roi d'Adiabène dès le début de la révolte est le même qu'un des docteurs de l'église d'Antioche ? Est-il possible que Quintus Aquilius Niger, consul en 117, dont l'une des filles appelée Aquilia se marie avec un petit-fils de Sergius Paulus et de Cornelius Clemens appartenant tous deux au mouvement créé par Jésus, soit un descendant de la famille de ce Niger avec celle d'un des deux Aquila ? D'autant que Cornelius Clemens est vraisemblablement le père d'Aquila de Sinope. La tendance naturelle est de marier ses enfants avec quelqu'un qui partage la même religion, mais cela est encore plus vrai dans ce mouvement qui valorise dans ses Actes de martyrs des filles qui préfèrent mourir dans des souffrances atroces plutôt que d'épouser un « païen », même de rang social très élevé (Flavia Domitilla, Aurelia Petronilla, Felicula, Euphrosyne, Théodora, etc.).

De même, est-ce que le Silas lié à Antioche qui accompagne Paul de Tarse lors de son deuxième voyage est le même que le collègue de Niger de la Pérée agissant conjointement avec des parents du roi d'Adiabène dès le début de la révolte ? Silas est un nom que l'on trouve dans la dynastie d'Émèse. Le collègue de Niger au début de la révolte est appelé « Silas le Babylonien », renvoyant clairement aux « Babyloniens » de Batanée, région où selon Jules l'Africain et les Pères de l'Église se trouvait la famille de Jésus, notamment dans les villes de Nazara et de Kochaba. Rappelons que dans l'Évangile selon Luc, lorsque Jésus se trouve "dans sa patrie" il intervient dans la synagogue de Nazara, alors que dans les passages parallèles des évangiles selon Marc et selon Matthieu, il est seulement indiqué qu'il est « dans sa patrie ». Une formule pour le moins énigmatique.

Héliogabale qui appartient à la branche syrienne de la dynastie des Sévères épouse une Julia Aquilia Severa qui est vraisemblablement une descendante de Quintus Aquilius Niger. Son père s'appelle Quintus Aquilius [Sabinus ?], ce qui est parfaitement compatible avec cette hypothèse. Notons que plusieurs membres de cette dynastie syrienne avaient Jésus dans leur Panthéon personnel, même s'ils n'étaient pas monothéistes. Notons aussi que le fils ou le petit-fils de Cornelius Clemens qui se marie avec la fille de Sergius Paulus s'appelle Cnaeus Pinarius Cornelius Severus, ce qui indique que sa mère ou sa grand-mère s'appelait Severa ou un nom dérivé de cette forme, peut-être Aquilia Severa ou Flavia Severa, si c'est la demi-sœur de Titus et de Domitien.

Guerre des Juifs II modifier

Guerre des Juifs II, XIX, 2 modifier

 
Le site de Bethoron en 1880.

Ceux qui dans leurs rangs montrèrent le plus de bravoure furent Monobazos et Kénédéos (Κενεδαῖος)[1], parents de Monobaze roi d'Adiabène, puis Niger (Νίγερ) de la Pérée et Silas (Σίλας) le Babylonien, transfuge de l’armée du roi Agrippa. Les Juifs, repoussés de front, se replièrent vers la ville mais sur les derrières de l'armée, Simon, fils de Gioras, tomba sur l'arrière-garde romaine qui montait encore vers Béthoron, en dispersa une bonne partie et enleva nombre de bêtes de somme qu'il emmena à Jérusalem. [...]

Guerre des Juifs II, XX, 4 modifier

4. [566] D'autres gouverneurs furent choisis pour l'Idumée, savoir Jésus, fils de Sapphas (Σαπφᾶ), un des grands-prêtres, et Eléazar, (disputé: fils du nouveau grand-prêtre, Eléazar fils de Simon, Eléazar fils d'Ananias) et on manda à Niger, alors gouverneur de cette province (l'Idumée), qui tirait son origine d'au-delà du Jourdain, ce qui lui avait fait donner le surnom de Péraïte, de leur obéir.

Guerre des Juifs III, II, 1 modifier

1. [9] Cependant les Juifs. après la défaite de Cestius, enflés par ce succès inattendu, ne pouvaient contenir leur élan, et, comme emportés par le tourbillon de la Fortune. ne pensaient qu'à pousser la guerre plus loin. Leurs meilleurs combattants se rassemblèrent en toute hâte et coururent contre Ascalon. C'est une ancienne ville, éloignée de cinq cent vingt stades de Jérusalem[2], qui avait toujours été odieuse aux Juifs. Aussi en firent-ils l'objet de leurs premières attaques. Trois hommes, remarquables par la vigueur physique et la capacité, dirigeaient l'expédition : Niger, de la Pérée, Silas le Babylonien (ὁ Βαβυλώνιος Σίλας) et Jean l'Essénien. [...]

2. [...] ainsi le combat dura jusqu'au soir, et dix mille cadavres juifs, dont ceux de deux généraux, Jean et Silas, jonchèrent le champ de bataille. Les autres, la plupart blessés, se réfugièrent avec Niger, le seul survivant des généraux, dans une bourgade d'Idumée nommée Challis (inconnue). Du côté des Romains, il n'y eut que quelques blessés. [...]

3. [...] a même inexpérience, les mêmes désavantages militaires leur valurent la même infortune. Antonius avait dressé des embuscades sur le chemin ; ils y tombèrent inconsidérément ; environnés par les cavaliers avant d'avoir pu se ranger en bataille, ils perdirent de nouveau plus de huit mille hommes ; tout le reste s’enfuit avec Niger, qui se signala dans la retraite par de nombreux actes de courage. Pressés par les ennemis, ils s'engouffrèrent dans la forte tour d'un bourg nommé Belzédek[5].

Guerre des Juifs IV, VI, 1 modifier

1. [353] Persuadés par ce langage, les Iduméens commencèrent par mettre en liberté environ deux mille citoyens qui se trouvaient dans les prisons ; ceux-ci s'enfuirent aussitôt de la ville et allèrent rejoindre Simon (Bargiora) dont nous parlerons prochainement. Ensuite les Iduméens quittèrent Jérusalem pour retourner chez eux. Leur départ surprit les deux factions: le peuple, ignorant leurs regrets, retrouva quelque courage, car c'étaient, à ses yeux, des ennemis dont il était délivré. Les zélateurs, de leur côté, n'en furent que plus insolents, car pour eux ce n'étaient pas des alliés qui les abandonnaient, mais des gens qui se mêlaient de les conseiller, et de les détourner de la violence. Désormais, on fut criminel sans hésitation ni réflexion : les entreprises étaient décidées avec la plus grande promptitude et les décisions exécutées en moins de temps qu'il ne leur en fallait pour y penser. Ils poursuivaient surtout, dans leurs meurtres, le courage et la noblesse, détruisant celle-ci par jalousie, celui-là par crainte : leur seul moyen de salut, croyaient-ils, était de ne laisser aucun citoyen notable en vie. Ainsi Gorion (peut-être Gorion ben Joseph mentionné en IV, 159 et un membre de la famille de Nakdimon ban Gorion)(04) fut massacré avec beaucoup d'autres ; distingué par la considération dont il jouissait et par sa naissance, il n'en avait pas moins des sentiments démocratiques et, autant qu'aucun Juif, était rempli d'amour pour la liberté. Ce qui le perdit, outre ses autres avantages, fut la franchise de sa parole. Niger de la Pérée (05) n'échappa pas non plus à leurs mains; c'était un homme qui avait montré la plus grande valeur dans la guerre contre les Romains. Poussant de grands cris et montrant ses cicatrices, il fut traîné à travers la ville. Quand on l'eut conduit hors des portes, il désespéra de son salut et supplia ses meurtriers de lui donner une sépulture : mais ceux-ci, après l'avoir menacé de ne pas lui accorder ce coin de terre, objet de son plus vif désir, le mirent à mort. Tandis qu'on l'égorgeait, les imprécations de Niger appelaient sur eux la vengeance des Romains, la famine et la peste jointes à la guerre, et, outre tous ces maux, la discorde civile. Dieu ratifia toutes ces malédictions contre les scélérats, y compris celle qui les condamnait à éprouver bientôt, dans une lutte fratricide, la juste fureur de leurs concitoyens. Le massacre de Niger calma, il est vrai, les craintes des zélateurs concernant la conservation du pouvoir : mais il n'y avait pas de section du peuple pour la destruction de laquelle ils ne cherchassent un prétexte.

Actes des apôtres modifier

Niger modifier

Ac 13:1-Il y avait dans l'Église établie à Antioche des prophètes et des docteurs : Barnabé, Syméon appelé Niger, Lucius de Cyrène[3], Manaèn[4], ami d'enfance d'Hérode le tétrarque[,] et Saul.

Silas modifier

Comme Paul, Silas est un citoyen romain.

Envoyé à Antioche avec le décret apostolique modifier

Jacques prit la parole et dit : " Frères, écoutez-moi. Ac 15:14-Syméon a exposé comment, dès le début, Dieu a pris soin de tirer d'entre les païens un peuple réservé à son Nom. Ac 15:15-Ce qui concorde avec les paroles des Prophètes, puisqu'il est écrit : Ac 15:16-Après cela je reviendrai et je relèverai la tente de David qui était tombée , je relèverai ses ruines et je la redresserai, Ac 15:17- afin que le reste des hommes cherchent le Seigneur, ainsi que toutes les nations qui ont été consacrées à mon Nom, dit le Seigneur qui fait Ac 15:18-connaître ces choses depuis des siècles. Ac 15:19-" C'est pourquoi je juge, moi, qu'il ne faut pas tracasser ceux des païens qui se convertissent à Dieu. Ac 15:20-Qu'on leur mande seulement de s'abstenir de ce qui a été souillé par les idoles, des unions illégitimes, des chairs étouffées et du sang. Ac 15:21-Car depuis les temps anciens Moïse a dans chaque ville ses prédicateurs, qui le lisent dans les synagogues tous les jours de sabbat. " Ac 15:22-Alors les apôtres et les anciens, d'accord avec l'Église tout entière, décidèrent de choisir quelques-uns d'entre eux et de les envoyer à Antioche. Ce furent Jude, surnommé Barabbas[5], et Silas, hommes considérés parmi les frères. Ac 15:23-Ils leur remirent la lettre suivante : " Les apôtres et les anciens, vos frères, aux frères de la gentilité qui sont à Antioche, en Syrie et en Cilicie, salut ! Ac 15:24-Ayant appris que, sans mandat de notre part, certaines gens venus de chez nous ont, par leurs propos, jeté le trouble parmi vous et bouleversé vos esprits, Ac 15:25-nous avons décidé d'un commun accord de choisir des délégués et de vous les envoyer avec nos bien-aimés Barnabé et Paul, Ac 15:26-ces hommes qui ont voué leur vie au nom de notre Seigneur Jésus Christ. Ac 15:27-Nous vous avons donc envoyé Jude et Silas, qui vous transmettront de vive voix le même message.

Paul repart avec Silas modifier

Ac 15:36-Quelque temps après, Paul dit à Barnabé : " Retournons donc visiter les frères dans toutes les villes où nous avons annoncé la parole du Seigneur, pour voir où ils en sont. " Ac 15:37-Mais Barnabé voulait emmener aussi Jean, surnommé Marc ; Ac 15:38-Paul, lui, n'était pas d'avis d'emmener celui qui les avait abandonnés en Pamphylie et n'avait pas été à l'œuvre avec eux. Ac 15:39-On s'échauffa, et l'on finit par se séparer. Barnabé prit Marc avec lui et s'embarqua pour Chypre. Ac 15:40-De son côté, Paul fit choix de Silas et partit, après avoir été confié par les frères à la grâce de Dieu.

À Philippes modifier

Ac 16:18-Elle fit ainsi pendant bien des jours. A la fin Paul, excédé, se retourna et dit à l'esprit : " Je t'ordonne au nom de Jésus Christ de sortir de cette femme. " Et l'esprit sortit à l'instant même. Ac 16:19-Mais ses maîtres, voyant disparaître leurs espoirs de gain, se saisirent de Paul et de Silas, les traînèrent sur l'agora devant les magistrats Ac 16:20-et dirent, en les présentant aux stratèges : " Ces gens-là jettent le trouble dans notre ville. Ce sont des Juifs, Ac 16:21-et ils prêchent des usages qu'il ne nous est permis, à nous Romains, ni d'accepter ni de suivre. " Ac 16:22-La foule s'ameuta contre eux, et les stratèges, après avoir fait arracher leurs vêtements, ordonnèrent de les battre de verges. Ac 16:23-Quand ils les eurent bien roués de coups, ils les jetèrent en prison, en recommandant au geôlier de les garder avec soin. Ac 16:24-Ayant reçu pareille consigne, celui-ci les jeta dans le cachot intérieur et leur fixa les pieds dans des ceps. Ac 16:25-Vers minuit, Paul et Silas, en prière, chantaient les louanges de Dieu ; les prisonniers les écoutaient. Ac 16:26-Tout à coup il se produisit un si violent tremblement de terre que les fondements de la prison en furent ébranlés. A l'instant, toutes les portes s'ouvrirent, et les liens de tous les prisonniers se détachèrent.

[...]

Ac 16:37-Mais Paul dit aux licteurs : " Ils nous ont fait battre en public et sans jugement, nous, des citoyens romains (Paul et Silas ont la citoyenneté romaine), et ils nous ont jetés en prison. Et maintenant, c'est à la dérobée qu'ils nous font sortir ! Eh bien, non ! Qu'ils viennent eux-mêmes nous libérer. " Ac 16:38-Les licteurs rapportèrent ces paroles aux stratèges. Effrayés en apprenant qu'ils étaient citoyens romains, Ac 16:39-ceux-ci vinrent les presser de quitter la ville. Ac 16:40-Au sortir de la prison, Paul et Silas se rendirent chez Lydie (une des soeurs de Jésus s'appelle Lydia), revirent les frères et les exhortèrent, puis ils partirent.

Thessalonique puis Bérée modifier

Actes des Apôtres, chapitre 17

Ac 17:1-Après avoir traversé Amphipolis et Apollonie, ils arrivèrent à Thessalonique, où les Juifs avaient une synagogue. Ac 17:2-Suivant son habitude, Paul alla les y trouver. Trois sabbats de suite, il discuta avec eux d'après les Écritures. Ac 17:3-Il les leur expliquait, établissant que le Christ devait souffrir et ressusciter des morts, " et le Christ, disait-il, c'est ce Jésus que je vous annonce ". Ac 17:4-Quelques-uns d'entre eux se laissèrent convaincre et furent gagnés à Paul et à Silas, ainsi qu'une multitude d'adorateurs de Dieu et de Grecs et bon nombre de dames de qualité. Ac 17:5-Mais les Juifs, pris de jalousie, ramassèrent sur la place quelques mauvais sujets, provoquèrent des attroupements et répandirent le tumulte dans la ville. Ils se présentèrent alors à la maison de Jason, cherchant Paul et Silas pour les produire devant l'assemblée du peuple. Ac 17:6-Ne les ayant pas trouvés, ils traînèrent Jason et quelques frères devant les politarques en criant : " Ces gens qui ont révolutionné le monde entier, les voilà maintenant ici, Ac 17:7-et Jason les reçoit chez lui. Tous ces gens-là contreviennent aux édits de César en affirmant qu'il y a un autre roi, Jésus. " Ac 17:8-Par ces clameurs, ils mirent en émoi la foule et les politarques, Ac 17:9-qui exigèrent une caution de la part de Jason et des autres avant de les relâcher. Ac 17:10-Les frères firent aussitôt partir de nuit Paul et Silas pour Bérée. Arrivés là, ils se rendirent à la synagogue des Juifs. Ac 17:11-Or ceux-ci avaient l'âme plus noble que ceux de Thessalonique. Ils accueillirent la parole avec le plus grand empressement. Chaque jour, ils examinaient les Écritures pour voir si tout était exact. Ac 17:12-Beaucoup d'entre eux embrassèrent ainsi la foi, de même que, parmi les Grecs, des dames de qualité et bon nombre d'hommes. Ac 17:13-Mais quand les Juifs de Thessalonique surent que Paul avait annoncé aussi à Bérée la parole de Dieu, ils vinrent là encore semer dans la foule l'agitation et le trouble. Ac 17:14-Alors les frères firent tout de suite partir Paul en direction de la mer ; quant à Silas et Timothée, ils restèrent là. Ac 17:15-Ceux qui escortaient Paul le conduisirent jusqu'à Athènes et s'en retournèrent ensuite avec l'ordre pour Silas et Timothée de le rejoindre au plus vite. Ac 17:16-Tandis que Paul les attendait à Athènes...

À Corinthe modifier

Actes des Apôtres, chapitre 18

Ac 18:1-Après cela, Paul s'éloigna d'Athènes et gagna Corinthe. Ac 18:2-Il y trouva un Juif nommé Aquila, originaire du Pont, qui venait d'arriver d'Italie avec Priscilla, sa femme, à la suite d'un édit de Claude qui ordonnait à tous les Juifs de s'éloigner de Rome. Il se lia avec eux, Ac 18:3-et, comme ils étaient du même métier, il demeura chez eux et y travailla. Ils étaient de leur état fabricants de tentes. Ac 18:4-Chaque sabbat, il discourait à la synagogue et s'efforçait de persuader Juifs et Grecs. Ac 18:5-Quand Silas et Timothée furent arrivés de Macédoine, Paul se consacra tout entier à la parole, attestant aux Juifs que Jésus est le Christ.

Arbre incluant Quintus Aquilius Niger modifier



Ignota
 
Sergius Paulus[6]
converti par Paul de Tarse et Joseph dit Barnabas
 
Cn. Pinarius
Cornelius Clemens
[6]
«Consul Clemens»
ex. en 96
 
Acilius Glabrio[6]
ex. en 95
 
 
 
 
pe. Arria L.f. Plaria Vera Priscilla[7] ?
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Quintus Aquilius Niger
 
Sergia Paulina[6]
d'Antioche de Pisidie
 
Cn. Pinarius
Cornelius Severus
[6]
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Salonia Matidia[8]
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Rupilia Faustina[9]
Aquilia
 
Cn. Cornelius
Severus
 
Cornelia
Sev[era]

Manliol[ia][6]
 
 
 
 
M. Acilius Glabrio[6]
consul en 124}
 
 
 
 
 
 
 
 
Priscilla ?
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Caius Claudius Severus
1er gouverneur d'Arabie
(106 à 116)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Antonin le Pieux
empereur
de 138 à 161
 
 
 
Faustina Maior
Annia Galeria Faustina
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Cnaeus Claudius
Severus Arabianus
[6]
 
 
 
 
Annia
Faustina I
 
Annia Cornificia Faustina
 
Marc Aurèle
empereur
de 161 à 180
 
Faustina Minor
 
 
M. Acilius Glabrio
Cn. Cornelius Severus
 
Faustina[10]
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Cnaeus Claudius Severus
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Annia Galeria
Aurelia Faustina
 
Faustina Aciliana[10]
 
Priscilla Aciliana[10]
 
M. Acilius Glabrio[11]
 
M. Acilius Faustinus
c. suff. en 179[12]
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Ummidia Cornificia Faustina
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Quintus Aquilius [Sabinus ?]
 
 
 
 
 
Annia Faustina
 
Tiberius Claudius
Severus Proculus
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Julia Aquilia Severa
 
 
Empereur
Héliogabale
 
 
Annia Aurelia Faustina II
élevée en Pisidie
 
 
 
 
 
 

Les trois hommes du sommet de cet arbre se sont convertis à « la Voie du Seigneur Jésus » et l'on peut supposer raisonnablement que leurs descendants directs qui se marient entre-eux sont des chrétiens.

À noter: La présence de 5 Faustina/Faustinus, 2 Priscilla et quatre Aquilia, ce qui ne peut que confirmer que Cn. Pinarius Cornelius Clemens est bien le « consul Clemens », le père d'Aquila de Sinope et le frère de Faustinus, lui-même père d'Aquila du Pont et de l'évêque Clément de Rome.

Notes et références modifier

  1. Kénédéos (Κενεδαῖος) est-il Cédonius qui selon la tradituion est embarqué avec Marie la Magdaléenne, son frère Lazare, Martha sa soeur et sa servante Martille, ainsi que saint Maximin pour être exilé dans le sud de la Gaule en débarquant près des saintes Marie de la Mer. Ce Cédonius est donné comme « l'aveugle né guéri par le Seigneur ». Voir p. 458 de la Légende dorée. À ceux-là sont parfoisajoutés Joseph d'Arimathie qui poursuit son voyage en convertissant les Celtibères, puis se rend sur l'île de Grande Bretagne.
  2. Environ 92 kilomètres. A vol d'oiseau la distance n'est que de 70 kilomètres.
  3. Lucius de Cyrène (aussi appelé Andréas) dirigera la révolte juive de 117 (Guerre de Quietus)).
  4. Menahem, fils de Judas de Gamala ?
  5. Barabbas dans le codex Bezae, Barsabbas dans les versions courtes qui sont diffusées.
  6. a b c d e f g et h Françoise Des Boscs-Plateaux, Un parti hispanique à Rome?: ascension des élites hispaniques et pouvoir, p. 545
  7. CIL 11, 6333 ; PIR2 A 1120; ILCV 1073 ; CIL VI, 6333.
  8. Giacosa (1977), p. 9.
  9. Levick (2014), p. 163.
  10. a b et c CIL 14, 2484.
  11. Champlin, "Notes", p. 291s.
  12. Ioan Piso and Doina Benea, "Das Militärdiplom von Drobeta", Zeitschrift für Papyrologie und Epigraphik, 56 (1984), pp. 263ff