Utilisateur:Julien.karl/Brouillon

JKAE, 

Origine : Le JKAE est inventé en 2008 par Julien Karl Iaiche Achour, qu’il nomme d’abord J.K.A.I. Le développement se poursuit essentiellement dans le cadre d’AEKÜUS que Julien Karl et Jérémie Fiset cofondent en 2009. Ses différentes formes d’utilisations s’inspirent ensuite de plusieurs personnes au centre qui aident à mieux définir ses applications et les techniques associées, d’où son appellation finale : le Jkae (Julien Karl Aeküus.), T.M., Copyright.

L’objet : Le JKAE est un large morceau de tissu replié et cousu sur lui-même selon une méthodologie précise. Les nœuds aux extrémités sont déterminés par la longueur maximale existante entre les bras du pratiquant. Même si on peut définir plusieurs modèles standard, la finition aux mesures précises de la personne qui l’utilise permet plus d’exactitude dans l’application et la réalisation des différentes séquences (« katas »). Les nœuds sont réalisés selon une méthodologie précise, permettant la création d’une masse qui donne une inertie au Jkae Dynamique TM, car dans le mouvement il créé une résistance à l’air (ce qui en fait tout l’intérêt dans une perspective de conditionnement). Ces nœuds sont également des points origines pour tous les katas suggérés dans les applications du Jkae Statique TM et Jkae Déliement TM. Le Jkae et les 3 méthodes de Jkae, sont enseignées et distribuées exclusivement par le/au centre AEKÜUS.

Utilisation : Le Jkae a 3 applications complètement distinctes qui définissent les 3 méthodes suivantes: (description générale)

1. Le Jkae Déliement TM: Le Jkae n’innove pas dans le concept même du déliement, de l’étirement, de contractions ou autres techniques plus avancées de thérapies éducatives, domaine dans lequel de nombreuses méthodes existent utilisant : une bande élastique (Téra-band), bandelette (yoga et stretch), appuis fixes (MAT),un mur, une corde,…. L’innovation réside dans les 2 aspects suivants : • La résistance du tissu permet de créer des points fixes, son épaisseur et sa consistance lui confère beaucoup de confort d’utilisation permettant d’éliminer beaucoup de tensions et contractions inutiles ou résiduelles dans les autres parties du corps. • Le nombre de « Katas » (mouvements et manipulations dont les prises, angles, distances, déplacements, torsions, enroulements, directions et intentions sont définies par la méthode) permettent une exploration plus tridimensionnelle des lignes de mise en tension des tissus aponévrotiques, des muscles, des os et du corps dans l’espace.

2. Le Jkae Statique TM : la méthode propose un grand nombre de prises et de manipulations. Ces différents « Katas » exécutés par le participant permet d’établir différentes lignes de mise en tension de tissus aponévrotiques et de muscles. La méthode Jkae statique s’inspire ensuite de principes du travail isométrique définit par différents maîtres et références dans le domaine de la physiologie, les thérapies manuelles, la kinésiologie, le conditionnement physique, la posture,…,comme MAT, AIS.

La méthode Jkae statique a donc pour objectifs :

• De réactiver, reconditionner les systèmes neuro-moteurs et les systèmes d’activation des fibres musculaires (voir techniques MAT par Greg Roskopf, méthodes AIS) • D’optimiser le système neuro-musculaire, le développement de la force pure et de la résistance (Bruce Lee, the art of expressing the human body)

3. Le Jkae dynamique TM est une pratique isocinétique (de iso-, du grec ίσος qui signifie égal, et cinétique qui fait référence à la vitesse) qui consiste en différents enchaînements de mouvements naturels spiroïdaux qui s'articulent en trois phases : accélération, vitesse soutenue et ralentissement. Le soutien conscient actif et continu durant le mouvement est destiné à protéger les éléments qui limitent le mouvement (butée osseuse, ligaments, capsule,...) • Ces mouvements se font à vitesse tant constante que variable, permettant à la force développée par le muscle de s'adapter tout au long du mouvement.

• L'exercice isocinétique avec un Jkae permet de développer un effort modulant la force, de léger à maximale à chaque instant du mouvement. Les déplacements, les mouvements, la vitesse, la force et les directions varient selon les intentions du pratiquant dans l'effort du continuum.

• La main crée une chaîne cinétique fermée dynamique. Le mouvement est initié par les muscles pluriarticulaires et conduit par les monoarticulaires ; il est régi par la figure spiroïdale ; il est cultivé en lemniscate. Tout le corps se coordonne au continuum intrinsèque aux spirales de ses mouvements.

• Les séquences s’inspirent de différentes techniques martiales et de gymnastique rythmique, offrant une multitude de mouvements et de déplacements différents ; Plusieurs dizaines de « katas » et enchaînements de mouvements sont définis par la méthode Jkae Dynamique TM.

• Selon le poids du Jkae, la longueur des « chorégraphies » et la vitesse générée par le pratiquant, la discipline devient alors très cardio-vasculaire, augmente la force, la coordination motrice et la fluidité dans le mouvement.