Agnostique
Républicain
Heure

Mon nom est Jean-Luc Ancey. Je suis né à Paris en 1960, et à l'époque lointaine où il y avait du travail je gagnais ma vie comme journaliste (secrétaire de rédaction pour être précis) dans la presse écrite parisienne (avec pendant longtemps une certaine prédilection pour la presse informatique).

Diplômé du CFJ en 1985, j'ai surtout travaillé comme pigiste, un peu partout où on m'a proposé du boulot, notamment au Progrès, à Ouest-France, à la Voix du Nord, à Soft & Micro, à Science et Vie Micro, à Windows Plus, à 01 Informatique, à l'Ordinateur individuel, à Science et Avenir, au Moniteur des travaux publics, à l'Argus de l'automobile (beaucoup et longtemps), à Marianne et à l'Evénement du jeudi. J'ai aussi été formateur au Centre de formation et de perfectionnement des journalistes pendant au total plus de cinq ans, et c'est encore là que je travaille de temps à autre -- quoique très épisodiquement -- en cette période de vaches maigres.

Je suis très branché informatique depuis l'achat de mon ZX81 en 1984, suivi de celui de mon Apple II en 1986. J'ai beaucoup bossé sous MS-DOS, mais je suis presque exclusivement utilisateur (et adorateur!) de Linux depuis 1999.

Mes intérêts informatiques sont principalement la programmation (mes langages de prédilection sont le C, Python et récemment Haskell, mais j'en maîtrise passablement beaucoup d'autres) et la 3D maillée, domaine dans lequel je me considère comme un amateur éclairé. J'ai d'ailleurs publié chez l'éditeur Dunod un ouvrage consacré à l'élaboration de données et d'images de 3D avec le logiciel libre Blender et le moteur de rendu gratuit POV-Ray, que je tiens pour la huitième merveille du monde.

Je suis l'inventeur de Triancey, un jeu logique et informatique aussi élégant et astucieux qu'inconnu, et dont j'essaie -- en vain jusqu'ici -- de faire la promotion.

Hors de l'informatique, je m'intéresse à la linguistique en général et à la langue quechua en particulier. Croyez-le ou non, je suis l'auteur d'un petit dictionnaire français-quechua/quechua-français (voyez plus bas dans les liens externes).

Depuis quelques mois, j'ai un peu fait dévier mes tendances militantes du logiciel libre vers les biens communs en général et le domaine public littéraire en particulier. Je suis l'initiateur, le coordinateur et le webmestre du site Courteline en biens communs, et je me flatte de n'avoir pas peu contribué à rendre disponible sur le web (sur Wikisource en particulier) la quasi-totalité du théâtre de Georges Courteline, non seulement sous forme textuelle, mais aussi pour une bonne part en enregistrements audio libres de droits, réalisés à plusieurs voix avec des contributeurs bénévoles.

Je parle évidemment français et quechua (enfin, un peu), mais aussi anglais et espagnol, je lis sans difficulté en italien, sans grande difficulté en portugais, j'ai su baragouiner en allemand et même un peu en russe, j'ai quelques notions de grec antique et même de latin... mais j'ai lamentablement échoué à apprendre le japonais.

Je suis devenu agnostique à l'âge de 36 ans (en provenance du catholicisme) mais ai gardé un goût prononcé pour le délire mystique et la métaphysique... en m'efforçant de ne jamais prendre ces sujets trop au sérieux. Récemment, à force de lire et de relire ce monument de la littérature française qu'est le Discours de la méthode, j'ai fini par admettre que j'ai aussi de vagues tendances déistes -- mais je les traite plus avec autodérision qu'avec conviction.

La page web Amarelia est un aiguillage vers beaucoup de mes projets fumeux.

Je me suis enregistré comme contributeur de Wikipedia le 30 octobre 2005 (donc je suis un ancien et vous me devez le respect, bande de blancs-becs). Comme je lis beaucoup d'articles et que je peux rarement m'empêcher de corriger les fautes d'orthographe quand j'en vois, je peux donner superficiellement l'impression d'être assez actif. Mais je ne suis guère intervenu de façon approfondie et/ou minutieuse que sur des sujets en rapport avec la Bolivie où j'ai vécu quatre ans (voir par exemple les articles quechua, lambada, Cochabamba, Los Kjarkas, Potosí, Tahuantinsuyu).

Liens externes modifier