Utilisateur:Ibtissam bhl/Brouillon

Les femmes algériennes ont joué un rôle de premier plan à travers sa participation active à la révolution, tant dans les pays ou les villes.

Le rôle de la femme algérienne Pendant la guerre de libération
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La femme algérienne était présente en force dans la lutte armée contre l'occupant, elles étaient un ardent défenseur du frère et du fils, ainsi que des parents, qui ont pris les armes contre le colonialisme français et elle a pratiqué une affliction implacable qui a montré qu'elle était la deuxième âme de la révolution de libération. Les femmes algériennes ont joué un rôle de premier plan dans le cadre de leur participation active à la révolution de libération, tant dans les zones rurales qu'urbaines, et dans l'exercice de leurs fonctions nationales auprès de leurs frères de sexe masculin. Elle a également assumé la responsabilité de la lutte en ville et de la campagne pour le siège de la colonisatrice qui a été imposée à ses enfants, à son mari, à sa famille, à son pays, à sa religion et à son honneur. Elles travaillent comme infirmières pour soigner les Moudjahidines dans les montagnes, aussi elles envoyaient des messages et participaient à des manifestations et à des grèves, elles étaient lever les armes et en plaçant des bombes chez les Français, en tenant compte des difficultés rencontrées par les moudjahidin face aux ennemis contrôlant contrôlant leurs mouvements,elles modifié les fonctions des femmes et transformé leurs rôles secondaires en rôles fondamentaux dont dont ils avaient désespérément besoin malgré les difficultés auxquelles ils étaient confrontés en tant que femmes.

Les responsabilités des femmes algériennes pendant la révolution

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La femme algérienne hésitant à assumer la responsabilité de la révolution, l'activité des femmes algériennes au cours de la révolution a donc pris plusieurs formes et schémas, dont les plus importants sont les suivants:

Les militants de l'organisation La ville du Front de libération nationale sont les combattants à qui ont été confiées des responsabilités au sein des comités politiques et administratifs, ainsi que des fonds des fédérations et des universités.

Les combattants de la milice sont des femmes affiliées à l'Armée de libération nationale et ne représentent qu'une très petite partie de leurs tâches essentielles: soins infirmiers, soins et cuisine.

Les femmes de la campagne et de la ville étaient à la fois actives, motivées et partisanes, et diversifiaient leurs fonctions, ce qui a permis à l'ennemi français de prendre conscience de sa valeur au sein de la révolution et de soumettre la société algérienne à de nombreux types de répression et de torture.  Une cohésion sociale basée sur les femmes dans l'âme, mais cela n'a pas été possible, et le résultat a été la chute de nombreuses femmes martyrs algériennes telles que Hasiba bin Buali et Malika Kayed et Maryam Bouatoura.

Les grandes responsabilités et les grandes tâches qui ont été imposées aux femmes algériennes lors de la révolution de libération les ont fait passer de rôles secondaires à des rôles fondamentaux dont les moudjahidines avaient cruellement besoin malgré les difficultés auxquelles elles étaient confrontées en tant que femme.