Utilisateur:Geena-Lee Guyon/Brouillon

Le bien être et cyberdépendance modifier

introduction modifier

Depuis une vingtaine d’années, Internet a révolutionné la façon de communiquer et la manière de travailler. Grâce à cette technologie, il est maintenant possible d’échanger de façon ultra rapide ou d’accéder en quelques clics à une source quasi infinie d’information. De plus, s’il était surtout utilisé pour le travail à l’origine, Internet a rapidement envahi d’autres sphères de la vie, notamment celle des loisirs. Nous allons aujourd’hui vous parler du bien-être et de la cyberdépendance.


La cyberdépendance ou autrement dit dépendance à Internet, ce définie et ce manifeste par le besoin incontrôlable d’utiliser internet, c'est donc une utilisation récurrente et persistante des multiples applications d’Internet dont l’usage devient une conduite difficilement contrôlable. Si la majorité des internautes ne présente pas de conduite addictive à ces usages, certains peuvent connaître une perte de contrôle de leur temps de connexion.   Cette cyberdépendance peut toucher n’importe quelle tranche d'âge

sources modifier

[1]

Projet Erisk modifier

  • 2016 et 2018
  • Étudier les représentations et les pratiques déclarées des enseignants qui débutent leur carrière
  • Le questionnaire d’enquête a été diffusé auprès de tous les professeurs d’écoles primaires, d’établissements du second degré d'enseignement, ainsi qu’auprès des conseillers principaux d’éducation dans les académies de Bordeaux et de Créteil.
  • Des élèves de 2 classes de 5e de collèges socioéconomiquement différents (l’un en REP, l’autre localisé dans un quartier plutôt favorisé de Bordeaux) ont été interrogés par le biais d’échanges informels groupés.
  • Si la plupart des enseignants déclarent manquer de temps ou de moyens au cours de leurs premières années d’exercice pour faire de l’éducation au numérique, 13,7 % admettent néanmoins se sentir totalement démunis pour gérer ce type de séances en classe.
  • D’autre part, on retient que la quasi-totalité des enseignants (93,8 %) n’ont jamais été confrontés à de réelles situations avec le numérique les menaçant eux-mêmes ou mettant en danger les élèves. Si les inquiétudes sont fortes chez les enseignants, la moitié seulement des enseignants interrogés déclare s’informer sur les risques liés au numérique. De même, la moitié seulement déclare avoir reçu une formation pour utiliser le numérique en classe et aborder les problématiques relevant de la culture numérique
  • Leurs récits témoignent également du manque d’informations des parents, au sujet des réseaux socionumériques notamment. Par exemple, des parents interdisent certains réseaux sociaux qu’ils estiment dangereux alors qu’ils autorisent l’utilisation d'autres qu’ils considèrent être « plus pour les jeunes », selon les dires d’une élève. Pourtant, ces plateformes visant les jeunes ne sont pas plus encadrées que d’autres dans le respect d’une certaine éthique auprès de leurs usagers.
  • Contrairement à ce qui pourrait être pensé, les enseignants qui débutent dans le métier ne sont pas plus nombreux à investir le champ de l’éducation aux nouveaux médias et à l’information sur le web et excluent, pour certains, des pratiques numériques qu’ils estiment sujettes à problèmes avec les élèves ou avec leurs parents. Ces enseignants affirment manquer d’informations sur les dangers réels du numérique, au-delà des discours médiatiques alarmistes, et plébiscitent pour 62,3 % d’entre eux la formation, même lorsqu’ils en ont déjà reçu au cours de leur cursus. Les préadolescents, de leur côté, ne sont pas insensibles aux discours sur les risques, essentiellement en provenance de leurs parents, qui manquent eux-aussi d’informations.

Tableau des risques modifier

manque de sommeil
troubles de l'attention
isolement
conflits familiaux
dépression