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place des campagnes de préventions auprès du jeune public, comme le fait l'association T.E.R.R.E Liban qui a rédigé « la charte de l’Écocitoyen Libanais », composée de douze règles qu'un bon citoyen devrait adopter. [1]

En 2012, une ONG Libanaise, “La mer du Liban” (en français) se battait pour faire de la ville de Naqoura une ville écologique, c'est une initiative unique au Liban. Cette organisation a constaté que : “Il n’y a aucune prise de conscience écologique de la part du gouvernement libanais, il ne soutient absolument pas notre initiative” d'après les propos de Rima Tarabay, vice-présidente de l’association. [2]

De plus une association Recycle Lebanon a organisé la "Clean Up Beach Party" qui a pour but de rassembler un maximum de personnes pour ramasser les déchets présent sur une partit du littoral du pays.[3]

Les limites de la gestion étatique du développement durable ont des conséquences négatives : les forêts ont perdu plus de 33% de leur surface en quarante ans.[4]

  1. Administrator, « T.E.R.R.E. LIBAN ONG ENVIRONNEMENTALE L’Ecocitoyen Libanais | Ecocitoyen Libanais | Projets actuels », sur www.terreliban.org (consulté le )
  2. « DÉVELOPPEMENT DURABLE. Un rêve vert au pays du Cèdre », Courrier international,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. « Agir pour le développement durable du Liban », sur www.agendaculturel.com (consulté le )
  4. « Déclaration de Beyrouth sur le Développement Durable (Rio+20) « Pour une Gestion durable de notre Territoire »Green Local | Local Environments News », sur www.happyplanetlebanon.com (consulté le )