Utilisateur:Erasmus Craven/Bureau


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Cthulhu

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Traduction de en:Cthulhu Mythos arcane literature afin d'enrichir l'article Ouvrages fictifs du Mythe de Cthulhu.

Ouvrages

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Les Incantations Dhol

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Les Incantations Dhol sont mentionnés pour la première fois dans le court récit L'Horreur dans le musée (1933) de H.P. Lovecraft et Hazel Heald. Il y est fait allusion comme une série semi-mythique d'incantations attribuée au peuple presque humain de Leng. Les incantations elle-mêmes ne sont jamais décrites, ni n'apparaissent dans d'autres travaux de Lovecraft. Plus tard August Derleth utilise les incantations dans ses histoires. La bibliothèque de l'université de Miskatonic dit détenir une copie des Incantations Dhol.

Références

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Cthäat Aquadingen

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Le Cthäat Aquadingen (traduction possible : Les Choses de l'eau) est créé par Brian Lumley dans sa courte histoire Le Coquillage de Chypre (1968). Ce texte, d'un auteur inconnu, traite de Cthulhu et d'autres horreurs des mers, tel Inpesca. Il recèle également les Sathlattae, des rituels et sortilèges liés à Ubbo-Sathla. Le Cthäat Aquadingen apparaît une première fois dans le nord de l'Allemagne aux alentours du IVe siècle. Une version latine a apparemment été écrite entre le XIe et XIIe siècle, une traduction anglaise est apparue quelques temps plus tard au XIVe siècle.

Références

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  • Le Coquillage de Chypre, de Brian Lumley ((en) The Cyprus shell, 1968)
  • (en) Billy's oak, de Brian Lumley, 1970, inédit à ce jour en français
  • Ceux qui se terrent dans les tréfonds, de Brian Lumley ((en) The Burrowers beneath, 1974)
  • L'Horreur dans l'asile, de Brian Lumley ((en) The Horror at Oakdeene, 1977)
  • (en) The Kiss of Bugg-Shash, de Brian Lumley, 1978, inédit à ce jour en français
  • (en) The House of the Temple, de Brian Lumley, 1981, inédit à ce jour en français
  • (en) The Return of the deep ones, de Brian Lumley, 1984, inédit à ce jour en français

Le Culte des Goules

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Le Culte des Goules est créé par Robert Bloch. August Derleth a clamé avoir inventé le texte de fiction mais cela fut nié par Lovecraft et Bloch lui-même[1]. C'est un livre de magie noire écrit par François-Honoré Balfour, comte d'Erlette (clin d'œil à August Derleth), en 1702. Il est publié en France et plus tard dénoncé par l'église. Seule une poignée d'exemplaires traversèrent les siècles. L'un des exemplaires connu a été gardé pendant 91 ans dans la bibliothèque ésotérique de l'église de Starry Wisdom à Providence, Rhode Island. Après la mort mystérieuse de Robert Blake en 1935, le docteur Ambrose Dexter a fait disparaître le grimoire et l'a ajouté à sa propre bibliothèque.

Références

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De Vermis Mysteriis

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(titre français identique, également appelé les mystères du ver)

Les Écrits de Ponape

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(titre français à confirmer)

Les Fragments de Celaeno

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Les Fragments de Celaeno sont crédités à August Derleth. Dans sa nouvelle La Maison de Curwen Street, Celaeno se réfère à une planète lointaine hébergeant une immense bibliothèque de littérature extraterrestre. Le professeur Laban Shrewsbury et ses compagnons voyagent à maintes reprises jusqu'à Celaeno pour échapper aux serviteurs de Cthulhu. Shrewsbury écrit plus tard les Fragments de Celaeno, une transcription de ce qu'il se rappelle de ses traductions des livres de la grande bibliothèque de Celaeno. Il soumet la transcription, laquelle comptait une cinquantaine de pages, à la bibliothèque de l'université de Miskatonic en 1915.

Références

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Les Fragments de G'harne

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De nouveaux tests scientifiques sur les Fragments de G'harne avait révélé leur âge pré-triasique et leur existence, sous une autre forme que de la poussière séculaire, était impossible à expliquer.
—Brian Lumley, Le Rempart de béton, traduction de Claude Gilbert

Les Fragments de G'harne apparaissent dans les œuvres de Brian Lumley. Ils y sont décrit comme un ensemble de morceaux d'obsidienne ou d'une quelconque roche noir miraculeusement préservés témoignant de l'existence des pré-humains dans la cité africaine de G'harne. La cité perdue est localisée quelque part dans le sud du Sahara et fréquemment hanté par les chthoniens. Les chercheurs Sir Amery Wendy-Smith et Gordon Walmsley trouvèrent la mort dans leur tentative de traduire les fragments.

Références

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  • Le Rempart de béton, de Brian Lumley ((en) Cement surroundings, 1969)
  • L'Avant-poste des Grands Anciens, de Brian Lumley ((en) In the vaults beneath, 1971)
  • Ceux qui se terrent dans les tréfonds, de Brian Lumley ((en) The Burrowers beneath, 1974)
  • La Transition de Titus Crow, de Brian Lumley ((en) The Transition of Titus Crow, 1975)
  • (en) Name and number, de Brian Lumley, 1987, inédit à ce jour en français

Le Livre de Dzyan

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Références

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Le Livre d'Eibon

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Il s'était remémoré, en particulier, l'existence du Livre d'Eibon, le plus étrange et le plus rare de tous les ouvrages occultes oubliés, celui dont on prétend qu'il est parvenu jusqu'à nous à travers une suite de traductions très diverses d'un manuscrit original préhistorique, rédigé dans la langue perdue d'Hyperborée.
—Clark Ashton Smith, Ubbo-Sathla, traduction de Claude Gilbert

Le Livre d'Eibon, ou Liber Ivonis, est attribué à Clark Ashton Smith. Il apparaît dans plusieurs récits de Lovecraft, tels Celui qui hantait les ténèbres (Liber Ivonis), La Maison de la sorcière (Livre d'Eibon) et Dans l'abîme du temps (Livre d'Eibon).

Le livre est écrit par Eibon, un sorcier d'Hyperborée. C'est un immense texte regroupant ses connaissances ésotériques. Il contient, entre autres, un compte-rendu détaillé des exploits d'Eibon, incluant ses voyages à la vallée de Pnath et sur la planète Shaggai, ses rituels pour vénérer Zhothaqquah (le dieu protecteur d'Eibon), et ses formules magiques, dont des incantations pour asservir les horreurs d'autres mondes. Malheureusement, seuls des fragments incomplets ont traversé les âges. Cependant, des traductions existent en anglais, français, grec ancien et latin. Liber Ivonis est le titre de la traduction latine[2].

Références

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Le Livre de Iod

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Le Livre de Iod est une création de Henry Kuttner et apparaît pour la première fois dans sa courte nouvelle Les Cloches de l'horreur (sous le pseudonyme de Keith Hammond). L'original du Livre de Iod, dont il n'existe qu'une seule copie, est écrit dans une "ancienne langue", probablement une combinaison de grec ancien et de copte. Bien que ses origines soient inconnues, le livre peut avoir été écrit par le mystérieux auteur Khut-Nah, nom qui sonne remarquablement comme Kuttner. Le Livre de Iod rapporte des détails au sujet de Iod, le Chasseur étincelant, Vorvados et Zuchequon. La Bibliothèque Huntington de San Marino en Californie dit posséder une traduction expurgée, probablement en latin, de Johann Negus[3].

Références

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Les Manuscrits Pnakotiques

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(titre français confirmé)

Le Necronomicon

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On the sending Out of the soul

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(titre français à chercher)

Les Parchemins de Pnom

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(titre français à confirmer)

Les Révélations de Glaaki

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(titre français confirmé)

Le Roi en jaune

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Références

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Les Sept livres secrets de Hsan

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(titre français confirmé)

Les Tablettes de Zanthu

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(titre français à confirmer)

Les Tessons d'Eltdown

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Autrefois, il avait lu quelque chose à ce sujet, qui concernait ces inquiétants fragments d'argile, objet de bien des contreverses, qu'on appellait les Tessons d'Eltdown. On les avait extraits, trente ans plus tôt, de couches pré-carbonifères du sud de l'Angleterre. Leurs formes, les marques qu'ils portaient semblaient si bizarres que certains érudits refusèrent d'y voir des objets naturels, et se lancèrent dans de folles conjectures relatives à leur origine. De toute évidence, ils venaient d'une époque à laquelle aucun être humain ne pouvait exister sur le globe - mais leur apparence comme leurs motifs restaient déconcertants.
—Howard Phillips Lovecraft, Le Défi d'outre-espace, traduction de Jean-Paul Mourlon

Les Tessons d'Eltdown sont mentionnés dans de nombreux récits mythiques. Ils sont les fragments de poteries mystérieuses trouvés en 1882 et nommés d'après le lieu où ils ont été découverts, Eltdown dans le sud de l'Angleterre. Les tessons datent de la période du Trias et sont couverts de symboles étranges considérés comme intraduisibles. Néanmoins, plusieurs auteurs ont partagé leurs propres interprétations des inscriptions, y compris Gordon Whitney et son Les Tessons d'Eltdown : Une traduction partielle. Beaucoup de ces travaux, ainsi que nombre de textes non-académiques, ont circulé parmi des cultes secrets.

La traduction de Whitney est remarquablement similaire aux Manuscrits Pnakotiques, un texte rédigé par la Grand-Race de Yith. La traduction décrit Yith, la planète d'où vient la Grande Race, et la rencontre fatidique entre les Yekubians et la Grande Race. Une formule magique sur le dix-neuvième tesson sert à l'invocation du Gardien de la Connaissance. Malheureusement, le rituel de révocation est illisible rendant toute invocation extrêmement risquée. Malgré ses liens avec la Grande Race, les Tessons d'Eltdown furent probablement modelés par les Grands Anciens qui enterrèrent les céramiques en Angleterre quand celle-ci faisait parie du supercontinent Pangée[4].

Références

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Le Testament de Carnamagos

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(titre français à confirmer)

Le Texte de R'lyeh

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Références

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L'Unaussprechtlichen Kulten

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(titre français confirmé)

Références

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  1. Robert M. Price, « H. P. Lovecraft and the Cthulhu Mythos », Crypt of Cthulhu #35 : A Pulp Thriller and Theological Journal, vol. 5, no 1,‎ halloween 1985, p. 11, note #11, Cryptic Publications.
  2. Daniel Harms, « Book of Eibon » in The Encyclopedia Cthulhiana, pp. 30–3.
  3. Daniel Harms, « Book of Iod » in The Encyclopedia Cthulhiana, p. 33.
  4. Daniel Harms, « Eltdown Shards » in The Encyclopedia Cthulhiana, pp. 102–3.