Utilisateur:Emmanuel L LycéeSiegfried LeHavre/Brouillon
- → N'hésitez pas à publier sur le brouillon un texte inachevé et à le modifier autant que vous le souhaitez.
- → Pour enregistrer vos modifications au brouillon, il est nécessaire de cliquer sur le bouton bleu : « Publier les modifications ». Il n'y a pas d'enregistrement automatique.
Si votre but est de publier un nouvel article, votre brouillon doit respecter les points suivants :
- Respectez le droit d'auteur en créant un texte spécialement pour Wikipédia en français (pas de copier-coller venu d'ailleurs).
- Indiquez les éléments démontrant la notoriété du sujet (aide).
- Liez chaque fait présenté à une source de qualité (quelles sources – comment les insérer).
- Utilisez un ton neutre, qui ne soit ni orienté ni publicitaire (aide).
- Veillez également à structurer votre article, de manière à ce qu'il soit conforme aux autres pages de l'encyclopédie (structurer – mettre en page).
- → Si ces points sont respectés, pour transformer votre brouillon en article, utilisez le bouton « publier le brouillon » en haut à droite. Votre brouillon sera alors transféré dans l'espace encyclopédique.
En 1892, l'établissement prend le nom d'école pratique de commerce et d'industrie.[1]
En 1942 cet établissement change de statut scolaire pour devenir un collège.
C'est en 1960 que l'établissement prend le nom de Jules Siegfried sur proposition du Conseil municipal et devient un lycée technique, c'est sous la direction de Théodore Nègre que ces changements se produisent.
C'est Théodore Nègre qui créé les classes de BAC technique, de BTS bureaux d'étude de chimie et d'électromécanique, une section de frigoristes et une autre section d'élèves officiers mécaniciens pour la Marine.[2]
A partir de 1973, le lycée des métiers est créé et en même temps il y a la création d'une section commerciale et d'un BTS électrotechnique
- Claude Malon, Le Havre colonial de 1880 à 1960, Publication Univ Rouen Havre, (ISBN 9782877757546, lire en ligne)
- « Le Havre - Rue Théodore Nègre », gghsm.forumpro.fr, (lire en ligne, consulté le )