Utilisateur:Christian28TMA/Liste des unités Azov
| Bataillon « Azov » Régiment « Azov » Brigade « Azov » SSO « Azov » | |
 emblème d'« Azov » | |
| Pays |  Ukraine
|
|---|---|
| Surnom | « Azov » |
modifier  |
|
La mise en forme de cet article est à améliorer (indiquez la date de pose grâce au paramètre date).
La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ».
Durant la guerre russo-ukrainienne, les unités Azov ont été largement discutées et débattues. Bien qu’elles soient souvent mentionnées au singulier, comme Le bataillon Azov ou le Le régiment Azov, il s’agit en réalité de plusieurs unités de différentes tailles, allant de quelques dizaines à plusieurs centaines d’hommes. Ces unités, soit ont été recrutées par le groupe « Azov », soit on accueilli en leur sein des éléments d' « Azov ». En 2024, toutes les éléments militaires « Azov » sont intégrées dans des formations plus importantes de l’armée ukrainienne.
La première unité « Azov » a été créé en 2014 en réponse à l’invasion du Donbass et à l’envoi en 2014 de mercenaires du groupe Wagner, des néo-nazis revendiqués, par l’armée russe en Ukraine. Un groupe nationaliste ukrainien, principalement composé de néo-nazis ukrainiens, a décidé de former une milice d’autodéfense. Avec le temps, ce groupe s’est structuré, a développé une véritable compétence militaire et a recruté de nombreux volontaires, dont certains sont néo-nazis, mais la plupart sont simplement patriotes.
L’armée ukrainienne, consciente du risque néo-nazi mais aussi de l’expertise militaire des Azov, les a intégrés dans l’armée régulière. Ces unités forment ainsi le noyau expérimenté de nouvelles unités, ou le noyau dur d’unités d’assaut, comme l’unité Kraken.
Les « Azov » sont particulièrement ciblés durant l'invasion russe de 2022 par la propagande russe qui utilise le prétexte de « dénazification de l'Ukraine » pour justifier son agression.
Création, filiation et différentes dénominations modifier
Face aux évènements du Donbass, le ministère ukrainien de l’Intérieur a pris l’initiative en de constituer des bataillons de volontaires. L’objectif était de renforcer l’armée ukrainienne dans sa résistance.[1].
Origine du nom Azov modifier
Terminologie modifier
Les unités Azov, lorsqu’elles sont mentionnées en dehors de l’Ukraine, sont souvent identifiées par l’acronyme SSO (en ukrainien : ТрО) qui précède le nom de l’unité. En ukrainien, ТрО est l’abréviation de Територіальна оборона, traduit par Défense Territoriale. Toutefois, dans un contexte militaire, l’acronyme SSO est fréquemment utilisé pour faire référence aux Forces d’Opérations Spéciales.
Idéologie modifier
D'après Foreign Policy en , le mouvement Azov est influencé par la pensée de la Nouvelle Droite, notamment de Dominique Venner, visant « la prise du pouvoir culturel [comme] condition préalable à la prise du pouvoir politique ». Ainsi, la secrétaire internationale du mouvement Azov Olena Semenyaka (en) assume ouvertement cette influence et déclare que les initiatives menées par Azov ont un but métapolitique visant à banaliser leurs idées au sein de la société ukrainienne. Foreign Policy note toutefois qu'en contradiction avec la stratégie de normalisation des idées d'extrême droite promue par Venner, Azov entretient des liens internationaux avec des acteurs de l'extrême droite violente, tels que le Rise Above Movement américain, le Bastion social français, ou Hendrik Möbus, meurtrier et fondateur du groupe de black metal néonazi allemand Absurd. En , lors de l'anniversaire de la mort de Venner, des représentants d'Azov déposent des fleurs et allument une bougie en son honneur devant l'ambassade de France en Ukraine [2].
Créations et filiation des différentes unités recrutées modifier
2014 modifier
Détachement Corps Noir modifier
Le Corps noir (également connu sous le nom de « petits hommes noirs ») est une unité partisane ukrainienne paramilitaire qui a participé à la guerre du Donbass dans les régions de Kharkiv et de Marioupol au printemps .
L'unité a été formée par le prisonnier politique récemment libéré Andriy Biletsky dans la nuit du au . La base du détachement était composée de membres de l'organisation « Patriote d'Ukraine » qu'il dirigeait , d'ultras de Kharkiv et de participants à l'Euromaïdan.
Les partisans sont surnommés « les petits hommes noirs » dans les médias, en référence aux occupants russes de la Crimée, « les petits hommes verts de Poutine »
[3].
Le ministère ukrainien de l’Intérieur a initié en la création de bataillons de volontaires pour soutenir l’armée ukrainienne. Dans ce contexte, le Détachement du Corps Noir a obtenu une reconnaissance légale[1], et est devenu le Bataillon du service spécial de patrouille de police [4].
Bataillon du service spécial de patrouille de police modifier
En réponse aux événements du Donbass, le , le ministère ukrainien de l’Intérieur a pris la décision de constituer des bataillons de volontaires pour soutenir l’armée ukrainienne. C’est dans ce contexte que le détachement du Corps Noir a été légitimé et que le bataillon du service spécial de patrouille de police (en ukrainien батальйон патрульної служби міліції особливого призначення) a vu le jour[1].
Le bataillon du service spécial de patrouille de police a subi une réorganisation et une expansion le , par décret du ministre de l’Intérieur de l’Ukraine, pour se transformer en régiment de police spécial « Azov » sous l’égide du ministère de l’Intérieur.[4].
régiment de police spécial « Azov » modifier
Faisant suite au Bataillon du service spécial de patrouille de police depuis le , le régiment “Azov” a été transféré à la Garde nationale ukrainienne le , suite à un arrêté signé par le Ministre de l’Intérieur de l’Ukraine. Des effectifs supplémentaires ont été ajoutés pour répondre aux normes de combat des brigades de la Garde nationale[4].
En , en raison de la dépolitisation croissante des unités militaires « Azov » et de l’augmentation du nombre de militaires de diverses affiliations politiques, les leaders initiaux d’extrême droite ont décidé de quitter officiellement le régiment. Ils ont ensuite créé une organisation qui est devenue le parti d’extrême droite connu sous le nom de « Corps national »[5].
2015 modifier
Corps civil d’« Azov » modifier
Vers la fin du printemps , le Corps civil d’« Azov » a été fondé par les leaders initiaux d’extrême droite d'« Azov » apres leur démission de l'armée[5]. Ce mouvement sociopolitique d'extreme droite avait pour objectif de combattre les ennemis internes d'Ukraine.
2016 modifier
Corps national modifier
En , Andriy Biletsky a établi le Corps national, un parti politique, sur les fondations du Corps civil d’« Azov ». Ce parti politique était le successeur direct du Patriote d’Ukraine[1].
2022 modifier
Bataillon de défense territoriale « AZOV-Kiev » modifier
.svg){kind=logo}
En , avec le début de l'invasion russe, une unité du SSO « AZOV-Kiev » est créée à partir de volontaires pour la défense de la capitale.
En mars 2022, l'organisation politique Corps national à annoncé sur son compte Telegram que "L'unité de défense territoriale « Azov », qui a été créée à Kiev dès les premiers jours de l'invasion russe à grande échelle, est désormais officiellement un régiment spécial distinct des forces armées ukrainiennes « Azov »"[6].
Le , l'unité de défense territoriale « AZOV-Kiev », avec d'autres unités « AZOV » a été reformatée en 
12e brigade d'assaut « Azov » (uk).
98e bataillon de défense territoriale « Azov-Dnipro » modifier
Le 98e bataillon de défense territoriale « Azov-Dnipro » est un bataillon ukrainien de la .svg){kind=small}
108e brigade de défense territoriale , une brigade de la Garde nationale.
Le bataillon a été formé en [7]. Lors de l'Invasion de l'Ukraine par la Russie, le bataillon était stationné dans la ville d' Orikhiv, dans l'Oblast de Zaporijjia, dans le cadre de l' offensive russe du sud de l'Ukraine.
En , une réorganisation majeure a lieu au sein du bataillon. Il est transféré à la 3e brigade d'assaut. Dans ce processus, la 3e compagnie « Azov » se transforme en 3e compagnie d'assaut du 1er bataillon d'infanterie d'assaut. Parallèlement, les autres composantes du bataillon initial constituent désormais le 1er bataillon mécanisé (uk)[8],[9],[7].
Bataillon de défense territoriale « AZOV-Prykarpattia » modifier
Avec le début de l'Invasion de l'Ukraine par la Russie, près de 40 volontaires de la région d'Ivano-Frankivsk ont rejoint l'unité « AZOV-Prykarpattia ». Fin , près de 150 hommes et femmes composaient l'unité[10].
L'unité a été intégrée dans la 
3e brigade d'assaut en
Bataillon de défense territoriale « AZOV-Kharkiv » modifier
A Kharkiv, les vétérans et partisans du régiment « Azov » ont formé le 
225e bataillon de reconnaissance et le 226e bataillon de reconnaissance et de sabotage de la 
127e brigade de défense territoriale . Ces unités participèrent à la défense de Kharkiv et furent ensuite reformées en 
unités spéciales « Kraken » et .svg){kind=logo}
SSO « AZOV-Kharkiv »[1].
Bataillon « AZOV-Poltava » modifier
L'unité a été formée au début de l'Invasion de l'Ukraine par la Russie, par la suite, l'unité a rejoint le Bataillon d’opérations spéciales « AZOV-Kharkiv ».
Unité spéciale « Lubart » modifier
L'Unité spéciale « Lubart » a été constitué par des anciens combattants d’« Azov » et des participants au mouvement Centuria de la région de Volhynie au début de la guerre. Une grande partie de l’unité était basée à Loutsk, se préparant à une possible invasion depuis la Biélorussie. Quand il est apparu qu’il n’y avait pas de menace immédiate du nord, ils se sont déplacés pour défendre Kiev. En , l’unité a été incorporée dans les Forces d’opérations spéciales des Forces armées.. Vadym Krykun, un ancien d’« Azov » et le leader de la division Volyn du Corps national, est le commandant de Lyubart.[1].
L'unité deviens le 
5e bataillon d'opérations spéciales « Lubart » de la 12e brigade d'assaut « Azov » (uk).
Bataillon d’opérations spéciales « AZOV-Kharkiv » modifier
« AZOV-Kharkiv » est la deuxième formation de l’unité « Azov » à Kharkiv. Cette unité a été établie en se basant sur le 226e bataillon de reconnaissance « Azov » de la 127e brigade de défense territoriale, ainsi que sur le Bataillon « AZOV-Poltava ». Serhiy Velichko (uk), un ancien membre d’« Azov » et l’un des initiateurs de la division de Kharkiv du Corps national, est le commandant et l’instigateur de « AZOV-Kharkiv »[1].
Le , l'unité, renforcée par de nouvelle recrues, est devenue le 
97e bataillon mécanisé au sein de la 
60e brigade mécanisée des ingoulets[11].
subdivision SSO « Albin » modifier
Le détachement « Albin » a été recruté par la division de Tchernivtsi du Corps national, en collaboration avec les nationalistes de Bucovine et des volontaires des Carpates. Le groupe « Albin » est intégré au 
93e bataillon de défense territoriale de la .svg){kind=small}
107e brigade de défense territoriale.[1],[12].
Créations et filiation des différentes unités paramilitaires « Azov » modifier
National Druzhina « Azov » modifier
Centuria « Azov » modifier
Créations et filiation des différentes unités de l'armée ukrainienne ayant intégré des unité « Azov » modifier
Régiment Kraken modifier
Formé le , le même jour que le déclenchement de l'invasion russe de l'Ukraine et nommé d'après la créature marine mythique, le régiment est composé de vétérans d'« Azov » ainsi que de volontaires.
Son statut réel est ambigu puisque l'unité dépend directement du renseignement ukrainien, mais mène des opérations de guerre (bombardement, prise de localités etc.) sans faire partie des forces armées ukrainiennes[13].
Le bataillon a été renforcé en 2023 par le 225e bataillon de reconnaissance « Azov » de la 127e brigade de défense territoriale.[1].
Les motivations des membres du régiment Kraken sont ouvertement nationalistes[14].
régiment autonome d'opérations spéciales « Azov » modifier
L'unité est créée dans les premières semaines de l'invasion de l'Ukraine par la Russie en . En ukrainien : Окремий полк спеціального призначення «Азов» elle est communément appelé par les anglophones SSO « Azov » (ССО «Азов»). Rattachée initialement aux forces spéciales ukrainiennes, l'unité devient la Brigade « Azov » au début de l'année .
3e brigade d'assaut modifier
En , la 3e compagnie « Azov » du 98e bataillon de défense territoriale « Azov-Dnipro » deviens la 
3e compagnie d'assaut du 
1er bataillon d'infanterie d'assaut de la 3e brigade d'assaut.[7],[8].
La brigade à aussi intégré dans ses rangs les membres du Bataillon « AZOV-Prykarpattia ».
12e brigade opérationnelle modifier
(C'est cette unité qui a défendu l'usine Azovtal durant la seconde bataille de Marioupol.)[réf. nécessaire]
12e brigade d'assaut « Azov » modifier
60e brigade mécanisée « ingoulets » modifier
Le , le Bataillon d’opérations spéciales « AZOV-Kharkiv », renforcée par de nouvelle recrues, a intégré l'unité en tant que 97e bataillon mécanisé[11].
107e brigade de défense territoriale modifier
La 107e brigade de défense territoriale formée le a intégré le 93e bataillon de défense territoriale[15] ainsi que son détachement « Albin »[1],[12].
108e brigade de défense territoriale modifier
La 108e brigade de défense territoriale formée en a intégré en le 98e bataillon de défense territoriale « Azov-Dnipro »[7]
127e brigade de défense territoriale modifier
La 127e brigade de défense territoriale formée en suite à l'Invasion de l'Ukraine par la Russie. La brigade intègre deux bataillons de reconnaissance et de sabotage : le 225e bataillon de reconnaissance « Azov » et le 226e bataillon de reconnaissance « Azov » initialement formés par des volontaires d'« Azov ».
Compagnies, bataillons, détachements et autres unités dépendante d'une plus grande unité « Azov » modifier
1er bataillon « Azov » de la 12e brigade d'assaut « Azov » modifier
2e bataillon « Azov » de la 12e brigade d'assaut « Azov » modifier
3e bataillon « Azov » de la 12e brigade d'assaut « Azov » modifier
5e bataillon « Lubart » de la 12e brigade d'assaut « Azov » modifier
branche politique modifier
Idéologie modifier
Traditions modifier
Insignes, emblème et drapeau modifier
Organigramme des différentes unité Azov modifier
| 1990 | 129e bat. de police motorisé Union soviétique | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| 1992 | 10e bat. de la  Garde nationale Ukraine | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| 1995 | 17e bat. motorisé  Ministère de l'Intérieur (uk) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| 2014 | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| Corps Noir (Paramilitaires) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
 18e rég* opérationnel de la Garde nationale | bat. du service spécial de patrouille de police du  ministère de l'Intérieur | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
 Rég. spécial « Azov » | Unité distincte des forces spéciales « Azov » | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| 2015 | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| Corps civil d’« Azov » (mouvement politique) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| 2016 | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| National Druzhina « Azov » (Paramilitaires) | Corps national (mouvement politique) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| 2019 | 12e brig. opérationnelle | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| Centuria « Azov » (Paramilitaires) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| 2022 | Bat. AZOV-Kiev | 98e bat. Azov-Dnipro | Bat. AZOV-Prykarpattia | Bat. « AZOV-Kharkiv » | Bat. « AZOV-Poltava » | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| 225e bat. de reco. de la 127e brig. territoriale | 226e bat. de reco. de la 127e brig. territoriale | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| Bat. « AZOV-Kharkiv » | Bataillon OZSP « Lubart » | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| 2023 | 12e brig. d'assaut « Azov » (uk) | 3e brig. d'assaut | unités spéciales du Régiment Kraken | 97e bat. méca. de la 60e brig. méca. « ingoulets » | Détachement « Albin » du 93e bat. Territorial | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Sources et bibliographie modifier
Notes et références modifier
- (en) « Active units of Azov » [« Unités actives d'Azov »], page récapitulative des informations en sources ouvertes de la l'unité (compilation d'informations), sur militaryland.net, (consulté le ).
- (en-US) Michael Colborne (dir.), « There’s One Far-Right Movement That Hates the Kremlin » [« Il y a un mouvement de d'extrême droite qui déteste le Kremlin »]
, sur Foreign Policy, (consulté le )
- (uk) « Еволюція "чорних чоловічків". Що ми знаємо про полк "Азов" » [« L'évolution des « petits hommes noirs ». Que savons-nous du régiment Azov »], article de presse, sur chaîne de télévision 112 Ukraine, (consulté le ).
- (uk) « Азов » [« Azov »], histoire de l'unité Azov (consulté le ).
- (en) Anton Shekhovtsov (maître de conférences à l'Université de Vienne), « Why Azov should not be designated a foreign terrorist organization » [« Pourquoi Azov ne devrait pas être désigné comme organisation terroriste étrangère »], sur Atlantic Council, (consulté le ).
- (uk) « Підрозділ тероборони "Азов" у Києві став окремим полком спецпризначення ЗСУ » [« L'unité de défense antiterroriste "Azov" à Kiev est devenue un régiment spécial distinct des Forces armées ukrainiennes »], article de presse en ligne, sur Інтерфакс-Україна, (consulté le ).
- (en) « 3rd Assault Brigade : 3rd Separate Assault Brigade » [« 3e brigade d'assaut »], page récapitulative des informations en sources ouvertes de la brigade (compilation d'informations), sur militaryland.net, (consulté le ).
- (en) « A new Assault Brigade was formed in the Army » [« Une nouvelle brigade d'assaut a été créée au sein de l'armée »], page récapitulative des informations en sources ouvertes de l'unité (compilation d'informations), sur militaryland.net, (consulté le ).
- (en-US) « Azov-Dnipro becomes part of Ground Forces » [« Azov-Dnipro fait partie des forces terrestres »], article d'informations basé sur les sources ouvertes de la brigade, sur militaryland.net, (consulté le ).
- (uk) « На Івано-Франківщині майже пів сотні добровольців поповнили «Азов-Прикарпаття» » [« Dans la région d'Ivano-Frankivsk, près d'une demi-centaine de volontaires ont rejoint « AZOV-Prykarpattia » »] (article de presse officielle en ligne), sur Armyinform, (consulté le ).
- (uk) Myroslav Gourko (dir. et Rédacteur en chef), « "Міць": підрозділ ССО Азов Харків поповнився рекрутами та увійшов до складу бригади ЗСУ » [« “Force” : la sous-unité SSO Azov Kharkiv a été renforcée par des recrues et est entrée dans la composition de la brigade des forces armées. »], article de presse en ligne, sur focus.ua, Україна, 01601, м. Київ, вул. Госпітальна, 12, Українські Новини, (consulté le ).
- (uk) Tatiana Iavorska, « 107-ма бригада: буковинські добровольці, які навіть на протезах знищують окупантів » [« 107e brigade : des volontaires de Bucovine qui détruisent les envahisseurs même avec des prothèses »], Article de presse en ligne, sur Espreso.tv, (consulté le ).
- (en) Joseph Golder et Zenger News, « Watch: Ukrainian 'Kraken' Special Ops Unit Hits Russian Headquarters » [« À voir : L’unité des opérations spéciales ukrainienne « Kraken » frappe le quartier général russe »], sur Newsweek, (consulté le )
- Valérie Crova, « Guerre en Ukraine : le bataillon Kraken, un concentré controversé de motivation et d’adrénaline », sur France Inter, (consulté le ).
- (en) « 107th Territorial Defense Brigade : 107th Separate Brigade of the Territorial Defense Forces » [« 107e brigade de défense territoriale »], page récapitulative des informations en sources ouvertes de la brigade (compilation d'informations), sur militaryland.net, (consulté le ).
Voir aussi modifier