Utilisateur:Arikawa Jayla/Brouillon

Les médias influencent la perception de la population au niveau de la santé mentale et du déroulement typique du traitement. Les effets que les films ont sur la perception de la santé mentale et des employés du secteur de la santé ont un effet négatif sur la société. (deCarlo, 2007; Freeman & Valentine, 2004; Gabbard, 2001; Young, Boester, Whitt, & Stevens, 2008). D'après certaines études (Pirkis et al., 2006), les stéréotypes de la personne en détresse sont généralement représentés comme incompétent, isolé, sans famille, travail ou identité social. Ils ne démontrent pratiquement jamais de signe de rémission ou d'espoir pour leur futur et son contreproductif en société. Ce stéréotype de la personne en détresse renforce l'opinion de la santé mentale et ce qu'elle doit avoir l'air pour le téléspectateur. D'après d'autre études (Orchowski, Spickard & McNamara 2006), la majorité de la population se crée une opinion à propos de la psychothérapie et de la santé mental en général par le billet de ce qu'ils voient dans les films et les médias ce qui est inquiétant pour les professionnels de la santé donnant un traitement de la sorte. D'après une tierce étude (Stuart 2006), la moitié des employés du domaine de la santé mental disent que les représentations négatives de leurs métiers, dans les films, impact leurs propres santés mentales. Le tiers de ceux participant à cette étude (Stuart, 2006) disent que leurs familles et ami(e)s les traiteraient différemment du a l'état de leur santé mental. Non-seulement la représentation des médias décourage la population d'aller chercher l'aide qu'ils ont besoin, mais en établissant des croyances erronées et de fausses perceptions de ce qu'est un traitement thérapeutique. (Pirkis et al, 2006) Les participants du sondage, mentionnent qu'ils sont plus favorables à briser les barrières morales et éthiques de leur métier au niveau de la dynamique patient-professionnel après avoir vu le film américain Lovesick. (Schill, Harsch, & Ritter, 1990)