Sylvie Perrinjaquet
Sylvie Perrinjaquet, née le à Paris (originaire de Travers), est une personnalité politique et lobbyiste suisse, membre du parti libéral-radical (PLR).
Sylvie Perrinjaquet | |
Portrait officiel. | |
Fonctions | |
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Conseillère nationale | |
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Législature | 49e |
Prédécesseur | Alain Ribaux |
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Législature | 48e (2011-2015) |
Successeur | Alain Ribaux |
Conseillère d'État du canton de Neuchâtel [1] | |
– | |
Élection | 20 mai 2001 |
Réélection | 15 mai 2005 |
Députée au Grand Conseil du canton de Neuchâtel | |
– | |
Législature | 1993-1997, 1997-2001 |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Paris |
Origine | Travers |
Nationalité | Suisse |
Parti politique | Parti libéral-radical |
Profession | Lobbyste Formatrice |
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Elle est conseillère d'État du canton de Neuchâtel de à et conseillère nationale de fin 2007 à fin 2011 et de fin 2013 à fin 2015.
Biographie
modifierOrigines, famille et parcours professionnel
modifierSylvie Perrinjaquet naît le à Paris. Elle est originaire de Travers, dans le canton de Neuchâtel[2].
Elle est formatrice auprès du personnel enseignant en école maternelle[3].
Elle est mariée à un pilote de ligne et mère de deux enfants[3].
Parcours politique
modifierMembre du parti libéral-radical (PLR), elle est élue au Conseil d'État du canton de Neuchâtel en 2001 et prend en charge les finances et les affaires sociales. Réélue en 2005, elle change de département pour celui de l'éducation, de la culture et des sports[4].
Élue au Conseil national en 2007, elle est de nouveau candidate sur la liste du PLR lors des élections fédérales du , mais n'est pas réélue.
Après l'élection d'Alain Ribaux au Conseil d'État neuchâtelois, elle retrouve cependant son siège dès le , en tant que suivante de liste.
En , elle annonce qu'elle ne se représente pas pour les élections au Conseil national d'[5].
Autres fonctions
modifierElle est présidente d'honneur de l'association suisse de la sécurité de l'information (Clusis)[6].
Après sa carrière politique, elle devient consultante et exerce depuis comme lobbyiste auprès de Philip Morris International[7],[8].
Elle est présidente depuis 2016, année de sa fondation, de la Commission d’écoute, de conciliation d’arbitrage et de réparation (CECAR), qui traite des abus sexuels sur mineurs dans l'Église catholique en Suisse romande[9].
Notes et références
modifier- http://www.sylvie-perrinjaquet.ch (réf. 19.04.2020)
- « Biographie de Sylvie Perrinjaquet », sur le site de l'Assemblée fédérale suisse.
- Serge Jubin, « Sylvie Perrinjaquet se heurte aux caciques pour faire bouger les libéraux neuchâtelois », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
- « Côté personnel », sur sylvie-perrinjaquet.ch (consulté le )
- « La Neuchâteloise Sylvie Perrinjaquet ne repart pas », Le Temps, (lire en ligne)
- « Agenda des événements de l'Université de Genève - L'image : sa construction, sa destruction et son usurpation au fil des siècles », sur agenda.unige.ch (consulté le )
- Elsa Floret, « Un rôle de lobbyiste auprès des entreprises et des particuliers », Agefi, , p. 8 (lire en ligne)
- « Rauch im Bundeshaus: So funktioniert die Tabak-Lobby », NZZ, (lire en ligne)
- cath.ch-apic/mp, « Suisse romande: Création d'une commission indépendante pour les victimes d'abus sexuels commis par des prêtres », sur Centre catholique des médias, (consulté le )
Liens externes
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- Ressource relative à la vie publique :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Site personnel