Sonate K. 547

sonate de Domenico Scarlatti
Sonate K. 547
sol majeur2/2, Allegro, 118 mes.

K.546K.547 → K.548
L.S.27L.S.28 → L.S.29
P.550P.551 → P.552
F.497F.498 → F.499
XV 33 ← Parme XV 34 → XV 35
I 81Münster I 82 → I 83

La sonate K. 547 (F.498/L.S.28) en sol majeur est une œuvre pour clavier du compositeur italien Domenico Scarlatti.

Présentation modifier

La sonate K. 547, en sol majeur, notée Allegro, forme le deuxième membre d'un couple avec la sonate précédente. Il s'agit, en contraste avec le Cantabile antérieur, d'une belle toccata, où la conclusion offre des similitudes avec la sonate K. 545[1].


 
Premières mesures de la sonate en sol majeur K. 547, de Domenico Scarlatti.

Manuscrits modifier

Le manuscrit principal est Parme XV 34 (Ms. A. G. 31420) copié en 1757 ; les autres manuscrits sont Münster I 82 (Sant Hs 3964) et Vienne D 32 (VII 28011 D)[2]. Une copie figure à Barcelone (E-Bbc), Ms. M 1964 (no 18)[3].

Interprètes modifier

La sonate K. 547 est défendue au piano notamment par Vladimir Horowitz (1964, Sony), Maria Tipo (1987, EMI), Sergei Babayan (1995, Piano Classics), Gerda Struhal (2007, Naxos, vol. 12), Olivier Cavé (2008, Æon), Carlo Grante (2013, Music & Arts, vol. 4) et Angela Hewitt (2017, Hyperion).

Au clavecin, elle est enregistrée par Huguette Dreyfus (1978, Denon), Scott Ross (1985, Erato)[4], Trevor Pinnock (Archiv), Richard Lester (2007, Nimbus, vol. 7), Pieter-Jan Belder (Brilliant Classics, vol. 8) et Pierre Hantaï (2017, Mirare, vol. 5).

Au pianoforte, Linda Nicholson l'interprète sur un instrument de Denzil Wraight, 2015 d'après un Cristofori-Ferrini de 1730 (2015, Passacaille).

Notes et références modifier

  1. Chambure 1985, p. 235.
  2. Kirkpatrick 1982, p. 469.
  3. Yáñez Navarro 2016, p. 102.
  4. Victor Tribot Laspière, « Au Château d’Assas, sur les traces de Scott Ross et de Scarlatti », sur France Musique, (consulté le )

Sources modifier

  : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Liens externes modifier