Prix Caroline-Jouffroy-Renault

prix littéraire décerné par l'Académie française
Prix Caroline-Jouffroy-Renault
Histoire
Fondation
Cadre
Type
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Le prix Caroline Jouffroy-Renault est un prix annuel de poésie créé par l'Académie française en 1934, disparu en 1967[1].

Lauréats modifier

  • 1934 :
    • Jean Appleton pour La halte au bord du lac (500 F)
    • Gaston Bourgeois pour Les heures du soir (500 F)
    • Diane de Cuttoli pour La houle des jours (500 F)
    • Henriette Herpin pour Hommage à l'amour inconnu (500 F)
    • Marie-Rose Michaud-Lapeyre pour Conscience (500 F)
    • Albert Tustes pour L’Estavelle du cœur (500 F)
    • Joseph Vassivière pour À fleur d'aile (500 F)
  • 1935 :
    • F. Chadeyras pour Chants du soir (500 F)
    • Paul de Lacombe pour Aurores et crépuscules (500 F)
    • Louis Foisil pour La chouette sur mon berceau (1 000 F)
    • Julien Guillemard pour Les sirènes de l'estuaire (1 000 F)
    • Ernest Prévost pour L’Hosanna des quatre saisons (1 000 F)
  • 1936 : Henry Dérieux pour Face à face (4 000 F)
  • 1937 :
    • Dr Jean-Max Eylaud pour Images et pensées (500 F)
    • Jeanne Gallo-Borel pour Les mystères du cœur (500 F)
    • Lucie Guillet pour L'astre de chair (1 000 F)
    • M. L. Pasqualini pour Pages de gloire (500 F)
    • Albert Pestour pour Épîtres (1 500 F)
  • 1938 :
    • Mme Marvig pour Ensemble de son œuvre (3 000 F)
    • Gisèle Vallerey pour Itinéraire (1 000 F)
  • 1939 : André Mary (3 600 F)
  • 1940 : Mme Renée Dulieu pour En Provence, visions d'Évangile (2 000 F)
  • 1941 :
    • André Blanchard pour Ensemble de son œuvre (2 000 F)
    • Diane de Cuttoli pour Ensemble de son œuvre (1 000 F)
    • Paul Flamant pour La morte Abbaye (1 000 F)
  • 1942 :
    • Pierre Arvel pour De ce monde qui passe (500 F)
    • Joseph Barrière pour Le Champ de seigle (500 F)
    • Simone Chevallier pour Délivrez-nous du mal (500 F)
    • Jean de la Jaline ou Charles Joubert pour Gerbes vaines (1 000 F)
    • Théo Martin pour L’Écrin de chair (500 F)
    • Antoine Rigaud pour Offrande à ma terre (1 000 F)
  • 1943 :
    • André Blanchard pour Ligne de vie (1 000 F)
    • André Druelle pour France (6 000 F)
    • Marguerite Fontanes pour Les voix du jardin (1 000 F)
  • 1944 :
    • Suzanne Buchot pour Comme une lampe ardente (2 500 F)
    • Jacques Godron pour Airs d'exil (1 000 F)
    • Jean Sarrailhé pour Crépuscule d'artiste (1 000 F)
  • 1945 : Charles Melaye pour La guirlande de ma Dame de Cléry (3 600 F)
  • 1946 :
    • Abbé Pierre Breyou (600 F)
    • Paul Carrier pour Le temps de le dire (1 000 F)
    • Philippe Chabaneix pour Musique des jours et des nuits (1 000 F)
    • M. de La Loge d'Ausson pour Les Devanciers (médaille)
    • Mme de Miramont (1 000 F)
    • M. Heureude pour Poèmes (médaille)
  • 1947 : Louis Planté pour La route de ma peine (2 600 F)
  • 1948 : Danielle Hemmert pour L'ombre du Dieu (2 600 F)
  • 1949 :
    • Andrée-Gabrielle Berry pour L'Or et la Neige (1 000 F)
    • Yves Bescou pour Poésies choisies (500 F)
    • Auguste-Pierre Garnier pour Solitude aux vergers (500 F)
    • Danielle Hemmert pour L'ombre du Dieu (2 600 F)
  • 1950 :
    • Anne Fontaine pour Le premier jour (1 000 F)
    • Mme Camille Pedrega pour Poèmes d'un sou (600 F)
  • 1951 :
    • Yves Kervor pour Cocktail (850 F)
    • Jean-Marc Langlois-Berthelot pour Amours sacrés, amours profanes (850 F)
    • Pierre Laurent pour L'île de lumière (850 F)
    • Pierre Roudière pour Le visage mutilé (850 F)
  • 1952 :
    • Géraud d’Aligny pour Sources et cascades (1 000 F)
    • Louis Amargier pour La chanson du Gévaudan (1 000 F)
    • Raoul Cambiaggio pour En suivant l'Huveaune (1 000 F)
    • Colette Daugny pour Chants du silence (1 000 F)
    • Colette Lièvre-Brizard pour Poèmes (1 000 F)
    • Madeleine Stammler pour Mon chant de solitude (1 000 F)
  • 1953 :
    • Jean Camp pour De mes treilles (1 000 F)
    • Charles Carrière pour Solitude en Rouergue (1 000 F)
    • Marie Cossa pour Solitudes (1 000 F)
    • Armand Got pour Suite périgorde (1 000 F)
    • Lise Laurent-Martin pour Le chant des saules (1 000 F)
    • Charles Toulègue pour Poèmes sans soleil (1 000 F)
  • 1954 :
    • Jacques Baroche pour Chants d’amour (1 000 F)
    • Ferdinand Breysse pour Suite en bleu (1 000 F)
    • Hélène de Fitz-James pour Poésies (2 000 F)
    • Maxime Gam pour Sous les sept signes (1 000 F)
    • Renée Mauger-Kauffmann pour Fleurs et Légendes (1 000 F)
    • Jean Sylvaire pour D’amour et de raison (1 000 F)
  • 1955 :
    • Andrée Koziorowicz pour Nostalgie de la mer (2 000 F)
    • Alys Le Gigan Des Portes pour Des reflets, des pétales (2 000 F)
    • Félix Léon pour Méditations poétiques (2 000 F)
    • Raymond de Vries pour Les Prédestinées (médaille)
  • 1956 :
    • René d'Alsace pour Le Cortège des ombres (2 000 F)
    • Alliette Audra pour Ce que disent les souffles (5 000 F)
    • Andrée-Gabrielle Berry pour Le petit pain de cendre (2 000 F)
    • Colette Daugny pour Les moissons ardentes (1 000 F)
    • Mireille Ducos pour La porte ouverte (2 000 F)
    • Amédée Dupont pour Vals de Loire (1 000 F)
    • Madeleine Hivert pour La source couverte d’ombre (1 000 F)
    • Mlle Maïse Ploquin pour Carnet secret (1 000 F)
    • Jean Siquier pour Cantal, mon vieux pays (1 000 F)
  • 1957 :
    • Paul Lebois pour Nostalgies. La Mer (3 000 F)
    • André Nicolas pour Je ne suis pas si vilaine (3 000 F)
  • 1958 : Jean Fontanié pour Les présents du silence (10 000 F)
  • 1959 : Christine Barralon pour Chansons dans la cendre (10 000 F)
  • 1961 : Andrée-Gabrielle Berry pour Le tombeau de Micheline (250 F)
  • 1962 : Marguerite Durand-Viel Rousseau pour La Cité marine (250 F)
  • 1963 : Madeleine Caplain pour La clé des champs (250 F)
  • 1964 : Armen Lubin pour Feux contre feux (500 F)
  • 1965 : Claude Michel Cluny pour Désordres (250 F)
  • 1967 : Marie-Thérèse Poillera pour Les trois saisons (250 F)

Notes et références modifier

  1. « Prix Caroline Jouffroy-Renault | Académie française », sur www.academie-francaise.fr (consulté le )