Max Tourailles

résistant français pendant la Seconde Guerre mondiale
Max Tourailles
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Décès
Pseudonyme
ProsperVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Autres informations
Membre de
Conflit
Distinction
Archives conservées par
Service historique de la Défense (SHD/ AC 21 P 683477)
Service historique de la Défense - site de Vincennes (d) (GR 16 P 575016)Voir et modifier les données sur Wikidata

Max Tourailles, né le à Terrasson et mort le , est un résistant français exécuté par les Allemands, après avoir été torturé, pendant la Seconde Guerre mondiale.

Biographie modifier

Il est verrier de profession et membre de l’équipe de rugby de Terrasson avant guerre.

Membre du Parti communiste français, il est un des fondateurs du groupe de Francs-tireurs Partisans (FTP) « Pierre Rébière ». Dans la Résistance, il prend le nom de « Prosper »[1],[2].

Il est arrêté, avec René Lascaux, par les SS le , questionné, torturé. Ils refusent de donner les noms des résistants de leur réseau. Ils sont abattus d'une balle dans la nuque, dans une carrière, à proximité de la ferme Druillolle, sur la route de Bouillac, près de Terrasson[1].

Leurs corps sont récupérés par la gendarmerie le lendemain[1]. D'autres affirment que les corps auraient été retrouvés par le boulanger lors de sa tournée et qu'il les aurait ramenés.[réf. nécessaire]

Reconnaissance modifier

Références modifier

  1. a b c d et e Dominique Tantin, « Tourailles Max », sur fusilles-40-44.maitron.fr (consulté le )
  2. « Titres, homologations et services pour faits de résistance - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
  3. « Terrasson  : La date du 31 mars gravée dans la mémoire locale », sur evous.fr via Wikiwix (consulté le ).
  4. « En mémoire des martyrs de Tranche », sur sudouest.fr, (consulté le ).
  5. https://archive.wikiwix.com/cache/20151120000000/http://www.ewanews.com/terrasson/terrasson-societe/3468-2015-04-01-20-28-23.
  6. « Stèle de Gaubert – CDM 24 » (consulté le )

Voir aussi modifier

Liens externes modifier