L'Apostat

nouvelle de Jack London

L'Apostat
Publication
Auteur Jack London
Titre d'origine
The Apostate
Langue Anglais américain
Parution New York (États-Unis)
The Macmillan Co
1911
Recueil
Quand Dieu ricane
Traduction française
Traduction Louis Postif
Parution
française
1931
Nouvelle précédente/suivante

L'Apostat (titre original : The Apostate) est une nouvelle américaine de Jack London publiée aux États-Unis en 1906.

Historique modifier

La nouvelle est publiée initialement dans le Woman's Home Companion en , avant d'être reprise dans le recueil When God Laughs and Other Stories en .
La nouvelle préoriginale porte le sous-titre Une parabole du travail des enfants, situation vécue par Jack London lui-même, qui a travaillé dans une usine de conserves, dans une fabrique de jute et dans une centrale électrique pendant son adolescence.

Résumé modifier

« - Je travaillerai plus jamais.
- Mon dieu, Johnny, ne dis pas une chose pareille ! » gémit-elle.
Ce qu'il venait de dire était un blasphème à ses oreilles. Elle était aussi choquée par ces mots qu'une mère qui entendrait son fils nier l'existence de Dieu[1].
À dix-huit ans, après avoir trimé dans les usines depuis l'âge de sept ans, Johnny se hisse dans un wagon de marchandises vide ...

Éditions modifier

Éditions en anglais modifier

Traductions en français modifier

  • Le Renégat, traduit par Louis Postif, in Les Œuvres libres, Paris, Fayard, .
  • L'Apostat, traduit par Clara Mallier, in Romans, récits et nouvelles, Paris, Gallimard, 2016[2].
  • L'Apostat, traduit par Philippe Mortimer, Libertalia, .

Sources modifier

Références modifier

  1. Jack London
  2. Jack London, Romans, récits et nouvelles, tome I, édition publiée sous la direction de Philippe Jaworski, Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 2016 (ISBN 9782070146475)