Jean Marimbert

haut fonctionnaire français
Jean Marimbert
Jean Marimbert en 2010.
Fonctions
Directeur général
Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (d)
-
Philippe Duneton (d)
Directeur général
Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse
-
Pierre-Alain Jeanneney (d)
Philippe Distler (d)
Directeur général
Agence nationale pour l'emploi
-
Jean-François Colin (d)
Biographie
Naissance
(68 ans)
Rabat, Drapeau du Maroc Maroc
Nationalité
Formation
Activité

Jean Marimbert, né le à Rabat (Maroc), est un haut fonctionnaire français.

Biographie modifier

Diplômé de HEC Paris, il obtiendra un DEA, spécialité politique économique et sociale à l'IEP Paris. Il intègrera ensuite l'École nationale d'administration[1]d’où il en sortira en 1983 dans la promotion Solidarité (major de la voie économique), et intègrera le Conseil d'État.

En 1987, sous le gouvernement de la première cohabitation, il est nommé conseiller technique du cabinet du ministère des affaires sociales, alors occupé à ce moment par Philippe Séguin. L'année suivante, en 1988, il puis chargé de mission au cabinet de Lionel Stoléru au secrétariat d’État au Plan, jusqu'en 1989.

Après être passé directeur adjoint du cabinet de Jean-Pierre Soisson, ministre du Travail, de l'Emploi et de la Formation professionnelle de 1989 à 1990, ce dernier lui propose en [2]. la direction générale de l'ANPE, poste qu'il occupera jusqu'en , ou il est remplacé par Jean-François Colin[3].

En 1993, il prend la tête de l'Agence française du sang, après avoir été nommé par Simone Veil, alors ministre des affaires sociales sous la deuxième cohabitation, ou il y restera jusqu'en 1995. Il devient le en remplacement d'Olivier Dutheillet de Lamothe directeur des Relations du Travail au ministère du Travail[4].

En [5], sur proposition de Jean-Michel Hubert alors président de l'Autorité de régulation des télécommunications (ancien nom de l'ARCEP), il devient directeur général de l'autorité et ce jusqu'en [6].

En , il devient directeur de l'AFSSAPS[7]. À la suite du scandale du Mediator et du rôle critiquée de l'agence à la suite de cette affaire, il démissionne en [8]. De [9] à , il est secrétaire général du ministère de l'Éducation nationale. Il est depuis cette date revenu au Conseil d'État, où il est rapporteur à la section sociale.

Références modifier

Liens externes modifier