Heteronebo bermudezi
espèce d'arachnides
Heteronebo bermudezi est une espèce de scorpions de la famille des Diplocentridae.
Heteronebo bermudezi
- Diplocentrus bermudezi Moreno, 1938
Distribution
modifierCette espèce est endémique de Cuba[1]. Elle se rencontre dans la province de Pinar del Río et la municipalité spéciale de l'Île de la Jeunesse[2].
Description
modifierLes femelles décrites par Francke en 1978 mesurent 30,05 mm et 31,10 mm[3].
Systématique et taxinomie
modifierCette espèce a été décrite sous le protonyme Diplocentrus bermudezi par Moreno en 1938. Elle est placée dans le genre Heteronebo par Francke en 1978[3].
Heteronebo bermudezi morenoi est élevée au rang d'espèce par Teruel et Rodríguez-Cabrera en 2017[2].
Étymologie
modifierCette espèce est nommée en l'honneur de P. J. Bermúdez[4].
Publication originale
modifier- Moreno, 1938 : Contribución al estudio de los escorpiónidos cubanos. Parte I. Superfamilia Scorpionoidea. Memorias de la Sociedad Cubana de Historia Natural, vol. 12, no 3, p. 191–202.
Liens externes
modifier- The Scorpion Files : Jan Ove Rein, Trondheim, Norwegian University of Science and Technology
- (en) Référence BioLib : Heteronebo bermudezi (Moreno, 1938) (consulté le )
- (en) Référence Catalogue of Life : Heteronebo bermudezi (Moreno, 1938) (consulté le )
Notes et références
modifier- Fet, Sissom, Lowe & Braunwalder, 2000 : Catalog of the Scorpions of the World (1758-1998). New York Entomological Society, p. 1-690.
- Teruel & Rodríguez-Cabrera, 2017 : The missing piece of the puzzle solved: Heteronebo Pocock, 1899 (Scorpiones: Scorpionidae) occurs at Isla de Pinos, Cuba. Euscorpius, no 240, p. 1-4 (texte intégral).
- Francke, 1978 : Systematic revision of diplocentrid scorpions (Diplocentridae) from circum-Caribbean lands. Texas Tech University Museum Special Publications, no 14, p. 1-92 (texte intégral).
- Moreno, 1938 : Contribución al estudio de los escorpiónidos cubanos. Parte I. Superfamilia Scorpionoidea. Memorias de la Sociedad Cubana de Historia Natural, vol. 12, no 3, p. 191–202.