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Ghislain Lafont

moine bénédictin et théologien français
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Ghislain Lafont
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Biographie
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Décès
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Michel Louis Marie LafontVoir et modifier les données sur Wikidata
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Ghislain Lafont, né le à Paris et mort le [1],[2] à Saint-Léger-Vauban dans l'Yonne[3], est un théologien français[4], moine bénédictin de l'abbaye de la Pierre-Qui-Vire.

Il entre à l’abbaye bénédictine de La Pierre-qui-vire à l’âge de 17 ans, en 1945[5],[6].

Il est professeur émérite de théologie à Rome (à l'Université pontificale grégorienne et à l'Athénée pontifical Saint-Anselme)[7].


Publications modifier

  • Peut-on connaître Dieu en Jésus-Christ ?, Cerf, [8],[9]
  • Des moines et des hommes, Stock,
  • Dieu, le temps et l'être', Cerf, [10],[11]
  • Histoire théologique de l'Église catholique : itinéraire et formes de la théologie, Cerf, coll. « Cogitatio fidei » (no 179), [12],[13]
  • Imaginer l'Église catholique, Cerf, [14]
  • Structures et méthode dans la « Somme théologique » de saint Thomas d'Aquin, Desclée de Brouwer, coll. « Textes et Etudes théologiques », [15]
  • La sagesse et la prophétie : modèles théologiques, Cerf,
  • Eucharistie : le repas et la parole, Cerf, [16]
  • Jésus, un pauvre parmi les pauvres. Une lecture de l'évangile de saint Matthieu, [17]
  • Promenade en théologie, Lethielleux,
  • Que nous est-il permis d'espérer ?, Cerf, [18],[19]
  • L’Église en travail de réforme. Imaginer l’Église catholique, t. II, Cerf, coll. « Théologies », [20]
  • Le catholicisme autrement ?', Cerf,

Notes et références modifier

  1. ↑ « Décès du théologien bénédictin Ghislain Lafont, moine de La Pierre-qui-Vire », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  2. ↑ Christine RONDOT, « BELFORT. Décès de Frère Ghislain, théologien, ancien prieur de Chauveroche », sur www.estrepublicain.fr, (consulté le )
  3. ↑ État civil sur le fichier des personnes décédées en France depuis 1970
  4. ↑ (it) Andrea Grillo, « Teologo libero e monaco vero », sur L'Osservatore Romano, 14 maggio 2021 (consulté le )
  5. ↑ (it) « In morte di Ghislain Lafont: percorso di vita », sur SettimanaNews, (consulté le )
  6. ↑ (en) « Ghislain Lafont, forward-thinking Benedictine theologian, dies at age 93 », sur international.la-croix.com, (consulté le )
  7. ↑ « N’oublions pas les maîtres - L'Osservatore Romano », sur Osservatore Romano, (consulté le )
  8. ↑ A. Solignac, « Review of Peut-on connaître Dieu en Jésus-Christ ? * Problématique. Coll. « Cogitatio Fidei » », Archives de Philosophie, vol. 33, no 4,‎ , p. 1071–1074 (ISSN 0003-9632, lire en ligne, consulté le )
  9. ↑ Jean-Louis Klein, « Ghislain Lafont, Peut-on connaître Dieu en Jésus-Christ ? , Problématique. Paris, Cerf, 1969 », Revue d'Histoire et de Philosophie religieuses, vol. 53, no 1,‎ , p. 117–117 (lire en ligne, consulté le )
  10. ↑ Marie-Jeanne Koenig, « Ghislain Lafont, Dieu, le Temps et l'Etre. Editions du Cerf, Paris, 1986 », Revue d'Histoire et de Philosophie religieuses, vol. 67, no 4,‎ , p. 425–426 (lire en ligne, consulté le )
  11. ↑ Robert Guelluy, « Ghislain Lafont, Dieu, le temps et l'être, 1986 », Revue Théologique de Louvain, vol. 19, no 1,‎ , p. 102–103 (lire en ligne, consulté le )
  12. ↑ Gérard Siegwalt, « Ghislain Lafont, Histoire théologique de l'Église catholique. Itinéraire et formes de la théologie. Paris, Cerf, 1994, (Coll. Cogitatio fidei, 179) », Revue d'Histoire et de Philosophie religieuses, vol. 74, no 4,‎ , p. 445–446 (lire en ligne, consulté le )
  13. ↑ Philippe Weber, « Ghislain Lafont, Histoire théologique de l'Eglise catholique. Itinéraires et formes de la théologie (coll. Cogitatio fidei, 179), 1994 », Revue Théologique de Louvain, vol. 27, no 3,‎ , p. 390–390 (lire en ligne, consulté le )
  14. ↑ « Dernières livraisons », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  15. ↑ Jean Jolivet, « Ghislain Lafont, O.S.B., Structures et méthode dans la « Somme Théologique » de saint Thomas d'Aquin. Collection : Textes et Etudes théologiques. Paris, Desclée de Brouwer, 1961 », Revue d'Histoire et de Philosophie religieuses, vol. 42, no 1,‎ , p. 58–60 (lire en ligne, consulté le )
  16. ↑ Elisabeth Parmentier, « Ghislain Lafont, Eucharistie. Le repas et la parole, Paris, Cerf, 2001 », Revue d'Histoire et de Philosophie religieuses, vol. 83, no 1,‎ , p. 125–125 (lire en ligne, consulté le )
  17. ↑ Marie-André Houdart, « Ghislain Lafont, Jésus, un pauvre parmi les pauvres. Une lecture de l'évangile de saint Matthieu. 2002 », Revue Théologique de Louvain, vol. 34, no 1,‎ , p. 107–107 (lire en ligne, consulté le )
  18. ↑ Jean-Claude Eslin, « Ghislain Lafont : Que nous est-il permis d'espérer ? », sur Revue Esprit, (consulté le )
  19. ↑ Benoît Bourgine, « Ghislain Lafont, Que nous est-il permis d’espérer ? (coll. La nuit surveillée), 2009 », Revue Théologique de Louvain, vol. 42, no 2,‎ , p. 290–290 (lire en ligne, consulté le )
  20. ↑ Philippe Weber, « Ghislain Lafont, L’Église en travail de réforme. Imaginer l’Église catholique, tome II (coll. Théologies), 2011 », Revue Théologique de Louvain, vol. 44, no 3,‎ , p. 461–461 (lire en ligne, consulté le )

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