Georges Béal

sculpteur ornemaniste français
Georges Béal
Georges Béal et son vase Les Barettes édité par Verlys
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Georges Béal est un sculpteur ornemaniste français né le à Paris[1] et mort le à Lagny-sur-Marne[2].

Concepteur de modèles d'objets d'art de la vie quotidienne (services de table, café, thé, vases, pendulettes, luminaires, coupes…), il confie la réalisation de ses créations à des bronziers, orfèvres et verriers[3].

Biographie modifier

Formation - La Réunion des fabricants de bronzes modifier

Très jeune, Georges Béal décide de son métier. Influencé par son père, Jean-Marie Béal (1856-1944), artisan gainier, il s'oriente dans le domaine des arts appliqués. En 1898, il entre à l'École professionnelle de dessin, modelage et ciselure de la Réunion des fabricants de bronzes à Paris.

En 1901, il passe le concours de fin d'études en sculpture d'ornement et obtient le 3e prix pour un plateau porte-cartes dont le jury estime qu'il est « modelé et réparé avec une expérience rare à cet âge[4] ». Pour ce prix, la Réunion des fabricants de bronzes lui remet une somme de 100 francs grâce au legs Didier. Les prix sont distribués dans la mairie du 3e arrondissement le .

En 1909, au Concours des jeunes artisans, la Réunion des fabricants de bronzes lui décerne un 6e prix pour la réalisation d'un vase en bronze Les Pissenlits avec une somme de 100 francs du legs Didier[5].

Ses ateliers modifier

En 1920, Georges Béal crée son atelier de sculpture au 73, rue de Bagnolet à Paris dans un des sept locaux d'environ 27 m2 situés sur cour au rez-de-chaussée[6].

En , Béal achète une partie du terrain situé à l'angle de la rue Drevet et de la rue Gabrielle pour faire construire une maison, l'autre partie étant achetée par le peintre Maurice Cahours (1899-1974)[7]. Cette maison au 14, rue Drevet comporte un atelier au premier étage[8].

La Société des artistes français modifier

En 1906, Georges Béal présente au Salon des artistes français une vitrine[9] contenant des objets d'art en matériaux divers réalisés en collaboration, pour la ciselure, avec Raymond Bonnafoux et Georges Soudanas. Il précise dans le catalogue qu'il est élève de Furcy Rambaud.

En 1907, il expose une vitrine[9] contenant des pièces d'orfèvrerie, fruits de la même collaboration que celle de l'année précédente.

En 1910, il présente Les Orchidées, une lampe électrique et un vide-poche avec des motifs végétaux[10]. Pour ces trois expositions, en 1906, 1907 et 1910, Béal mentionne l'adresse de son domicile du 44, rue Alexandre-Dumas à Paris[9],[10].

En 1921, Béal présente une vitrine[11]contenant des objets en matériaux divers. En 1922, il présente une vitrine[12] contenant divers objets d'art en argent et ivoire édités par la maison d'orfèvrerie Lapparra et Gabriel[13] : cafetière en argent à anses d'ivoire, théière, sucrier, crémier, plateau en métal argenté, légumier en argent, plat rond, saucière en argent avec plateau, couvert table en argent, couteau de table à manche en argent, couteau de table à manche en ivoire.

La Société des artistes décorateurs modifier

À partir de 1921, Georges Béal expose aux Salon des artistes décorateurs (SAD). Il est membre actif de la Société des artistes décorateurs de 1922 à 1949. Il y envoie les objets suivants[14]:

Salons de la Société des artistes décorateurs (SAD) Ouvrages créés par Georges Béal Entreprises éditrices
1921 Sept appliques de meuble en bronze doré (pour la parfumerie d'Orsay) Christofle et Cie
1922 Légumier. Saucière sur plateau. Services à thé et à café sur plateau. Plat. Couverts et Couteau. Service tête à tête en vermeil (Modèle Mado)[15] Lapparra et Gabriel, orfèvres
1923 Un vase argenté à 8 pans ; Un service à thé argent et bois d'amourette Lapparra et Gabriel, orfèvres
1923 Trois pendulettes dorées Servin, horloger
1923 Un lustre bronze et marbre (5 lumières) Bonvoisin, bronzes
1923 Service de couverts et de couteaux en argent à pans filetés (8 pièces) et différents plats à pans filetés en argent; Service de couverts et de couteaux en argent à joncs (8 pièces) et différents plats à joncs en argent[16] Cardeillac ; collaboration avec Puechmagre, dessinateur
1924 Un service à thé en argent et nacre sur plateau, érable, nacre et argent[17] Société française de joaillerie et orfèvrerie R. Linzeler
1924 Deux pendulettes, bronze doré Leblanc-Barbedienne
1927 Un service à café argent, bois d'amarante et ébène sur plateau Béal
1927 Deux services à thé, argent[18] Lapparra, orfèvre
1928 Vase en bronze patiné : Les Prismes ; Vases en verre-pressé : Capillaires, Mimosa[19] Société Etling
1932 Vase : Trois poissons ; Serre-livres : Les Cygnes (en verre pressé)[20] Société Etling
1933 Coupe Vase
1935 Coupe d'aviation métal argenté[21],[22] Maison Barbedienne

La Société d'encouragement à l'art et à l'industrie modifier

La Société d'encouragement à l'art et à l'industrie (SEAI)[23] attribue, pour des artistes français se présentant à des salons ou à des concours, des récompenses sous forme de primes et d'une plaquette en bronze 59 × 41 mm gravée par Oscar Roty. Béal a reçu trois récompenses de cette société :

  • au Salon des artistes français de 1922, la SEAI lui décerne la 1re prime (300 francs) avec la plaquette gravée par Roty[24] ;
  • au Salon des artistes décorateurs de 1922, la SEAI lui décerne la 2e prime (200 francs) avec la plaquette gravée par Roty[25] ;
  • au Concours du luminaire électrique en 1924, la SEAI lui attribue la plaquette gravée par Roty.

La parfumerie d'Orsay modifier

La parfumerie d'Orsay[26] était située au 15, rue de la Paix, à l'angle de la rue Daunou à Paris. Georges Béal participe à la décoration de la parfumerie avec l'architecte Louis Süe (1875-1968) et le peintre André Mare (1887-1932). Ces deux artistes dirigent la Compagnie des arts français[27]. Dix-sept bronzes d'ameublement créés par Béal (poignée, entrée de serrure…) sont répertoriés sur trois plaques de verre[28]. Sept d'entre-eux sont présentés au Salon des artistes décorateurs de 1921. Trois d'entre-eux illustrent l'article d'Émile Sedeyn dans Art et Décoration de 1921, qui écrit : « La Maison Christofle édite de beaux bronzes de M. Béal[29] ». Une bonbonnière à décor de roses et fleurs ciselées, signée Béal, a pu être créée pour la parfumerie[30]. Béal est probablement l'auteur des sept frontons des baies d'entrée de la parfumerie[31].

Le musée Galliéra modifier

 
Lettre de Georges Béal pour l'Exposition d'Art moderne de 1923, Paris, palais Galliera, musée de la Mode de la ville de Paris.

À l'exposition d'art moderne du musée Galliéra de l'hiver 1923-1924 à Paris, Béal présente ses créations en argent et ivoire édités par les orfèvres Lapparra et Gabriel et montrés auparavant au Salon des artistes français de 1922[32].

En 1924, il expose à l'exposition générale annuelle d'art appliqué au musée Galliéra[33].

L'Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes de 1925 à Paris modifier

L'Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes est marquée par une innovation qui consiste en une étroite collaboration entre industriels et artistes[34]. Béal collabore avec une douzaine d'entreprises industrielles et expose dans différents lieux de l'exposition[35]. Les objets exposés sont groupés en classe par leur nature et leur destination[36].

Béal obtient des distinctions dans trois classes[37]. Deux médailles d'or lui sont décernées :

  • en groupe I, architecture ; classe 4, art et industrie du métal : béquille (poignée de porte) et plaque (plaque de propreté) en bronze ciselé et doré au mercure, fabriqués par la Maison de fonderie de cuivre et de fer de Biuret-Debourin et édités par Bricard[38] ;
  • en groupe II, mobilier ; classe 10, art et industrie du métal : lampe avec deux abat-jour, fabriquée par Aucoc[39] ;
  • un diplôme d'honneur lui est attribué en groupe II, mobilier ; classe 9, tabletterie et maroquinerie : services à thé et de table avec combinaison de pierres précieuses[40].

Béal participe aussi à la réalisation de deux ensembles :

  • le salon de réception d'une ambassade française située dans la cour des Métiers de l'esplanade des Invalides. Il réalise l'orfèvrerie[41],[42],[43] ;
  • les salles de l'enseignement technique situées au premier étage du Grand Palais ; pour la salle 27, dite « atelier des créateurs de modèles », il collabore dans le domaine sculpteur-dessinateur, bronze, orfèvrerie[44].

L'Exposition universelle des Arts et des Techniques appliqués à la Vie moderne de 1937 à Paris modifier

 
Vase lumineux, métal argenté, commandé par l'État pour l'Exposition universelle de 1937, 50 cm, Paris, Mobilier national.

Le ministère du Commerce et de l'Industrie commande à Georges Béal la création d'un vase lumineux en métal argenté pour l'Exposition universelle de 1937[45]. Le dossier complet de la commande et du contrat est conservé aux Archives nationales[46].

Le vase fut exposé dans le pavillon de la classe 44 (orfèvrerie) et lui vaut une médaille d'argent. Il est conservé à Paris au Mobilier national. Il a été présenté à Paris à la manufacture des Gobelins lors de l'exposition L'Esprit et la Main du au .

La verrerie modifier

À partir de 1928, Georges Béal travaille avec des entreprises de verrerie comme Etling et Verlys, dont il fut l'un des artistes principaux[47],[48],[20],[49].

L'entreprise Etling éditait des objets d'art en verre pressé-moulé, ainsi que de la statuaire en bronze, terre cuite et céramique. Béal réalise, entre autres, des coupes et des vases aux décors végétaux stylisés. Ses reliefs sont moins saillants que ceux des autres créateurs. Parmi ses œuvres référencées figurent un vase en verre opalescent moulé à la presse à motif de Pommes de pin en relief[47], un vase-fleur avec une base lumineuse et trois oiseaux perchés[48], un vase Pin, un serre-livres Les Cygnes (exposé au SAD de 1932) et une coupelle Tournesol, une coupe et un bol modèle Tournesol et une coupe modèle Chardon en verre pressé-moulé[20].

Il fournit des modèles de vases givrés, dont le modèle Les Barettes, pour la marque Verlys, dont les usines étaient situées aux Andelys[20]. Le modèle Mimosa édité par Verlys est différent du modèle Mimosa édité par Etling et exposé au Salon des artistes décorateurs de 1928[19].

Notes et références modifier

  1. Archives de Paris, 12e arrondissement, année 1884, acte de naissance no 2086.
  2. Archives de Seine-et-Marne, commune de Lagny-sur-Marne, année 1969, transcription de l'acte de décès no 19.
  3. Martine Hanotelle-Hervé, « Georges Béal, sculpteur ornemaniste », Bulletin de la Société d'histoire et d'archéologie des 9e et 18e arrondissements de Paris, no 86, décembre 2017, pp. 52-60.
  4. Fonds de la Réunion des Fabricants de Bronzes, Annuaire 1897-1902, Rapport de M. Joindy, membre du jury, p.74, Archives nationales, 106AS/63.
  5. Le vase est reproduit dans le bulletin (cf. Fonds de la Réunion des Fabricants de Bronzes, Bulletin annuel 1909, p.59), Archives nationales, 106AS/65.
  6. Archives de Paris, permis de construire, 73, rue de Bagnolet, Paris 20e, VO11/186 et 2351W/22.
  7. Archives de Paris, sommier foncier, DQ18 1876 (pour Béal) et DQ18 1852 (pour Cahours). La maison de Cahours ouvre au 21, rue Gabrielle avec un atelier s'élevant sur deux étages.
  8. Archives de Paris, permis de construire : VO12/252 pour le 21, rue Gabrielle ; VO11/1028 pour le 14, rue Drevet.
  9. a b et c Pierre Sanchez, Dominique Lobstein, Catalogue des Salons des artistes français 1905-1907, Dijon, L'Échelle de Jacob.
  10. a et b Pierre Sanchez, Catalogue des artistes français 1908-1910, Dijon, L'Echelle de Jacob.
  11. Catalogue du Salon des artistes français en Arts appliqués du 4 mars au 17 avril 1921, Son atelier du 73, rue de Bagnolet est signalé pour la première fois au catalogue.
  12. Catalogue de l'Exposition d'art appliqué organisé au Salon de la Société des artistes français : du 5 mai au 30 juin 1922[source insuffisante].
  13. Existant actuellement sous le nom de Souche Lapparra.
  14. Louis Chéronnet, Société des artistes décorateurs, catalogues 1904-1990, Paris [1].
  15. Yvanhoé Rambosson, «La première Exposition de la Décoration Française Contemporaine », Art et Décoration, tome 42, juillet-décembre 1922, p. 190: "L'orfèvrerie est représentée par des œuvres de premier ordre. Le service tête à tête en vermeil de MM. Lapparra et Gabriel (sculpteur Béal) pourrait être victorieusement comparé à de belles pièces du passé. J'en dirais autant des envois de M.Puiforcat et du service de MM. Tétard"; le service tête à tête en vermeil est représenté p. 182.
  16. René Chavance, « Le XIVe Salon des artistes décorateurs », Art et Décoration, tome 43, janvier-juin 1923, p. 189: "La fantaisie de M. Puiforcat s'exprime dans d'ingénieuses combinaisons de métal et de matières précieuses, jade, ivoire, aventurine. Plus sévère, l'invention de MM. Puechmagre et Béal, mise à profit par M. Cardeilhac, s'applique à des réalisations harmonieusement équilibrées"; la saucière à joncs en argent est représentée p. 186.
  17. Léon Deshairs, « Le XVe Salon des artistes décorateurs », Art et Décoration, tome 45, janvier-juin 1924, p. 173: le service en argent et nacre créé par Béal et édité par Linzeler est représenté.
  18. René Chavance, « 17e Salon des artistes décorateurs », Les Échos des Industries d'Art, no 23, juin 1927, p;14: "L'orfèvrerie semble bien avoir trouvé, au moins pour un temps, la forme qui sied à notre époque. Et si M. Pierre Dumont, M. Henri Lapparra, M. Adolphe Truffier, M. Georges Béal cherchent ici une courbe compliquée, ajoutent là un ornement, ils ne peuvent guère s'écarter des normes admises désormais".
  19. a et b Vase modèle Mimosa édité par Etling [2] (consulté le 09/03/2020).
  20. a b c et d Opalescence, le verre moulé des années 1920-1930, [exposition du 15 octobre au 29 novembre 1986], Bruxelles, Éd. Banque Bruxelles-Lambert, 1986.
  21. La coupe d'aviation exposée en 1935 au SAD pourrait correspondre à celle dont le dessin est conservé aux Archives Lapparra : coupe Béal Aviation, , no 12294.
  22. La coupe Béal, dont le dessin porte le no 12294 (Archives Lapparra) a été choisie comme récompense pour le deuxième prix d'un concours d'aviation en 1943, obtenu par la section scolaire de Jouy-en-Josas et de l'aéro-club Louis Blériot. Reproduction dans la revue l'Aérophile, mars 1944, p. 32 (en ligne).
  23. La Société d'encouragement à l'art et à l'industrie: son historique, 1889-1929, Paris, Éd. Chaix, 1930.
  24. « Chronique », Art et Décoration, juillet 1922, p. 3.
  25. « Chronique », Art et Décoration, avril 1922, p. 2.
  26. À l'actuel emplacement du magasin Dunhill.
  27. Florence Camard, Süe et Mare et la Compagnie des Arts Français, Éditions de l'Amateur, pp. 182-183.
  28. La Maison Christofle, Patrimoine, plaques de verre, 1921.
  29. Émile Sedeyn, « Le XIIe Salon des Artistes décorateurs », Art et Décoration, 1921, p. 104.
  30. La maison Christofle, Patrimoine, plaque de verre, 1920 et collection privée.
  31. La maison Christofle, Patrimoine, plaques de verre, 1922 et avril 1923.
  32. Une lettre écrite par Georges Béal avec un en-tête de son atelier de la rue de Bagnolet témoigne de sa participation au musée Galliéra à l'Exposition d'Art moderne, archives palais Galliéra, musée de la Mode de la ville de Paris[réf. incomplète].
  33. Yvanhoé Rambosson, « L'Exposition générale annuelle d'art appliqué au Musée Galliéra », L'Amour de l'Art, n°20, 1924, p. 28.
  34. Geneviève Tixier, Les Arts décoratifs, les arts graphiques, les arts du spectacle des années 1920-30.
  35. Catalogue général officiel de l'Exposition Internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, 1925, Paris, Ministère du Commerce, de l'Industrie, des Postes et des Télégraphes, pp. 65, 123, 133, 247, 248.
  36. Exposition Internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, 1925, Paris : son objet, son programme, son importance économique.
  37. « Ministère du Commerce, de l'Industrie, des Postes et des Télégraphes, Liste des Récompenses », Journal officiel de la République Française, 5 janvier 1926.
  38. Exposition Internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, 1925, Paris, Rappel général-section artistique et technique, Volume III : décoration fixe de l'architecture (classes 2 à 4) ; Béal est mentionné p. 53 ; planche XLV : représentation des deux créations de Béal.
  39. Exposition Internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, 1925, Paris, Rappel général-section artistique et technique, volume V : accessoires du mobilier (classes 9 à 12) ; Béal est mentionné p. 37 ; planche XXIII : reproduction de la lampe.
  40. « L'Art de la Bijouterie, la Joaillerie, l'Orfèvrerie, l'Horlogerie, les Pierres précieuses », in Exposition Internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, 1925, Paris, Édition de luxe de l'horloger, p. 48.
  41. Catalogue général officiel de l'Exposition Internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, 1925, Paris, Ministère du Commerce, de l'Industrie, des Postes et des Télégraphes, p. 95.
  42. 1925 quand l'Art déco séduit le monde, [Cité de l'architecture et du patrimoine du 16 octobre 2013 au 17 février 2014], Éd. Norma, p. 112.
  43. « Exposition internationale des Arts décoratifs - Art et Industrie du Métal », L'Art vivant, 1925, no 20, p. 21.
  44. Catalogue général officiel de l'Exposition Internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, 1925, Paris, Ministère du Commerce, de l'Industrie, des Postes et des Télégraphes, p. 318.
  45. Livre d'or officiel de l'Exposition Universelle des Arts et des Techniques appliqués à la Vie moderne de 1937, Paris, République française, ministère du Commerce et de l'Industrie, p. 375.
  46. Exposition Universelle des Arts et des Techniques appliqués à la Vie moderne de 1937, Paris, dossier des commandes et travaux, Archives nationales, cote F/12/12163.
  47. a et b Guiseppe Cappa, Le génie verrier de l'Europe, éd. Mardaga, 1998, pp. 251-252.
  48. a et b Victor Arwas, Glass Art Nouveau to Art Deco, Londres, Academy Editions, 1977, pp. 69-70.
  49. Guiseppe Cappa, L'Europe de l'art verrier, Des précurseurs de l'Art Nouveau à l'Art actuel 1850-1990, éd. Mardaga, 1991, p. 165.

Annexes modifier

Bibliographie modifier

  • Emmanuel Bénézit, Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays, Paris, Gründ, 1999, volume 1, p. 915.
  • Thierry Roche, Dictionnaire biographique des sculpteurs des années 1920-1930, Éditeur Beau fixe, , p. 48.

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