Front national des combattants
Pour les articles homonymes, voir Front national, FN et FNC.
Cet article est une ébauche concernant un parti politique français.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
| Fondation | |
|---|---|
| Dissolution | |
| Successeurs |
| Sigle |
FNC |
|---|---|
| Type | |
| Objet social |
Contribuer à la sauvegarde de l'Union française en luttant contre le défaitisme et toute politique d'abandon ; défendre, en tous temps et en tous lieux, les intérêts et droits matériels et moraux des combattants français. |
| Siège |
Paris (9, villa Poirier, 75015) |
| Pays |
| Fondateurs | |
|---|---|
| Positionnement |
Le Front national des combattants (abrégé en FNC) est un parti politique français fondé en 1957 par Jean-Marie Le Pen.
Historique modifier
Il succède à l'éphémère Mouvement national d'action civique et sociale (MNACS), dissident de l'Union et fraternité française et de son syndicat Union de défense des commerçants et artisans (UDCA) et présidé par Louis Alloin.
Dominique Chaboche[1] en était l’un des premiers adhérents aux côtés d’anciens poujadistes, comme Jean-Maurice Demarquet, Alain Jamet, mais également Georges Sauge et Jean-Pierre Reveau. Son journal était le bimensuel L'Unité, que géraient notamment Jean-Marie Le Pen et Guy Mougenot. Le parti, qui se saborde en 1958 (avant les législatives de la même année), est considéré comme l'ancêtre du Front national (FN).
Il a comme épigone le Front national pour l'Algérie française (FNAF), qui connaît une brève existence en juillet-décembre 1960 (date à laquelle il est dissous en conseil des ministres[2]).
Le FNC est, lui, dissous en [2].
Notes et références modifier
- « Disparition : Dominique Chaboche », dans Le Monde, 20 novembre 2005.
- « Les "front national" de Jean-Marie Le Pen », sur ipolitique.fr (consulté le ).
Annexes modifier
Article connexe modifier
Bibliographie modifier
- Laurent de Boissieu, « Front National Combattant (FNC) », sur france-politique.fr,
