Ferdinand Brettes
Pour les articles homonymes, voir Brettes.
Cet article est une ébauche concernant le catholicisme.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Ferdinand Brettes (1837 à Maurrin - 1923 à Saint-Sever) est un prêtre ésotériste et chanoine français[1], lié à Paul Rosen.
| Naissance | |
|---|---|
| Décès | |
| Activité |
Biographie
modifierPrêtre du diocèse de Bordeaux (1861-18..), puis de celui de Paris, chanoine prébendé de Paris (1886-1904), puis honoraire, également chapelain à l'École patronale de Sainte-Geneviève (1868-1874). Il a été vicaire à la Madeleine (à Paris), en 1874. Premier vicaire de Notre-Dame de Clignancourt de 1874 à 1886. Il fut un des fondateurs des Cercles catholiques ouvriers et le fondateur de l'Académie de droit canonique et en 1894, de la Société des sciences psychiques. En 1898, il s'oppose au chanoine Élie Méric au sujet de Papus[2].
Notes et références
modifier- Benoit Soubeyran, « Le catalogage et wikidata aident à corriger les notices de la BNF », sur bsoubeyr.wordpress.com, (consulté le )
- paul airiau, « "Mgr Méric contre le chanoine Brettes. Le conflit de 1898 à la Société des Sciences psychiques", Politica hermetica, n° 12, 1998.pdf », sur academia.edu, (consulté le ).
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- « Brettes (abbé Timothée-Ferdinand) », dans Henry Carnoy (dir.), Dictionnaire biographique international des écrivains, Hildesheim, Georg Olms Verlag, (ISBN 3-487-06703-X), p. 134-136.
