Environnement en Bulgarie

L'environnement en Bulgarie est l'environnement (ensemble des éléments - biotiques ou abiotiques - qui entourent un individu ou une espèce et dont certains contribuent directement à subvenir à ses besoins) du pays Bulgarie.

La biodiversité en Bulgarie

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Milieux, faune et flore

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Vue du Grand Balkan, depuis la ville de Pirdop.

Zones protégées

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  • Parcs Naturels : National park Pirin, National park Rila, National park Tsentralen Balkan, Nature park Belasitza, Nature park Balgarka, Nature park Vitosha, Nature park Vrachanski balkan, Nature park Zlatni pjasatsi, Nature park Persina, Nature park Rilski manastir, Nature park Russenski lom, Nature park Sinite kamani, Nature park Stranja, Nature park Shumensko plato (Association des Parcs naturels en Bulgarie)

Impacts sur les milieux naturels

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Agriculture

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Transports

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La présence d'une autoroute dans la gorge de Krésna fait peser une menace significative pour la biodiversité locale. Les populations de chauves-souris, serpents, vertébrés et de tortues ont baissé de plus de 60 % entre 2003 en 2019[1],[2].

Déforestation

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Pression sur les ressources non renouvelables

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Pollutions

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La Bulgarie est condamnée par la cour de justice européenne en 2017 pour « non-respect systématique et persistant, depuis l’année 2007 jusqu’à l’année 2013 incluse au moins des valeurs limites journalières et annuelles applicables aux concentrations de particules en suspension »[3]. Les villes bulgares sont parmi les plus polluées d'Europe[4].

Les émissions de gaz à effet de serre (GES)

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En 2012, les émissions de gaz à effet de serre (GES) étaient de ... MTCO2, soit ... % des émissions mondiales.

La pollution de l'air

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La pollution de l'eau

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La gestion des déchets

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Impacts de l'urbanisation

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L'exposition aux risques

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La Bulgarie est exposée à de multiples aléas naturels : séismes, tempêtes, incendies, glissements de terrain, sécheresses et canicules...

Politique environnementale en Bulgarie

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Traités internationaux

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La Bulgarie a signé le protocole de Kyoto.

Dans le cadre de la COP 21, la Bulgarie s'est engagé à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 40 % d'ici à 2030 par rapport au niveau de 1990, conformément à l'engagement de l'Union européenne.

Énergie

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Politiques locales

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Évaluation environnementale globale

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En 2015, l'organisation Global Footprint Network (GFN) indique que la Bulgarie est un des 57 pays sur 181 préservant ses ressources, avec une biocapacité s'élèvant à environ 2,61 hag (hectare global par habitant) supérieure à l'empreinte écologique à 2,5 hag[5].

Le jour du dépassement (date de l’année, calculée par l'ONG américaine Global Footprint Network, à partir de laquelle l’humanité est supposée avoir consommé l’ensemble des ressources que la planète est capable de régénérer en un an) du pays[Note 1] est le 22 juin[6].

Notes et références

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  1. Le jour du dépassement calculé par pays est le jour où le dépassement mondial se produirait si toute la population mondiale consommait comme la population du pays en question.

Références

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  1. « En Bulgarie, une autoroute menace la plus riche réserve naturelle du pays », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  2. « Un paradis naturel bulgare menacé par une autoroute européenne », sur Reporterre, le quotidien de l'écologie,
  3. « La Bulgarie, premier Etat membre de l’UE à être condamné pour sa mauvaise qualité de l’air », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. « La Bulgarie, pays le plus pauvre et le plus pollué d'Europe », sur Sciences et Avenir (consulté le )
  5. Nicolas Enault, « CARTES. Cinq planisphères pour comprendre pourquoi l'humanité vit au-delà des capacités de la Terre », francetvinfo.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. Frédéric Mouchon, « Jour du dépassement : quelles solutions pour la planète ? », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).