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Ltrlg 18 décembre 2013 à 19:19 (CET)Répondre

Constantin Pacea ( né le 9 mars 1957 ), à Bucarest, en Roumanie, est un peintre issue d'une famille d'artiste, ayant pour père Ion Pacea, fameux peintre roumain . Il quitte la Roumanie, en 1983 , et s'en va vivre une période en Allemagne, puis en Suède; ce n'est qu'en 1985 qu'il s'établit à Paris . Depuis 1992 il vit et travaille entre Paris , Bucarest et Altea .

Biographie : modifier


Constantin Pacea est né le 9 mars 1957, à Bucarest. C’est le deuxième enfant d’un couple d’artistes peintres, après sa soeur aînée Nana. Le père, l’artiste peintre Ion Pacea, est né au nord de la Grèce, dans une famille de commerçants macédoniens ; la mère Lucrezia, artiste-peintre également, a un père macédonien et une mère, Lucia Balamotti, d’origine italienne. Lucrezia, parlant l’italien, Constantin entend et apprend cette langue dès son plus jeune âge. L’enfance de Dinu est heureuse, surtout grâce aux grandsparents maternels, Lucia et Vasile Hagi (Neta et Neto pour leurs petits-enfants), qui lui assurent un microclimat de bonheur et de protection.

Entre 1972 et 1976 il suit les cours du Lycée Nicolas Tonitza . En dehors des cours du lycée, Dinu peint régulièrement dans l’atelier de son père, surtout des natures mortes, sortant parfois à l’extérieur peindre en plein air. Il étudie à partir des grands maîtres, il fait des copies au crayon et à l’huile d’après El Greco, Vermeer, Degas, Velasquez, Titien, Giotto, Fra Angelico, la sculpture antique égyptienne et grecque, la peinture étrusque, et d’après des peintres modernes, habitude qu’il gardera toute sa vie . Il termine le lycée en 1976 et se marie avec Florica Minea. A partir de 1977 il suit les cours de la section d’art monumental de l’Institut des Beaux-Arts Nicolae Grigorescu de Bucarest, sur le conseil de son père, afin d’apprendre diverses techniques artistiques. Les études d’anatomie de la première année de faculté donnent lieu à de nombreux tableaux intitulés «Anatomies, Ossements», représentés en plein air, dans un espace fermé, ou sur une table. En 1981 en collaboration avec Florica, il exécute un tableau pour le diplôme de licence, une peinture à l’huile sur une toile de 3 mètres sur 6, intitulée „l’Homme et l’Univers”, qui a été installée par la suite au Musée d’Archéologie de Constanta ( Roumanie ).

En 1983 Constantin est invité par la Galerie Raphael à Francfort et part en Allemagne en compagnie de son épouse. Ils habitent à Dusseldorf, Koln et Aachen, où il fera une série d'expositions. A cette époque, le jeune couple rencontre Peer Mattson, collectionneur important de peinture contemporaine qui leur offre une bourse d’études. Ils passent l’été sur le vaste domaine de la Fondation Mattson à Varnanas (Suède) . En 1985 le jeune couple s'installe à Paris . Constantin fait des aller-retour Paris-Bucarest, après la chute du communisme fin 1989, pour travailler dans l’atelier de son père à Bucarest. Le couple entreprend leur premier voyage en Espagne, s’arrêtant à Madrid, Barcelone, Ibiza et font la découverte d'Altea, un vieux village méditerranéen.

Ion Pacea décède en aout 1999 de manière brutale. Il part pour Bucarest, en catastrophe. Impressionné par le tragique événement, il peint de mémoire le portrait de son père : «13 août 1999 – Altea. En dehors de ce qui m’arrive maintenant (le vide laissé par la mort de Papi), ma vie a été un enchaînement d’événement heureux. Je ne désire rien de spécial, juste que la vie continue comme avant» (Constantin Pacea - notes cahier bleu, 1997-1999).

À Altea il sort beaucoup peindre la nature en plein air et «La Isleta» , image qui fait partie de sa vie quotidienne et qui le préoccupe jusqu’à l’obsession pendant des années, en tant que symbole . A partir de 2009 il entame un nouveau thème avec «Jardins» et «Patios de Séville» , ainsi que « Visum » .


« La peinture pour moi, c’est avoir une autre idée du monde et de la nature. C’est utiliser ce monde non pas comme une ressource mais comme un support d’interrogation. La recherche décorative et la vérité de la nature, deux choses distinctes. Ce qui m’intéresse c’est la vérité de la nature, c’est peindre comme elle. Malgré une apparence professionnelle, je ne programme et je ne maîtrise rien. Dans mes peintures, au départ, je n'ai pas de plan rigoureusement établi, je n’interviens pas, j’attends de voir le déroulement des événements et au moment opportun, j’interviens lorsque les choses s’imposent naturellement. Je ne calcule rien, je développe, je laisse naître les choses d'elles-mêmes. Pendant tout ce processus, l’intuition joue un rôle important. L’exécution d’un tableau c’est le déroulement dans le temps d’un fait pictural où l’incertitude joue un rôle important en faisant ainsi augmenter l’émotion. Dans ce processus, l’accident, l’imprévu, le hasard jouent un rôle capital, et c’est une erreur de vouloir reproduire cela. On ne peut pas copier un accident. Le hasard est une chose naturelle ». Constantin Pacea

Quelques Expositions : modifier


1981 – Exposition personnelle au actuel Musée National du Paysan Roumain. Il participe avec deux œuvres à l’exposition internationale de dessins Lis81, organisée à la Galerie Nationale d’art de Lisbonne. Il envoie trois dessins pour l’exposition internationale d’art graphique "Arteder 82" organisée au Musée d’art moderne de Bilbao, à la deuxième Triennale de dessin de Nüremberg (Allemagne) et au Musée cantonal des Beaux-Arts de Lausanne (Suisse).

1983 – Il participe avec un dessin à la quatrième compétition de dessin de Barcelone (Espagne).

1984 –Série d’expositions, en Suède dans les galeries Roda Traden et Thomas Wallner de Malmö et Angel à Lund. Expose avec Florica Pacea à la Galerie Raphaël de Francfort et à la Galerie Rautenberg d’Aix-la-Chapelle.

1986 – Importante exposition personnelle à la Galerie 44 de la ville de Kaarst-Düsseldorf qui rassemble des œuvres des années 1980-1986, et l’année suivante, la même galerie le met à l’honneur à la Foire internationale d’art contemporain (Fiac) de Chicago (États-Unis).

1987 – «Le Livre dans tous ses états», Bibliothèque Louis Aragon, Choisy-le-Roi, «Livres d’Artiste», Galerie Caroline Corre, Paris. Avec son épouse Florica Pacea, il met en place une exposition à la Galerie Janine Lorcet à Paris, intitulée « Energies contemplatives ». «Figuration Critique», au Grand-Palais à Paris. Expose avec Florica, à la Galerie Gijzenrooi de Geldrop(Pays-Bas).

1988 – «Livres d’Artistes», Maison du livre, de l’image et du son, Villeurbanne. Il participe à l’exposition «Signes, schémas, images», galerie Acropolis, Nice.

1989 – «Première Biennale du livre d’artiste», Uzerche, «Magicien de ma Terre», Galerie Caroline Corre, Paris, «Délire de Livres», Centre Culturel de Boulogne-Billancourt.

1990 –Exposition de groupe«Le Livre dans tous ses états» à la Galerie Caroline Corre (Paris) et à la Galerie Huguette Bultel (Strasbourg).

1991 – Il participe au Salon des Arts Graphiques (S.A.G.A.) au Grand- Palais (Paris).

1992 – Il expose avec le sculpteur Jan Van Depol à la Galerie Gijzenrooi de Geldrop (Pays-Bas).

1993 – Exposition de groupe à la Galerie Riol de Madrid.

1994 – Les Galeries Ionel Petrov présentent «un one-man-show» Constantin Pacea, à la Foire d’art international «Lineart» de Gand (Belgique).

1998 – Il est invité à présenter une exposition personnelle à la Fondation Eberhard Scholtter à Altea (Espagne).

2006 – La Fondation Schlotter d’Altea l’invite pour la deuxième fois à une exposition personnelle.

2008 – la Galerie Nordenhake à Stockholm, Suède, l’intègre dans l’exposition de groupe «Agents».

2012 – En collaboration avec deux autres artistes, il organise une exposition intitulée «Jardins Intérieurs», à la Galerie Maket à Paris.

2014 – Exposition «Constantin Pacea - Une Rétrospective», au Musée National du Paysan Roumain .

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Chris a liege (discuter) 14 mars 2015 à 01:17 (CET)Répondre