Bienvenue sur Wikipédia, Barisain !

N'hésite pas à consulter les premières indications pour modifier et rédiger des pages dans Wikipédia.
Tu peux également consulter la foire aux questions (FAQ), la syntaxe de Wikipédia et faire tes essais dans le bac à sable. Tous ces aspects sont présentés dans un guide pour débuter sur Wikipédia.

Pour compléter la présentation, je te conseille un petit tour par les recommandations à suivre (règles de neutralité, d'admissibilité des articles, copyright...) et les pages projets où il y a sans doute un sujet qui t'intéressera.

Pour signer tes messages (uniquement sur les pages de discussion), tu peux taper ~~~ ; avec un quatrième tilde, en plus de ta « signature », seront affichées la date et l'heure (~~~~). Il ne faut pas signer les articles encyclopédiques. Il est possible de retrouver la liste des auteurs en visitant leur historique.

Nous utilisons des sigles parfois mystérieux : tu pourras trouver leur explication sur la page jargon.

Si tu le désires, tu peux aussi nous dire d' tu viens et tes centres d'intérêt. Tu peux pour cela modifier ta page personnelle. Si tu viens d'une autre Wikipédia, n'oublie pas de mettre les liens vers tes autres pages perso. Tu peux également venir te présenter sur le journal des nouveaux arrivants.

Pour faciliter la communication interlinguistique entre utilisateurs, tu peux indiquer les langues que tu pratiques — et à quel niveau — en incluant dans ta page personnelle un des modèles que tu trouveras sur Wikipédia:Babel.

Et si tu as des questions à poser, n'hésite surtout pas à me contacter, à les poser dans le bistro local, aux utilisateurs prêt à aider, ou à venir discuter sur IRC.

Bonne continuation parmi nous !

R 14 novembre 2005 à 11:02 (CET)Répondre

Monrose modifier

Visiblement, cet article est extrait verbatim d'un ouvrage du XIXe. Pourrais-tu préciser duquel ? D'autre part, je trouve qu'il n'est franchement pas adapté à Wikipédia sous cette forme. Je lance une discussion à ce sujet sur le Bistro. R 14 novembre 2005 à 11:02 (CET)Répondre


MONROSE ( Claude, Louis, Séraphin BARISAIN dit ), acteur comique, né à Besançon, le 5 Décembre 1783, s’attacha d’abord au Théâtre des jeunes Artistes, parcourut ensuite les départements et débuta au Théâtre Français le 11 mai 1815. C’était l’époque des 100 jours. Quoique les évènements politiques dussent alors jeter du trouble dans les esprits et qu’on semblât devoir ne s’occuper que médiocrement de l’art théâtral, le talent que le nouvel acteur déploya dans les rôles de valets ne laissa pas de faire sensation. Le public ou du moins cette partie du public que rien n’empêche de fréquenter les spectacles, épousa chaudement la cause de Monrose contre deux acteurs qui, étant depuis longtemps en possession de l’emploi des comiques, voulaient, disait-on, en conserver la propriété exclusive. Cette circonstance fut très favorable aux intérêts du débutant qu’on supposait victime d’une critique de coulisses. L’usage voulait qu’avant d’être reçu membre de la Société, il fît comme simple pensionnaire, un assez long surnumérariat. Mais cédant aux exigences du parterre, les comédiens dérogèrent à la coutume et Monrose fut admis parmi eux, en qualité de Sociétaire pour l’Année 1816. Cette faveur anticipée n’eut pas néanmoins son effet. A la seconde Restauration, les gentilshommes de la Chambre, reprenant leurs fonctions, refusèrent de reconnaître la validité d’une réception prononcée durant leur absence. Ils assujettirent donc Monrose à faire de nouveaux débuts et ce fut seulement le 1er Avril 1817 que le titre de sociétaire lui fut définitivement accordé. Quel que fût le talent des deux acteurs comiques qui se prévalaient de leur ancienneté pour ne lui abandonner que les rôles ingrats, il s’y montra avec tant d’avantage et le public continua de l’applaudir avec tant de chaleur, que ses anciens finirent par rabattre de leurs prétentions exclusives. Ils se prêtèrent à un arrangement d’après lequel Monrose fut libre de jouer à son tour tous les rôles où il avait débuté avec le plus de succès, savoir les valets fourbes et fripons tels que le Crispin du Légataire Universel, celui des Folies Amoureuses, le Scapin des Fourberies, le Labranche du Crispin Rival, le Cliton du Menteur, le Sganarelle du Festin de Pierre, le Figaro du Barbier de Séville et autres personnages comiques dont le nombre s’accrut en peu de temps par l’empressement que mirent les auteurs à employer le talent d’un acteur si généralement aimé. Le talent ne se démentit pas une seule fois dans l’espace de 28 ans environ que Monrose demeurât au théâtre ; et même quand sa santé chancelante paraissait devoir lui interdire toute espèce de fatigue, il recouvrait par intervalles assez de forces pour jouer avec une supériorité incontestable, les rôles les plus longs et les plus difficiles. Ce fut ainsi qu’à une de ses dernières rentrées, lorsqu’on avait sujet de craindre que sa mémoire ne l’abandonnât il remplit le rôle de Figaro dans la folle journée de manière à exciter les plus vifs applaudissements. Mais autant il montrait de gaieté sur la scène, autant il était triste dans son intérieur. Des vapeurs hypocondriaques compliquées d’obstructions mésentériques, bien qu’elles eussent été combattues avec quelque succès pendant près de 20 ans, par les bons soins de son ami le docteur LOUYER-VILLERMOZ, finirent par une incurable mélancolie. Ses facultés intellectuelles se dérangèrent et il mourut à Montmartre, dans une maison de santé du Docteur Blanche, le 20 Avril 1843. Monrose était petit de taille et maigre de complexion. Les traits de son visage auraient même passé pour disgracieux s’il n’avait pas su les animer par un jeu plein d’esprit et de verve. Quoiqu’il sût à force d’art jouer la naïveté et même la bonhomie, il était facile de sentir que ces 2 qualités n’étaient pas les attributs naturels de son talent. C’était par une intelligence vive et prompte, par une succession rapide d’intentions comiques, par une foule de traits saillants, incisifs et inattendus qu’il étonnait et charmait ses auditeurs. Au reste,connaissant le public et tous les moyens de s’en faire applaudir, il était au théâtre, leste, souple, adroit, audacieux, imperturbable ; aussi les vieux amateurs le comparaient’ils à AUGER, qui, de leur aveu pourant, avait moins de ressources dans l’esprit. MONROSE a laissé un fils de son nom, qui joue aussi la comédie et y rappelle souvent son père.

Avec un Z modifier

Et moi je te dis que c'est avec un Z ! J'ai rencontré sa signature dans des registres de paroisses, il signe Barizain. Donc je rectifie. Et pour te faire plaisir, je fais une redirection du S vers le Z, comme ça tout le monde est content. huster 21 novembre 2005 à 23:03 (CET)Répondre

En plus tu as complètement plagié un article du XIXe siècle. Lequel ? Cite au moins tes sources. Ce n'est pas très correct... Sans rectification de ta part, je réécrirai entièrement l'article. huster 21 novembre 2005 à 23:44 (CET)Répondre

Toujours un S modifier

Barisain c'est toujours ecrit avec un S. En tous cas dans les encyclopedies du XIX siécles, le livre ecrit par son fils, les archives de la comedie française et un acte de décés de 1723. Le Z vient d'une deformation anglaise que l'on trouve dans l'encyclopedie universalis. Biensur nous continuons à voir de nos jours toutes les versions; barisin, barizin, barisien, parisien, barisani en italien ... Evidement le S et le Z se ressemblent beaucoup dans le graphisme des lettres au XIX siécle. L'article est un résumé d'une encyclo du XIX fait par je ne sais pas qui mais il en existe d'autre beaucoup plus complet. Ce "plagiat" est carrement un copier-coller. Mais tant mieux puisqu 'il provoque des reactions.

Alors pouquoi vouloir angliciser le nom d'un acteur français? Pourquoi ne pas garder un style XIX à un article de wikipedia pour lui garder une âme. Il peut etre enrichi sans etre aseptisé?

Je crois que tu n'as pas compris : Wikipédia n'est pas fait pour recopier des articles du XIXe siècle mais pour donner des informations mises à jour. Donc si tu fais un travail personnel de réécriture, pas de problème. Si tu ne le fais pas, je le ferai moi-même.
Par ailleurs, mes recherches m'ont amené à consulter des documents de première main (et non des articles réécrits d'après d'autres articles) et je te confirme que Jean-François Barizain (le père de Claude-Louis-Séraphin) signe toujours avec un Z. Fais-en ce que tu veux... huster 23 novembre 2005 à 02:18 (CET)Répondre