Discussion Wikipédia:Wikiconcours/octobre 2016/Équipes/Équipe 34

Articles modifier

Article Contributeurs Avancement initial Importance Taille début Taille 1 mois Taille fin Notes
Dolmuş (d · h · j · ) - 0
Métro d'Istanbul (d · h · j · ) BD 16 699
Navigation maritime dans le Bosphore (d · h · j · ) - 0
Vapur (d · h · j · ) - 0
Projet du troisième aéroport d'Istanbul (d · h · j · ) Ébauche 2 301


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LES TRANSPORTS A ISTANBUL
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La ville.
Une étendue interminable et chaotique d'immeubles peuplés d'habitants désespérés qui essayent souvent d'aller voir ailleurs s'ils y sont. Avec plus ou moins de retard.
 
On décida qu'utiliser des chevaux pour se rendre d'un point A à un point B devait rester une possibilié au XXe siècle mais uniquement aux Îles des Princes.
 
La première réalisation d'envergure en matière de transports en communs à Constantinople répond plus à une question de hauteur que de distance.

Il y a bien longtemps, le Grand Monstre en spaghetti volant créa le Monde.

Il dessina de son tentacule pastesque les continents, il remplit de sa gracieuse sauce les océans et ceux qui les peuplent.

Le Monde était beau. Le Monde était parfait, il se suffisant à lui-même et devînt le paradis de divers êtres vivants tels que les cloportes, les geais, les Deinococcus radiodurans et les humains.

Ces derniers, probablement mus par une forme étrange de masochisme, eurent l'idée brillante de s'installer dans une zone montagneuse et sismique traversée par un bras de mer particulièrement dangereux : le Bosphore.

Ils y bâtirent une ville. Quel nom lui donner ?

Les premiers décidèrent de la nommer pour louer le fils du dieu de la mer et d'une belle fille à cornes ; ce qui leur convînt tout à fait.

Plus tard elle fût nommée d'après un empereur qui eût la brillante idée de faire de sa conquête la deuxième capitale d'un Empire dans lequel jusque là tout allait bien.

Plus tard elle fût la capitale d'un empire multiséculaire qui s'étendait sur trois continents mais qui s'écroula quand les gens décidèrent qu'ils n'avaient pas à payer plus d'impôts parce que leur Monstre spaghetti volant était différent de celui du sultan.

Finalement on décida que ce n'était décidément pas là qu'il fallait installer la capitale d'un état moderne et rationnel.

Mais Istanbul reste Istanbul.

Dans cette ville vivent dans une coexistence, au pire relative, des gens très différents qui apportent au Monde une cuisine à la lipidité inégalée, une calligraphie superbe et un sens de l'urbanisme qui relève plutôt, anachroniquement, de dada. Les journées y sont tranquilles, les nuits y sont silencieuses. Les étudiantes sirotent un thé au bord de l'eau, les goélands volent entre les drapeaux au croissant et volent les croissants, quand ils en trouvent ; ça alimente les calembours de mauvaise qualité destinés à combler des pages de discussion sans intérêt d'une participation, vouée à l'échec, à un concours de masochisme organisé pour enrichir un projet d'encyclopédie dont tout le monde se fout.

Bref un endroit singulier qui continue d'exister malgré un problème jusqu'à présent irrésolu : se rendre d'un point A à un point B sans être en retard.

Les Stanbouliotes, de plus en plus nombreux, ont l'habitude de se rendre d'un point A à un point B, en agrémentant le trajet, quand c'est possible, d'un point C où l'on peut trouver à boire et à manger. Pour ce faire, les ingénieurs ottomans, turc et même d'autres pays doivent faire face aux Trois dimensions et aux Quatre éléments.

Istanbul, astucieusement située au beau milieu de la mer et farcie de collines et de montagnes, est une ville qui fait intervenir la 3e dimension pour se rendre d'un point A à un point B. Ainsi, la magie de la géomorphologie fait que plus on s'éloigne de la mer, plus ça monte (une information intéressante à savoir pour ne pas se perdre : à force de descendre on atteint la mer). Des altitudes non négligeables sont atteintes entre les divers points d'intérêts que sont, par exemple, le café du consulat de France à Istanbul et l'Iskele de Kabataş. On décida alors de créer le funiculaire de Kabataş à Taksim, qui épargne aux pieds une douloureuse montée et offre aux âmes ennuyées un voyage plaisant dans un métro tordu le long d'un obscur boyau en béton.

Le Stambouliote mène sa la lutte contre les éléments avec un fatalisme légendaire. La terre, l'air, le feu et l'eau complotent pour son déplacement d'un point A à un point B via un point C, qui peut être une amie d'amie peu regardante sur les absurdes prétentions normatives d'un discours localement dominant sur l'existence du Grand Monstre en spaghetti volant, qui du reste ne se soucie pas de ces choses-là.

Pour aller au point B en passant par le point C, on livre bataille contre la terre, l'air, l'eau et le feu.

Bref : beaucoup de liens rouges pour un projet d'encyclopédie universelle.

Les 5 articles de la mort modifier

État des lieux modifier

Pas fini.

  1. Transport maritime
    1. Bosphore
    2. Corne d'Or
    3. Canal d'Istanbul
  1. Transport routier (principaux axes routiers, ponts)
    1. Otoyol 1
    2. Otoyol 2
    3. Otoyol 3
  1. Transport ferroviaire
    1. Tünel
    2. Tramway d'Istanbul
    3. Métro d'Istanbul
    4. Métro léger d'Istanbul
    5. Marmaray
    6. Gares d'Istanbul
      1. Gare de Haydarpaşa
      2. Gare de Sirkeci
  2. Transports collectifs (autobus, dolmuş, métro/tram, taxis)
  3. Aéroports
    1. Aéroport international Atatürk
    2. Aéroport international Sabiha Gökçen
    3. Projet du troisième aéroport d'Istanbul

Articles secondaires modifier

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