Discussion:Virus de la grippe A (H5N1)

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Il y a parfois des informations en double sur la page grippe aviaire. Comment faire pour ne pas avoir des informations en double ? La discussion est ouverte. Je vais essayer de maintenir les précautions par pays dans la page grippe avaire Mirmillon 14 octobre 2005 à 18:08 (CEST)Répondre

Concernant ce paragraphe :

  • Il faut aujourd'hui espérer que d’autres classes d’inhibiteurs réservés à l’homme n’ont pas été aussi utilisés pour le traitement préventif (inefficace et en fait dangereux) des volailles en Chine, faut de quoi les traitements humains devront s'appuyer sur des multithérapies particulièrement coûteuses et difficiles à doser, en attendant le développement d’un vaccin efficace qui ne pourra être mis au point qu’après l’émergence épidémique intra-humaine ! Il me semble inutile car les volailles sont abattues Site de l'Organisation Mondiale de la Santé AnimaleMirmillon 17 octobre 2005 à 21:33 (CEST)Répondre
L'abattage des volailles infectées ne résoud pas le problème du fait que les virus infectants sont devenus résistants et ont continué à se propager auprès l'espèces voisines bien avant que l'abattage ne soit effectué (car le résistance implique une incubation plus longue, et une contagiosité accrue. Aussi le virus résistant peut s'être alors déjà propagé dans les espèces naturelles ou chez les humains, évidemment non concernés par les mesures d'abattage systématique des élevages. Verdy p 23 octobre 2005 à 19:36 (CEST)Répondre
Supprimer la suppression d'un porteur obligatoire ou non de germe (virus ou bactérie) est un moyen éprouvé de lutter contre la dissémination d'une infection. Chez les hommes, on pratique l'isolement ou la quarantaine. Et sauf erreur de ma part, le H5N1 est un virus ne survivant pas en dehors de son hôte quelques heures ou quelques minutes (à la différence du virus de la variole ou du papillomavirus). Mais prétendre que l'on administre des inhibiteurs à la volaille c'est comme si on donnait des antibiotiques aux rats victimes de la peste Mirmillon 23 octobre 2005 à 20:42 (CEST)Répondre
commentaire/ajout : la durée de vie du virus en extérieur, dans l'eau (surtout froide et basique) dans la fiente, dans le fumier de volaille, dans un sol gelé semble plus importante qu'on ne l'avait cru, certains évoquent 105 jours, voir 6 mois ou plus dans le sol gelé. (voir page grippe aviaire http://fr.wikipedia.org/wiki/Grippe_aviaire#Dur.C3.A9e_de_vie_du_virus_: )Le virus ne tiendrait que quelques minutes sur les mains, mais plusieurs heures à dizaines d'heures sur une surface lisse non exposée au soleil (je ne me suis peut-être pas correctement inséré dans la discussion, si c'est le cas, mille excuse je suis wikidébutant--Lamiot 24 février 2006 à 22:37 (CET)Répondre
Le seul problème est qu'on n'abat que les volailles d'élevage, mais il est clair que le porteur du virus est la population d'oiseaux sauvages, notamment migrateurs. L'abattage des volailles reste une mesurre temporaire, mais pas efficace sur le long terme, et même à court terme, comme en témoignent les nombreux foyers d'émergence qui surviennent maintenant un peu partout en Chine (presque chaque jour) et maintenant aussi en Asie Centrale (autour du Kazakhstan et de la Mongolie et tout au long des frontières Sud de la Russie, comme si cette frontère évitait la contamination des pays immédiatement voisins de cette frontière) : ces pays d'Asie Centrale semblent refaire le coup du nuage de Tchernobyl...
Seulement le danger dans les élevage (et les marchés de volaille) est la concentration et le transport des oiseaux d'une région à l'ordre et leur dissémination au contact direct de la population. Quand on voit comment se vendent et s'abattent les volailles vivantes directement sur les marchés en Chine, et des mythes de mesures de protection appliquées sur les marchés (lavage du cul des volailles directement sur le marché !) on ne doit guère s'étonner de la dissémination en Chine au travers du transport des volailles vivantes. Le problème là-bas est le manque d'installations frigorifiques et d'abattoirs. Et commelesChinoisont l'habitude de transporter leurs volailles vivantes vers les marchés, les mesures d'abattage ne sont guère efficaces : nombre de volailles ne sont pas traçables et échappent à ces mesures dans des panniers à vélo vers les marchés ! Les volailles ne sont pas abattues avant leur arrivée, et les invendus retournent dans les élevages après avoir été exposés sur les marchés à très haut risque.
Il reste aussi que l'abattage ne permet pas d'éviter la contamination des fermes d'élevage (et c'est bien pour ça qu'on recommande maintenant vers l'enfermement des élevages pour éviter la contamination par les espèces sauvages qui viendraient profiter de la nourriture offerte aux oiseaux d'élevage. Verdy p 15 novembre 2005 à 08:48 (CET)Répondre

Paragraphe sans intérêt (valable pour n'importe quelle infection)

  • Le traitement pourra aussi comprendre une cure antibiotique contre les streptocoques pathogènes opportunistes (par exemple si la toux est purulente ou sanguine) chez les personnes ayant subi un traumatisme cranien ou une chirurgie faciale ou maxilofaciale récente, et chez les patients plus agés souffrant d’ostéoporose. Mirmillon 17 octobre 2005 à 21:56 (CEST)Répondre
  • L’apport de compléments vitaminiques sera recommandé pour soutenir la réaction immunitaire en cas d’infection opportuniste, ainsi qu’éventuellement un apport minéral complémentaire nécessaire à la régénération sanguine et plasmatique (par exemple en cas de difficultés respiratoires ou de saignements). L’infection pouvant perturber voire stopper le fonctionnement intestinal et donc affaiblir les capacités musculaires et respiratoires du patient, des apports en nutriments glucosés pourront être apportés sous surveillance médicale (en milieu hospitalier ou infirmier à domicile) si le traitement devait se prolonger au delà d’une semaine tant que les fonctions intestinales ne peuvent être rétablies. Pas digne de Wikipédia 17 octobre 2005 à 21:56 (CEST)Trop généraliste.
À discuter, on parle ici de traitement, et le soutien des réponses immunitaires sontre les coinfections est un élément important, essentiel même, dans le traitement d'infections contre lesquelles n'existe aucune autre forme de traitement. Le traitement effectif des coinfections permet alors de favoriser l'apparition et le développement d'une réponse auto-immune spontanée contre l'infection non traitée, et la surveillance de cette réponse permettrait des avancées importantes en terme thérapeuthique pour le traitement des autres personnes, notamment dans le développement de vaccins et de traitements spécifique contre la maladie.
C'est bien ce qui est fait par exemple pour le SIDA, où les populations connaissant des résistances notables sont très intéressantes pour la recherche de traitement contre le SIDA ; chez elles il est essentiel de traiter les coinfections et de faire des études cliniques permettant de mesurer l'impact des réponses auto-immunes, qui peuvent être d'ordre génétique ou environnementales, ou liées à des comportements sanitaires spécifiques de ces populations.
N'oublions pas que le corps humain est un laboratoire de recherche à lui tout seul, efficace et énomomiquement rentable par rapport à la recherche fondamentale, capable d'effectuer de très nombreuses expériences et de trouver lui-même un traitement adapté, à condition qu'on lui permette de le faire en ne monopolisant pas ses ressources dans la lutte contre d'autres affections et pour lesquelles il existe des traitements efficaces. Il en est de même l'étude des facteurs résistances observés chez les espèces naturelles, qui peuvent avoir développé des systèmes de défense qui pourraient être efficaces aussi dans le traitement des humains.
L'abattage systématique est une mesure de facilité immédiate pour les élevages mais elle ne règle pas tout. Son effet est seulement de ralentir considérablement la contagion en inversant les fréquences, mais cela ne stoppe pas le développement de la maladie qui trouve d'autres terrains.
Ce qui stoppe réellement une épidémie ou épizootie est non seulement l'élimination des populations infectées ou infectables, donc la limitation du terrain de développement de la contagion, mais aussi et surtout l'émergence des facteurs de résistance. La dangerosité d'une maladie est liée au rapport des fréquences ou de rapidité, entre l'émergence spontanée de facteurs de résistance des infectants, et l'émergence spontanée (auto-immune) de facteurs de résistance des population infectés. Si on inverse le rapport, on arrive à stopper complètement une épidémie.
L'abattage systématique reste seulement une solution temporaire, complètement inefficace à long terme si c'est la seule mesure prise, car il est impossible d'obtenir une efficacité à 100% d'une telle mesure.
Dans les autres maladies, ayant des traitements efficaces connus, il est moins essentiel (et souvent inutile voire dangereux) de traiter les coinfections, car le corps dispose, du fait du traitement efficace contre l'infection principale, de la capacité à lutter lui-même contre les autres coinfections opportunistes. Ce n'est pas le cas des infections sans traitement efficace connus (SIDA y compris), et pour lesquels le traitement consiste justement à traiter les coinfections.
Verdy p 23 octobre 2005 à 19:36 (CEST)Répondre
C'est certain qu'un organisme en bonne santé se défend mieux qu'un organisme déjà affaibli par des maladies. L'utilisation d'antibiotique en cas de surinfection bactérienne d'une maladie virale (grippe, sars etc..) reléve de la médecine de bon sens et s'applique tous le temps quelquesoit la maladie virale. Si par malheur, une pandémie survenait croyez moi que les personnes atteintes bénéficieraient d'assistance respiratoire et pas à domicile! Par contre pourquoi préciser l'ostéoporose ?. Mais l'utilisation d'antibiotique est loin de régler tous les problèmes même en cas d'infection bactérienne (voir la légionellose) et pardon pour les risques d'infections nosocomiales. Le reste me semble pas très médical (quid régénération plasmatique) et je ne parle pas du rétablissement des fonctions intestinales. A ce propos, je vous conseille vivement de vous faire vacciner contre la grippe Mirmillon 23 octobre 2005 à 20:42 (CEST)Répondre

Lien externe mort modifier

Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, un lien était indisponible. Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 31 janvier 2006 à 04:06 (CET)Répondre

pigeons citadins modifier

Le virus peut-il toucher les pigeons vivant dans les centres urbains européens?


Sur page grippe aviaire : Selon l’Afssa en 2002, un doute subsistait pour les columbiformes (pigeons), pour lesquels des rapports contradictoires font état soit de l’isolement de virus influenza (Stallknecht, 1998), soit au contraire d’une résistance complète à l’infection (Slemons et Easterday, 1972, cités par Stallknecht et Shane, 1988). (Il semble qu'il y ait eu dans le passé à Paris une mortalité importante de pigeons (80 % environ) qui pourrait être attribué à une influenza aviaire HP (hautement pathogène)
vu sur http://www.destinationsante.fr/article.cfm?contentID=14388 (©) : 22/02/2006 - D'après l'AFSSA, le risque sanitaire représenté dans les parcs publics par les cygnes, canards ou pigeons infectés par H5N1 est "nul voire négligeable".
Donc la version officiel pour l'instant c'est 'pas de risque', mais par précaution il ne faut pas les approcher.


Salut a vous,

Je pense que l'etat d'ebauche a completer peut etre enleve... L'article est maintenant bien complet...

Bonsoir...

possible... par contre je pencherais pour laisser la page État de l'épidémie de grippe aviaire dans le monde s'occuper de l'évolution de l'épidémie dans les différents pays et ne pas surcharger cette page vu que ca risque de continuer longtemp, juste laisser les grandes dates 'arrivée du virus en Europe', etc.
Ptitboss 2 mars 2006 à 19:03 (CET)Répondre

Je m'engage donc a enlever l'etat d'ebauche. Si quelqu'un est contre, il suffira de les remettre... --Baroquement Votre, 3 mars 2006 à 19:06 (CET)Répondre

Il y a des prises de positions un peu abusives dans cet article :

"Des mutations ont été détectées en 2005 et chez un patient turc en 2006, le rôle de ces mutations restent inconnues... selon l’OMS. Selon d'autres sources et d'autres chercheurs, l'une de l’américain Henri L. Niman, et l’autre italienne, [19] les séquences de mutation s’accélèrent et les risques ne sont pas d’une réelle mutation, mais plutôt d’une recombinaison du virus qui a déjà commencé avec ceux des cygnes H1N1 et H1N2, ils oeuvrent contre l'OMS qui séquestre les données. [20] L’OMS doit, selon eux, ouvrir la base de donnée des morts d’animaux ou humains du H5N1 et la publier et non pas la réserver à 15 laboratoires. Le but est d’étudier les souches et les séquences dans le détail, et ceci immédiatement afin de développer des stratégies et des vaccins efficaces pour éviter de jeter 8 millions de doses à la poubelle aux USA. [21] Toutefois cette volonté de communication, qui permettrait de détecter plus précisément et plus précocément les mutations ou recombinaisons, se heurte aux difficultés rencontrées par les chercheurs pour obtenir des subventions et crédits de recherche si les découvertes génétiques ne sont pas protégées par le secret industriel, et l’OMS soutient pour l’instant les pays qui souhaitent ne pas publier leurs résultats si la confidentialité ou la protection intellectuelle n’est pas garantie. L’OMS considère que la principale difficulté est l’obtention des crédits de recherche, et non leur protection qui reste négociable de gré à gré entre laboratoires" Je ne suis pas d'accord! En tant que virologue, j'ai accès aux séquences de virus A/H5N1 qui sont régulièrement publiées... Vous dites que les mutations s'accélèrent et qu'on craint une recombinaison, mais le phénomène des recombinaisons est permanent pour les virus grippaux. Ce n'est donc pas une crainte particulière pour ce virus! Que viennent faire des réflexions sur la politique de l'OMS, les problèmes de crédits de recherche etc? Si nous voulons que cette page soit une info exhaustive sur le sujet, retirons nos réflexions personnelles!!

--Anne GOFFARD 6 avril 2006 à 15:57 (CEST)Répondre

C'est encore moi. Il y a encore des prises de positions abusives dans le paragraphe "traitements".

Si le virus A/H5N1 est résistant aux inhibiteurs de la protéine M2, ce n'est pas parce que la Chine a traité ses volailles avec ces molécules! Très peu de virus grippaux sont sensibles à l'amantadine et il se trouve que le virus A/H5N1 ne l'est pas. Malheureusement, ce n'est pas pour des raisons de géopolitique mais pour des raisons probablement virales qu'on ne connait pas encore! Quant aux inhibiteurs de la neuraminidase, on connait leur faible efficacité dans la grippe et nous ne sommes pas surpris de voir que A/H5N1 soit résistant!!

Je propose encore une fois une modération de ce paragraphe. Mais qui désigne les modérateurs?? Y en a-t'il pour cette page??

--Anne GOFFARD 6 avril 2006 à 16:23 (CEST)Répondre

Au sujet du vaccin anti-H5N1, rien n'est fait! Faut-il faire 3 paragraphes alors que rien ne marche? On ne parle pas encore de vaccin "universel", pourquoi faire un paragraphe là-dessus. Pourquoi dire que "les états-unis" ont essayé de mettre au point un vaccin? En France et ailleurs de nombreuses équipes travaillent sur ce sujet. Ce sont des chercheurs pas des états!

--Anne GOFFARD 6 avril 2006 à 16:35 (CEST)Répondre

le principe de Wikipedia, c'est que tout le monde est modérateur. Si vous estimez (probablement avec raison) que l'article est un peu orienté, libre à vous de le corriger dans votre sens, à la seule condition que ces modif reposent sur des sources vérifiables. Idéalement ces références doivent être marquées entre les balises <ref> et </ref> pour qu'elles soinet auomatiquement numérotés, mais si vous êtes un peu hésitantes, ce n'est pas grave, d'autres le feront. Quant au chapitre vaccination anti H5N1, même s'il est embryonnaire ou peu efficace, il faut en parler parce que chez une question qui vient naturellement à l'esprit du lecteur de l'article, quite à dire que ce n'est pas au point. Quant à la confusion chercheurs-état, je suis entièrement d'accord dans le fond : il serait plus rigoureux de mettre "l'équipe de Tartempion à l'université de machin chose", mais si on connait pas cette précision, l'étiquette par nation n'est pas fausse et permet de sérier les choses.

Bien cordialement et bienvenu sur Wikipédia. Nguyenld 6 avril 2006 à 17:43 (CEST)Répondre


Recherche modifier

Bonjour,

Je recherche une image du cycle complet du virus dans un organisme, animal ou humain. Merci pour les liens que vous pourriez me fournir.

N. 10 mai 2006 à 09:30 (CET)

Mystère de l'équipe belge modifier

Le paragraphe "Recherche sur un vaccin antigrippal universel (M2)" est étonnant. Il soutient que le vaccin universel, réalisable facilement, ne sera pas vendu pour des raisons économiques mais ne donne aucune source (au moins le nom de l'équipe, sinon une publication). L'avidité des entreprises pharmaceutiques n'est certes pas à démontrer; l'accusation, grave et pleine d'implications est faite à la légère.

Trop orienté actu modifier

Bonjour,

Ce long article est trop orienté actualité. Et celle-ci étant pauvre depuis le début de l'année, l'article prend un sacré coup de vieux !

Le mieux serait sans doute de créer un/des sous-article/s pour traiter des avancés, des mesures de bio-sécurité et du 401ème cas mortel. Le dernier paragraphe pourrait être purement et simplement supprimé.

Cordialement, crunch. --86.220.41.188 13 novembre 2007 à 00:00 (CET)Répondre

Il est trop orienté ancienne actualité et aussi trop orienté pandémie. Je croyais que l'artcle parlais du virus H5N1, mais je trouve qu'il reviens un peu trop sur le sujet de la pandémie. Faire d'une hypothèse, le thème centrale de l'article, je trouve cela maladroit. --62.23.155.248 (d) 13 novembre 2009 à 13:32 (CET)Répondre

Je suis tout à fait d'accord avec vos remarques.
Sur Wikipédia, on dit N'hésitez pas !
Si ce n'est pas corrigé, c'est juste que personne n'a pris le temps de le faire. Si vous voulez un coup de main, laissez-moi un message ! Plyd /!\

Fusion technique H5N1 faiblement pathogène et Influenzavirus A sous-type H5N1 modifier

Demande de fusion suite à décision PàS (Voir la décision). Ceci n'est pas une demande de vote pour ou contre la fusion (la décision a déjà été prise lors de la PàS) mais uniquement une demande pour qu'un tiers effectue la fusion. --— Jules Discuter 27 mai 2016 à 20:25 (CEST)Répondre

  Fait. Jerome66 (discuter) 27 juillet 2016 à 07:52 (CEST)Répondre
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