Discussion:Rôle de l'alimentation dans la prévention des cancers

Dernier commentaire : il y a 4 mois par Jean-Christophe BENOIST dans le sujet RI, liste d'aliments dont le vin rouge ?
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Il faudrait modifier le titre de Richard Béliveau. Il n'est pas médecin et ne peut prendre le titre de Dr, sans qu'il soit suivi de "microbiologiste" après. Le titre de Dr est un titre réservé. Cf Le code des professions du Qc.

Caroline Gauthier

Voilà qui est fait (notez que ceci ne concernait pas le corps du texte mais uniquement l'énoncé des vidéos citées comme liens externes). Merci pour la remarque. EmDee (discuter) 30 octobre 2016 à 10:35 (CET)Répondre

concertation sur plan/contenu

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Bonjour   Emdee :, vous avez commencé un travail conséquent sur cet article, il y a effectivement de quoi dire sur les rôles de l'alimentation dans la prévention et le traitement des cancers mais le contenu actuel de l'article me laisse dubitatif. Peut on échanger pour voir quoi en faire?

  • A première vue le nom de l'article en lui même me rebute (globalement l'expression anticancer n'est pas un vocable très académique et choisir ce titre risque de faire tendre l'article vers une liste à la Prévert, sans compter que le terme est assez facilement propagé dans des articles type magasines feminin, articles de type clickbait sur reseaux sociaux etc. peut être quelque chose comme Effets de l'alimentation sur le cancer ou rôle de la nutrition dans le cancer serait une base plus solide?
  • le contenu du RI me pose aussi soucis, c'ets à la fois lié au choix du titre mais en soit il ne pose pas vraiment de definition non plus ni de remise en perspective (pour ébaucher un peu la facon de trier le bon grain de l'ivraie).
  • Le plan en lui même également me pose soucis, peut être qu'en partant sur des sources comme les travaux du réseaux NACRE (http://www6.inra.fr/nacre/Accueil/Le-reseau-NACRe) ou des choses très vulgarisés comme http://www.huffingtonpost.fr/2014/02/03/aliments-anti-cancer-les-croyances-ont-la-vie-dure/ on pourrait avoir un début?

Finwe sl (discuter) 30 novembre 2016 à 11:42 (CET)Répondre

Bonjour Finwe ! Je comprends vos réticences sur le titre de l'article car je n'en suis moi-même pas trop satisfait. Je crois que la solution se cache dans votre première phrase : que diriez-vous de "Rôle de l'alimentation dans la prévention et le traitement des cancers" ?
Et, en effet, le paragraphe d'intro est faible : 99% de mon temps a été mis dans le développement des autres paragraphes et j'ai probablement négligé l'intro. J'attends votre proposition pour améliorer l'intro.
Communiquons par mail avant de modifier, cela sera plus efficace ! Merci d'avance !
EmDee (discuter) 30 novembre 2016 à 23:06 (CET)Répondre
J'ai rebaptisé l'article en "Rôle de l'alimentation dans la prévention des cancers", remanié l'intro, ajouté un lien vers le réseau NACRe et déplacé le paragraphe sur les "vulgarisateurs" à la fin de l'article. EmDee (discuter) 19 décembre 2016 à 20:32 (CET)Répondre

Healthy Farming Association

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  EmDee : Je trouve que ce paragraphe commence à être hors-sujet, ou alors il faudrait renommer cette page Rôle_de_l'alimentation_dans_la_prévention_des_maladies. Le page devrait s'axer sur son sujet (la prévention des cancers), or cette association n'est pas axée spécifiquement sur ce thème. Mais je ne suis pas contre étendre cet article sur la prévention des maladies en général ( je ne crois pas que cet article existe) --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 25 mai 2017 à 11:21 (CEST)Répondre

Idem pour bleu blanc coeur d'ailleurs. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 25 mai 2017 à 11:24 (CEST)Répondre
  Jean-Christophe BENOIST : Le sujet unique de cet article concerne le cancer, mais il est évident que les choses sont liées en matière de santé et que l'excès d'oméga-6 fait le lit non seulement du cancer mais également de l'obésité (comme mentionné depuis très longtemps dans l'article). L'utilisation des oméga-3 naturels dans l'alimentation animale permet d'améliorer la santé humaine en général, mais aussi et surtout le cancer ! Cette double initiative est donc bien pour moi en relation directe avec le sujet "Rôle de l'alimentation dans la prévention des cancers", même si elle a des effets bénéfiques plus larges (et tant mieux). Bien sûr, on est sur une relation « many to many » : un facteur nutritionnel (oméga-3, anti-oxydants, fibres...) agit sur une ou plusieurs maladies et chaque maladie est multifactorielle et influencée par un ou plusieurs facteurs nutritionnels. Ce n'est donc pas en soi une raison suffisante pour changer le sujet de l'article, qui risquerait d'ailleurs de devenir monstrueux et ingérable. Mais on peut bien entendu sans problème envisager de réduire la taille des paragraphes qui vous incommodent, si vous l'estimez nécessaire. Ou alors, pourquoi pas, consacrer une page à l'initiative Blanc-Bleu-Coeur (mais j'aurais peur qu'on m'accuse de faire de la promotion). Merci en tous cas de votre feedback. EmDee (discuter) 25 mai 2017 à 12:40 (CEST)Répondre
Il y a énormément de sources, d'associations etc.. sur "nutrition et santé" en général, et je pense que c'est la porte ouverte à l'invasion. Chaque ajout pourra se défendre en disant "il y a un lien", "many to many", ce qui est vrai d'ailleurs, mais c'est trop large alors qu'il existe des sources ou association plus spécifiquement axée sur le cancer (comme de Rosnay). Je pense que l'idéal est de créer, s'il n'existe déjà (il devrait exister !), l'article "nutrition et santé" et d'y transférer ces deux associations. Je vais voir s'il n'existe pas un article proche. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 25 mai 2017 à 13:50 (CEST)Répondre
  Jean-Christophe BENOIST : Voilà, j'ai encore dégraissé cette section. Je pense qu'elle est maintenant d'une taille raisonnable et n'entre pas trop dans le détail. EmDee (discuter) 25 mai 2017 à 21:05 (CEST)Répondre

La consommation de radis facteur de risque de certains cancers : allégation douteuse ?

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Bonjour,

on lit dans cet article :

On voit également que certains aliments ont un effet contraire et stimulent la croissance des cellules cancéreuses par rapport aux échantillons témoins mais cet effet varie en fonction du type de cancer : le radis, par exemple, stimule le cancer du cerveau, du côlon et du poumon, mais il inhibe le cancer de la prostate et le cancer du sein.

Je n'ai jamais rien lu de tel et des recherches sommaires effectuées sur des bases de données disposant du plus haut degré d'autorité scientifique ou médicale, ne donnent rien de tel non plus. De façon plus large, les légumes crucifères tels que le radis tendent à contenir des glucosinolates, lesquels peuvent être convertis en substances biologiquement actives, notamment les isothiocyanates, qui à leur tour sont jugées parfois prometteuses, parfois "non-concluantes à ce stade", dans la prévention des cancers ou dans l'apoptose forcée de lignées cellulaires tumorales.

À la rigueur, les antioxydants et par suite les aliments qui en contiennent, peuvent interférer avec la chimiothérapie. Maintenant, là non plus il n'y aurait rien de spécifique aux radis et le problème posé ne le serait pas au stade préventif mais curatif.

En conséquence, il me semble nécessaire de fonder l'allégation citée sur une triangulation de sources.

Cordialement,

Adrijani 2A01:CB04:BC:3200:4977:38D9:A2A2:A9FC (discuter) 5 février 2024 à 21:47 (CET)Répondre

Le lait, accélérateur de cancers

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Bonjour,

Je remarque un très grave amalgame à propos du lait. S'il est vrai qu'il contient quelques oméga-3, le lait (de vache notamment) est désormais reconnu comme cancérigène, notamment concernant les cancers hormonaux (prostate et sein).

Je propose donc non seulement qu'on le retire des aliments conseillés, mais également qu'on le déconseille à juste titre.

Voici une synthèse des informations que j'ai pu trouver à ce sujet (extraits de mon article https://theonlymaxblog.wordpress.com/2023/06/29/lait-un-scandale-sanitaire/) :

LE LAIT, ACCÉLÉRATEUR DE CANCERS

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Dès 1976, T. Colin Campbell découvre qu’un régime riche en protéines tirées du lait de vache (la caséine) favorise le développement des tumeurs chez les rats, même lorsqu’ils ont peu de tumeurs. A contrario, les rats qui ont une alimentation pauvre en caséine ont beau avoir des tumeurs, celles-ci ne se développent pas. Au début des années 2000, alors que les études épidémiologiques s’accumulent sur l’homme, une tendance se précise : les laitages apparaissent comme un facteur de risque du cancer de la prostate. La piste est si inquiétante qu’en 2002 l’Institut Américain pour la Recherche sur le Cancer (AICR) juge les preuves suffisantes pour émettre, pour la première fois de son histoire, un conseil de prudence : « les laitages devraient être consommés en faible quantité ».

En 2004, toutes les études de consommation par pays et la majorité des études épidémiologiques ont confirmé cette association entre laitages et risque de cancer de la prostate. En mai 2005, une énième étude (la seizième, pour être précis) vient alourdir sérieusement le tableau. Les auteurs, visiblement ébranlés par ce qu’ils ont trouvé, écrivent : « L’observation que les laitages puissent augmenter le risque de cancer de la prostate est troublante, compte tenu des recommandations actuelles pour consommer plus de calcium et la promotion agressive des laitages comme source de calcium ».

« Nos résultats confirment l’hypothèse que les produits laitiers ont un effet néfaste en ce qui concerne le risque de cancer de la prostate. » — Dr Serge Hercberg, mars 2006

Et les études vont continuer à confirmer ces résultats année après année. Pour n’en citer qu’une dernière, en 2008 des chercheurs mandatés par le Fonds mondial de la recherche sur le cancer et l’American Institute of Cancer Research, la plus grande agence américaine sur le cancer, font part de leur « étonnement » d’apprendre que « plus on consomme de produits laitiers, plus on risque de développer un cancer de la prostate ». Cet « étonnement » en dit long sur la force de persuasion qu’ont pu exercer les lobbies laitiers pendant des décennies, jusqu’aux plus hautes sphères scientifiques.

UNE HORMONE DE CROISSANCE AVEUGLE

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La plus connue des substances destinée à favoriser la croissance est l’IGF-1 (Insulin Growth Factor), qui favorise la croissance et de la réplication de toutes les cellules. Elle est présente naturellement dans le corps (sécrétée par le foie), mais aussi dans le lait en grande quantité. L’IGF-1 fait se multiplier les cellules, mais pas seulement les cellules saines. Il donne sans distinction un coup d’accélérateur aux cellules précancéreuses et cancéreuses.

« Nos études, et celles d’autres chercheurs à Harvard et à Montréal, ont prouvé que les personnes dont les taux sanguins d’IGF-1 se situent dans le quart supérieur ont un risque de ces cancers [liés aux hormones] multipliés par trois ou quatre », rapporte le Pr Jeff Holly de l’université de Bristol (Royaume-Uni), qui est au passage vice-président de la Société internationale de l’IGF et l’un des experts mondiaux de ce facteur de croissance. « Le lien entre la consommation de lait et le risque de cancer apparaît clairement dans les études de population. […] L’IGF-1 en excès empêche l’apoptose [autodestruction naturelle] des cellules cancéreuses de la prostate et du sein, ainsi les cellules de cancer survivent et prolifèrent ».

VITAMINE D

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Un autre facteur du risque de cancer concerne la vitamine D. Cette vitamine est une arme anti-cancéreuse naturelle, puisqu’elle est capable de remettre sur pied une cellule précancéreuse. Or, la consommation de laitages diminue de taux de vitamine D, pour deux raisons. D’abord parce que les laitages contribuent à un environnement acide et que dans un tel environnement, l’enzyme des reins qui fabrique la vitamine D ne fonctionne plus correctement. D’autre part, étant donné que cette vitamine est nécessaire à l’absorption du calcium, la digestion du lait épuise ses stocks. Ainsi lorsque vous mangez 3 à 4 laitages par jour, votre niveau de vitamine D active reste durablement bas.

D’autre part, la vitamine D aide justement à contrôler la quantité d’IGF-1. Moins il y a de vitamine D, et plus l’IGF-1 peut exercer ses effets proliférateurs. Résultat : les cellules précancéreuses ne sont plus réparées, et l’IGF-1 a le champ libre pour accélérer le processus de multiplication de ces cellules malades.

« En l’état actuel des connaissances, il est irresponsable de faire la promotion des laitages. » — Pr Walter Willett, directeur de l’Ecole de Santé Publique de Harvard

Roger Volcano (discuter) 3 mai 2024 à 11:22 (CEST)Répondre

La seule source est un blog. Généralement, quand on est "obligé" de sourcer par un blog, c'est que les informations sont de trop faible WP:Proportion. Je ne dit pas que tout est nécessairement de Proportion faible, mais si cela ne l'est pas, alors il devrait être possible de sourcer par des sources secondaires notables (pas d'études, ou de déclarations de tel ou tel professeur, qui sont primaires). Plutôt que de donner un texte "tout cuit" et mal (pas) sourcé, il serait préférable de donner simplement des sources secondaires notables et non un blog. Jean-Christophe BENOIST (discuter) 3 mai 2024 à 12:22 (CEST)Répondre
Votre remarque est légitime, mais sachez que la seule raison pour laquelle je n'ai pas rajouté les liens vers les sources en rédigeant cet article (c'est mon blog) est que c'est trop chronophage, mais soyez assuré que ces dires se basent sur de très nombreuses sources différentes et on ne peut plus sérieuses, que l'on pourra retrouver et citer le cas échéant, ça n'est absolument pas un problème.
Par ailleurs, aucune (ou quasiment aucune) étude ne tend à montrer que le lait permet de diminuer les risques liés aux cancers. Même sur les sites de lobbies laitiers, on ne parle que d'une très faible diminution du risque, de l'ordre de 10%. C'est dire ! Et lorsque vous cliquez sur l'étude citée, voici la première phrase que l'on peut lire : "À ce jour, les études portant sur l'association entre la consommation de produits laitiers et le cancer du sein chez les femmes ont donné des résultats contradictoires". Intéressant... Mais ce que nous lisons quelques lignes plus loin est encore plus étonnant : "Le lait contient également divers facteurs susceptibles d'affecter la santé humaine, par exemple le facteur de croissance analogue à l'insuline I (IGF-I), dont il a été démontré qu'il favorisait la croissance des cellules cancéreuses du sein, les œstrogènes, qui sont associés à une augmentation de l'activité mitotique et à des erreurs de réplication de l'ADN, ainsi que divers contaminants, tels que des pesticides potentiellement cancérigènes."
Recommander le lait comme aliment anticancer uniquement sous prétexte qu'il contient quelques oméga-3 est un argument on ne peut plus fallacieux. On est dans l'obscurantisme le plus radical, c'est absolument anti-scientifique et contraire à l'éthique de Wikipédia. Je hurle au scandale ! Roger Volcano (discuter) 3 mai 2024 à 13:33 (CEST)Répondre
Toujours aucune source secondaire notable dans votre intervention, qui permettent de juger de la WP:Proportion de ces affirmations. Nul doute que on puisse trouver des sources pour chacune des affirmations que vous donnez, mais la question de leur WP:Proportion se pose. L'éthique de Wikipédia, c'est de rapporter les connaissances en Proportion. Et on a eu ce genre de "hurlement au scandale" avec l'hydroxychlorochine lors du COVID-19, insuffisamment défendue par Wikipédia, donc on reste stoïque. De plus, dire que le lait n'est pas un anti-cancéreux (ce qui est très possible) n'est pas la même chose que de dire que le lait est un "accélérateur de cancer" (ce qui semble de faible WP:Proportion), ne mélangez pas tout. Jean-Christophe BENOIST (discuter) 3 mai 2024 à 14:36 (CEST)Répondre
Vous osez dire que je mélange tout (à vrai dire, m'ordonner de ne pas tout mélanger) alors que vous faites un honteux amalgame en me comparant avec les personnes qui ont défendu l'hydroxychlorochine lors du covid... AU SECOURS !! Par pitié, réfléchissez un peu à ce que vous dites.
Pour ma part, j'arrête immédiatement cette discussion avec vous, car je sens que ça ne donnera rien car vous semblez aussi buté que mal renseigné sur le lait. Roger Volcano (discuter) 3 mai 2024 à 14:47 (CEST)Répondre
On ne risque pas d'être bien renseigné si vous ne donnez pas de sources secondaires notables ! Je dis simplement que, en l'absence de sources secondaires notables permettant de juger de la WP:Proportion de l'affirmation que "le lait est accélérateur de cancer", nous sommes dans la même situation que des "cris au scandale" précédent, où on n'arrivait pas non plus à obtenir des sources secondaires notables. Jean-Christophe BENOIST (discuter) 3 mai 2024 à 15:18 (CEST)Répondre
Je donne justement le lien vers une étude dans ma réponse, que vous faut-il de plus ? Par pitié, arrêtez de me parler de "proportion", car ce n'est pas le débat ici, puisque je ne suis pas en train d'effectuer une modification de l'article qui ne respecte pas la charte, mais pour l'instant simplement de relever qu'il existe une grossière erreur qui peut s'avérer extrêmement dangereuse pour la santé des gens. Donc peut-on revenir sur la discussion de fond une minute ? MERCI
Pour commencer, je vous invite à consulter la page WIkipédia sur l'IGF-1 qui note que "Un taux élevé d'IGF-1 semble corrélé à un risque plus élevé de cancer colorectal, de la prostate, et du sein" (en ne citant qu'une seule source).
Ensuite, voici quelques liens qui devraient vous intéresser (ça m'a pris 5 secondes pour faire cette recherche Google) :
https://www.lanutrition.fr/les-news/3-laitages-par-jour-augmentent-le-facteur-de-croissance-igf-1
En conclusion, cette étude confirme que la surconsommation de laitages est associée à un taux sensiblement plus élevé d’IGF-1 chez l'adulte. Sachant que plusieurs travaux ont trouvé un lien entre laitages et certains cancers comme celui de la prostate, par précaution, des chercheurs spécialistes de l’IGF-1, comme le Pr Jeff Holly (université d’Oxford) conseillent pour réduire son risque de cancer, d’éviter des doses élevées de laitages, ou même de ne pas en consommer du tout.
https://www.lanutrition.fr/les-news/un-regime-riche-en-laitages-et-viandes-asocie-au-risque-de-cancer
Le Dr Andrew Roddam conclut que l’association entre IGF-1 et cancer de la prostate est « significative. »
L’IGF-1 est une protéine qui favorise la division cellulaire. Elle est importante pour la croissance et le développement des jeunes enfants et les adolescents. Cependant, elle peut aussi accélérer le développement de cancers latents et empêcher les défenses cellulaires de supprimer des cellules précancéreuses. Selon Andrew Roddam un régime riche en laitages ou en viande peut booster de 10 à 15% les taux d’IGF-1, ce qui est suffisant pour perturber les défenses contre le cancer.
D’autres études ont associé des taux élevés d’IGF-1 au risque de cancers du sein et de cancers digestifs.
https://www.lanutrition.fr/bien-dans-sa-sante/les-maladies/le-cancer/une-hormone-de-croissance-augmente-la-mortalite-par-cancer
De nombreuses études mettent en avant le fait que la consommation de laitages entraîne une augmentation du taux d’IGF-1 et du risque de cancer.
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En conclusion, merci d'arrêter de noyer le poisson, le but étant de faire avancer le débat sur le sujet de fond. Voyons si vous êtes capable de répondre clairement à ces questions. Dans le cas contraire, je passerai directement à la modification de l'article.
- Primo, reconnaissez-vous OUI ou NON que "dans la mesure où les tumeurs cancéreuses résultent justement d’une prolifération anarchique des cellules, il apparaît légitime de s’interroger sur la participation de l’IGF-1 contenu dans les produits laitiers au développement des cancers" ? https://www.nutriting.com/conseils/igf-1-cancer-dangers-sante
- Secundo, de combien d'autres sources avez-vous besoin ? Je pense pouvoir en trouver facilement une centaine.
- Tertio, doit-on corriger la page existante Wikipédia sur l'IGF-1 ? Soit on la corrige, soit on corrige cette page sur l'alimentation, mais il y a forcément une erreur quelque part.
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Enfin, serait-il possible d'avoir l'avis au moins d'une DEUXIEME personne, qui soit réellement concernée par ce débat ? Merci Roger Volcano (discuter) 5 mai 2024 à 09:47 (CEST)Répondre
Je réagissait principalement sur l'affirmation, mise en évidence et longuement développée, de "le lait est accélérateur de cancer", que aucune source ne semble dire directement ainsi de manière aussi affirmative, voire péremptoire. En plus, le développement était entièrement non sourcé hormis un blog, ce qui allume tous les voyants de vigilance au rouge.
Vous semblez maintenant vous concentrer sur une affirmation plus restreinte et plus précise : "le taux d'IGF-1 est associé à des risques de certains cancer" qui en effet est plus factuelle et beaucoup plus sourçable. Cependant je relève une approximation dans votre question ou vous demandez "il parait légitime ... au développement des cancers", alors que la source que vous donnez (nutriting) ne parle que de certains cancers, alors que ce n'est pas clair voire protecteur pour la prostate (par exemple) selon cette source.
Après, il reste à associer l'IGF-1 aux laitages. Votre source, que je trouve très précise et rigoureuse, ne fait pas un lien direct entre laitages et IGF-1 et reste très prudente : « Il est donc probable que ce soit cet apport accru en éléments nutritifs qui stimule notre production endogène d’IGF-1. ». Le lait apporte des éléments nutritifs qui augmentent les IGF-1 naturellement produits.
Si vous voulez mettre dans cet article des éléments issus de cette source, sans extrapolation ni déformation, ni inférences inédites avec d'autres sources, je ne m'y opposerais certainement pas.
Enfin, il semble que nous ne soyons pas nombreux à surveiller cette page. Vous pouvez solliciter des interventions dans Discussion_Projet:Médecine, mais ce sont de toutes façons les sources notables et de synthèse qui valident un ajout et non les avis personnels de Wikipédiens ou de nouveaux utilisateurs (et heureusement). Mais je ne suis pas contre d'autres avis non plus, et un soulagement de la charge de travail de vérifier vos affirmations. Jean-Christophe BENOIST (discuter) 5 mai 2024 à 10:31 (CEST)Répondre

Bonjour Roger Volcano   !

Permettez-moi, avant tout, de souligner que l'objectif de la page « Rôle de l'alimentation dans la prévention des cancers » n'est en aucun cas de faire la promotion du lait mais de souligner l'effet bénéfique sur la santé des oméga-3, des anti-inflammatoires naturels, des antioxydants, des fibres alimentaires et de fruits et légumes qui ont une action anticancéreuse, au premier rang desquels des alliacées et des brassicacées. Et également de souligner la relation entre acides gras oméga-6, inflammation et cancer.

Concernant le lait, cet aliment est cité dans l'article non pas pour en faire la promotion mais pour souligner le fait que, tant qu'à en consommer, il est préférable de privilégier le lait de vaches de pâturage (l'herbe étant riche en oméga-3 ) et recevant une alimentation complémentaire à base de graines de lin, donc enrichie en oméga-3, plutôt de du lait de vaches confinées en étables et nourries au soja et au maïs.

Par ailleurs, n'étant pas un spécialiste du lien entre lait et cancer, si je consulte l'article « Lait de vache », je lis dans sa section « Cancer » un premier paragraphe qui mentionne un lien possible mais faible et discuté entre la consommation de lait de vache et certains types de cancers mais je lis surtout dans les trois autres paragraphes de cette section des passages que vous me permettrez de mettre en gras comme vous le faites plus haut : « Le lait semble intervenir dans la diminution du cancer colorectal selon une vaste étude mondiale et une large méta-analyse […] Par ailleurs, des études identifient deux composants du lait qui ont des effets bénéfiques sur certains cancers. Tout d'abord l'acide butyrique, également connu sous le nom d'acide butanoïque130, qui est une molécule possédant des propriétés anti-cancérigènes. En effet, cet acide gras possède une molécule appelé butyle qui est un inhibiteur puissant de la prolifération, de la différenciation et de l'inducteur de l'apoptose, c'est-à-dire la mort cellulaire programmée. L’effet anti-tumoral du butyrate a été démontré dans différents modèles cellulaires de cancer comme ceux du côlon, de la prostate, du foie et du sein. Ensuite, un autre acide gras du lait de vache, dont les bienfaits ont été démontrés, est l'acide ruménique […] L'acide ruménique est un puissant inhibiteur des tumeurs mammaires. […] D'autres études ont démontré une activité antitumorale de la lactoferrine ».

Si je compte bien, cet article « Lait de vache » mentionne à 6 reprises des effets anti-cancérigènes possibles ou supposés.

En conclusion, il me semble que si vous voulez alimenter un débat lait-cancer, c'est surtout sur cette page-là qu'il faut le faire (une page qui cite l'IGF-1 soit dit en passant) et pas sur la présente page « Rôle de l'alimentation dans la prévention des cancers » qui ne cite le lait qu'à la marge parmi de très nombreux autres aliments, et uniquement pour attirer l'attention qu'il faut préférer, comme expliqué plus haut, du lait riche en oméga-3 à du lait de vaches nourries au soja et au maïs.

Maintenant, libre à vous de nuancer le propos, avec mesure, retenue et prudence.

Cordialement - EmDee (discuter) 5 mai 2024 à 10:55 (CEST)Répondre

Bonjour EmDee,
Je vous remercie pour votre retour constructif et tout à fait pertinent, je suis d'accord à 100%. Dieu merci, il n'y a pas que des Jean-Christophe sur Wikipédia !
Le lait contient beaucoup de molécules, dont certaines, isolées, peuvent avoir des propriétés "anticancer" (comme les oméga-3), mais ça n'est pas pour autant que les bénéfices sont supérieurs aux inconvénients.
S'il fallait croire les lobbies laitiers aveuglément et systématiquement, il faudrait croire que toutes les molécules qui ont des effets négatifs sont désactivées par la cuisson et la stérilisation, et que celles qui résistent ne passent pas dans le sang, et que si c'est le cas alors elles ne sont pas absorbés par les humains spécifiquement, etc. (j'ai trouvé tout ça sur leurs sites). Aucun de ces arguments n'a résisté aux études scientifiques qui sont aujourd'hui nombreuses et ne laissent aucun doute quant à la dangerosité du lait. Nous savons aujourd’hui avec certitude que la consommation régulière de lait provoque des dérèglements du système immunitaire, du système insulinique, et du système hormonal, avec comme conséquences cancers, diabète, infertilité, ou ostéoporose pour n’en citer que quelques unes.
On rappelle qu'en 2005 à l'ANSES (qui est souvent cité sur Wikipédia, alors même qu'ils ne citent aucune étude pour étayer leurs affirmations), sur les 29 membres du comité, 20 avaient des liens de collaboration avec l’industrie laitière, dont treize pour Danone. Le président du comité lui-même, un pédiatre, siégeait au conseil scientifique de Nestlé France. Et curieusement, aucun de ces liens n’a été porté à la connaissance du public comme la loi l’exige pourtant lorsqu’ils s’expriment dans la presse, à la radio, à la télévision ou dans les congrès.
Comme le dit la pub, les lobbies laitiers sont vos amis pour la vie !
Vraiment, je vous invite tous à lire le livre d'Olivier Soucart qui n'a jamais été pris en défaut, et que je résume dans mon article (https://theonlymaxblog.wordpress.com/2023/06/29/lait-un-scandale-sanitaire/). Il est important de comprendre comment et pourquoi sont nés les lobbies laitiers avant mêle de parler des effets du lait.
Rémi Roger Volcano (discuter) 7 mai 2024 à 17:05 (CEST)Répondre

RI, liste d'aliments dont le vin rouge ?

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Bonjour,

Je note que le RI contient une grosse liste d'aliment aux effets supposément anti-cancer. Mais est-ce vraiment au résumé introductif de contenir tout ça ? Ca l'alourdit inutilement, sans réellement apporter plus à la compréhension du sujet

Je note en plus la présence du vin rouge dedans, alors que ses effets "anti-cancer" sont largement contredit par le fait qu'il contient également de l'alcool, un produit cancérigène. L'article en lui-même détaille cette question, ok, mais donc l'indiquer sans nuance dans le RI me semble discutable. Cosmiaou (discuter) 31 mai 2024 à 15:07 (CEST)Répondre

Ce n'est pas faux. Il faudrait tout de même conserver le premier niveau d'énumération (oméga 3, antioxydants etc..), et ne citer qu'un ou deux aliments par niveau, les plus représentatifs. Et ne plus présenter sous forme de liste, mais de paragraphe. Aussi, par neutralité et prudence, il faudrait dire "ont potentiellement une action anticancéreuse". Jean-Christophe BENOIST (discuter) 31 mai 2024 à 17:26 (CEST)Répondre
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