Discussion:Parachutisme militaire

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Bonjour Pseudomoi Tu es intervenu sur l'article Parachutisme militaire le 28 mars et le 3 avril. La dernière fois pour ajouter le bandeau ébauche. Puis-je te demander : Quel est ton intérêt et ton expérience concernant le parachutisme militaire ? Pourquoi as-tu ajouté ce bandeau ébauche ? Merci --Fistos 17 avr 2005 à 18:54 (CEST)

Suite à ton message, j'aimerai te dire que je n'ai aucune idée sur le sujet. Je crois que j'ai du vouloir faire de la mise en page. J'ai aussi vouloir faire un lien entre les différents articles sur le sujet. Je ne suis qu'une petite étudiante en droit, l'armée j'y connait rien ! --Pseudomoi 18 avr 2005 à 09:53 (CEST)

Lien vers troupe aéroportée

J'ai remis le lien. La question pour ajouter le lien est "Quels sont les sujets proches du parachutisme militaire, intéressants pour le lecteur?"

Troupe aéroportée correspond à ce critère et il est donc légitime et nécessaire de l'ajouter ici.

Le fait qu'il y ait des inexactitudes dans cet autre article ne rentre pas en ligne de compte ici, mais seulement dans Troupe aéroportée (pour les corriger) et sa page de discussion (pour les signaler). Jyp 19 avr 2005 à 11:17 (CEST)

Je suis d'accord avec la définition du lien et surtout par "Intéressants pour le lecteur". Personnellement, je considère justement qu'il n'est pas intéressant d'envoyer le lecteur vers des informations inexactes. Quant à corriger l'ébauche " Troupe aéroportée", je m'y refuse car je suis opposé au vandalisme. Je considère qu'un contributeur ne doit écrire que des choses dont il est convaincu de l'exactitude soit parce qu'il est compétent dans le domaine, soit parce qu'il a fait quelques recherches. Ceux qui écrivent n'importe quoi pour s'enorgueillir d'avoir créé ou complété un article nuisent au but de l'encyclopédie. Je ne veux en aucun cas alimenter leur égocentrisme.--Fistos 20 avr 2005 à 12:50 (CEST)

1er Régiment du Train Parachutiste

Un article intitulé 1er Régiment du Train Parachutiste a été créé afin de ne pas surcharger l'article parachutisme militaire avec des noms d'unités. Le but est que cet article se limite aux considérations techniques et reste dans le cadre de son titre. --Fistos 20 avr 2005 à 19:08 (CEST)

C'est une bonne idée (une petite réserve sur la typographie - les majuscules). Jyp 21 avr 2005 à 11:06 (CEST)

Revert de 80.8.130.159

J'ai opéré un revert que je justifie comme suit :

• Lorsqu'on apporte des modifications d'ordre technique à un article, il est plus courtois d'en discuter d'abord
• Le texte de l'article ne concerne pas uniquement l'armée française avec ses techniques, ses normes et son vocabulaire spécifiques. Ainsi, par exemple, le parachute allemand G9 (qui est pourtant ancien) permet, par vent nul, de parcourir une distance de 27,900 Km après un saut à une hauteur de 14500 ft (4400 m) ou 63,4 Km après un saut à une hauteur de 33000 ft (10000 m) avec, bien entendu, oxygène. Autre exemple : en langage militaire, l'appellation commando n'a pas la même signification en France, en Belgique, en Grande-Bretagne ...
• l'intervenant 80.8.130.159 n'a certainement pas voulu faire du vandalisme mais n'étant pas enregistré, il n'a pas de page de discussion.

--Fistos 31 mars 2006 à 14:06 (CEST)

réponse de 80.8.130.159, officier para respectueux de ses anciens mais désireux d'établir une vérité.

• désolé, j'aurais dû en parler auparavant, avant d'opérer des modifications sur votre article.
• le parachute G9 de la société aérazur est donné pour une finesse de 3.5. ce qui signifie que pour un parachutiste sans gaine, par vent nul, la distance la plus longue qu'il puisse faire après un saut à 4400 m est de 3.5*4400= 15400m (et de 35000m pour un saut à 10000m). ces considérations sont toutefois erronnées puisqu'il faut prendre en compte une multitude d'autres caractéristiques qui tendent à faire décroître cette distance plutôt que le contraire (poids du parachutiste, poids de sa gaine car le chuteur saute forcément en gaine avec un G9, direction et vitesse de vent aux différents FL, etc, etc). si les distances sont plus élevées, c'est que le para est largué sur son point de relaxation en se servant du vent pour augmenter sa vitesse horizontale. pour le terme "commandos", c'est vrai, je n'ai pas pris en compte les autres armées. mais réserver la chute militaire aux forces spéciales est inexact. la 11ème BP regorge de chuteurs militaires, plus d'ailleurs que dans les forces spéciales...
• je m'enregistrerais bien mais je ne sais comment faire...

Bienvenue sur ce site à un frère d'arme.

Je ne suis évidemment pas opposé à ce qu'un autre rédacteur amende les articles que je rédige. Je ne suis pas infaillible et je peux commettre des erreurs. De plus, en matière de parachutisme, mon dernier saut en chute remonte à 1980, si bien que certaines de mes données ne sont peut-être plus à jour.

En ce qui concerne les ailes, il est vrai qu'à mon époque la finesse était au maximum de 3 (MT-1X, par exemple). J'ai toutefois lu dans des revues sérieuses que d'importants progrès avaient été accomplis et j'ai même une documentation du G-9 produit dans les années 90 par la firme Fallschirm-Service Herbst KG de Wiesloch en Allemagne donnant les chiffres que j'ai repris ci avant. Je ne conteste toutefois pas vos arguments et, si vous considérez que, dans mon exemple, même actuellement, 8000 m est plus correct que 5000, j'accepte ce changement sans la moindre discussion.

En ce qui concerne la hauteur d'ouverture, la limite basse que j'ai connue était de 700 m en Europe. Il s'agit là d'une réglementation nationale. Je pense donc que tout chiffre techniquement possible est donc acceptable.

En ce qui concerne le parachutage d'approvisionnements, j'ai écrit "généralement" équipé de rouleaux car il y a quelques exceptions pour certains petits colis ou certains avions.

Pour s'enregistrer, c'est simple, il suffit de cliquer en haut et à droite de la page sur l'inscription "créer un compte ou se connecter et de suivre les indications à l'écran.

Merci pour votre message bien sympathique et A+

--Fistos 31 mars 2006 à 20:46 (CEST)

cher ancien,

j'ai bien compris vos arguments. en revanche, je me permets de vous signaler qu'en France (ce n'est peut-être pas la même chose dans les autres pays, j'en conviens), la hauteur minimale d'ouverture de la principale est de 1000 m dans l'armée, et de 800 m dans le civil. de même, dans le domaine de l'infiltration sous voile, deux altitudes sont généralement utilisées pour le largage : FL120, et FL240 sous oxy. ces deux techniques sont les plus opérationnelles et discrètes, puisque lors d'un SOB le bruit du parachute qui s'ouvre peut éveiller l'attention de l'ennemi qui se situe à proximité de la zone, tandis qu'en largage décalé ce n'est plus le cas, puisqu'on ouvre à quelques kilomètres de la zone. enfin, les procédures de saut à ouverture haute exigent que l'on s'accorde une marge de manoeuvre de 500 m en vertical zone pour pouvoir faire rentrer tout le monde, ce qui limite d'autant la distance entre le point de relaxation et la zone de mise à terre elle-même (ce qui signifie que les considérations techniques du constructeur n'ont a priori aucune valeur opérationnelle). enfin, il existe d'autres techniques pour le parachutage de matériel : le bundle, employé par les forces spéciales suédoises, qui consiste à fabriquer une gaine en forme de tube de 2.50m de haut, rattaché au chuteur ops sur l'avant (en employant un parachute du type vector). ces cylindres peuvent accueillir jusqu'à 300 kg de fret, en fait dans la limite de la MTE du parachute. ce type de largage permet de mettre en place une grande quantité de matériel avec précision (ce peut être un fût de kéro pour créer un plot de ravitaillement de HM, pour une mission demandant des moyens d'observation ou d'intrusion lourds, etc)

encore merci pour votre réponse, et à bientôt sur le site.(ça y est je suis inscrit...)

Heureux de voir arriver du renfort sinon la relève !

En rédigeant l'article parachutisme militaire, j'ai surtout essayé de démystifier le concept et de montrer la différence qu'il y avait avec le parachutisme sportif. Je suis conscient que les techniques sont en évolution permanente et que l'article devra être actualisé. Il s'avère que vous avez toutes les compétences pour y intervenir. Etant donné qu'il s'agit d'une encyclopédie "tout public", il faut toutefois veiller à ne pas être trop "technique". Je pense que vous serez d'accord sur ce point.

Je vous remercie pour les infos intéressantes et pertinentes de votre dernier message. A mon époque, la hauteur d'ouverture en commandé était de 2300 ft et il n'y avait pas de sécurité baro-chronométrique mais, comme vous l'expliquez il y a des raisons tactiques et techniques pour ouvrir plus haut.

Salutations confraternelles --Fistos 1 avril 2006 à 20:01 (CEST)

Gravitation

Alourdis par leur matériel, les chuteurs opérationnels atteignent la vitesse de 65 m/sec;

Cette affirmation devrai être corriger car il me semble qu'elle laisse sous entendre que le parachutiste tombe avec une vitesse plus grande lorsqu'il est alourdi par son matériel. Ceci est en contradiction avec un principe fondamental de la physique concernant la gravitation: tous les objets, quelle que soit leur masse, accélèrent de la même façon sous l'effet de leur poids. Tous les objets en chute libre subissent une accélération d'environ 10m/s² et donc atteignent après un temps équivalent une vitesse identique quelque soient leurs poids.--MatrixCM 24 septembre 2006 à 19:42 (CEST)

C'est sans doute pour cela qu'un ballon à air chaud ne tombe pas mais monte? Sauf, bien entendu, dans le vide où tous les corps tombent à la même vitesse mais les parachutistes ne sautent pas dans le vide sinon le parachute ne serait guère efficace, n'est-il pas ? Dans l'air, il faut tenir compte de la résistance de l'air et du principe d'Archimède; une balle de plomb tombe plus vite qu'une boule d'ouate. C'est pour cela qu'un parachutiste équipé d'un sac de 30 kg dont la densité est nettement supérieure à celle du corps humain tombe plus vite qu'un parachutiste qui n'a pas de sac. --Fistos 24 septembre 2006 à 22:02 (CEST)

Histoire des paras

L'article parachutisme militaire a une vocation uniquement technique. Aussi un article a été créé pour développer l'histoire des parachutistes militaires. Cet article est Histoire des paras Etant donné qu'un texte d'histoire émanant d'un IP (donc sans possibilité de discussion directe) avait été ajouté, dans Parachutisme militaire, j'ai transféré ce texte dans le nouvel article. --Fistos 10 août 2007 à 22:50 (CEST)

L'admissibilité de l'article sur « Béret rouge (magazine) » est débattue

Page proposée au débat d'admissibilité

Bonjour,

L’article « Béret rouge (magazine) ^{(page supprimée)} » fait l'objet d'un débat d'admissibilité (cf. Wikipédia:Débat d'admissibilité). Il débouchera sur la conservation, la suppression ou la fusion de l'article. Après avoir pris connaissance des critères généraux d’admissibilité des articles et des critères spécifiques, vous pourrez donner votre avis sur la page de discussion Discussion:Béret rouge (magazine)/Admissibilité.

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ClairPrécisConcis (discuter) 7 décembre 2023 à 10:35 (CET)