Discussion:Littérature africaine

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C'est tout?? modifier

Je suis bien surprise par cet "article" sur la littérature africaine. Comparé aux articles en anglais ou en allemand ... ça dit bien des choses sur la Francophonie....

Oui c'est la honte !

Lien externe mort modifier

Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, et dans le cadre du projet correction des liens externes un lien était indisponible.

Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Si le lien est disponible, merci de l'indiquer sur cette page, pour permettre l'amélioration du robot. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 31 janvier 2006 à 21:32 (CET) 'Texte gras'Texte gras'Répondre

Désaccord de pertinence modifier

Bonjour, je viens d'apposer un bandeau de désaccord de pertinence sur la section Évolution de la littérature contemporaine.

Le motif en est assez simple, le texte et ses sources ne traitent que du Cameroun récent et pas de l'évolution de la littérature et surtout, pas du reste du sous-continent.

Les bornes temporelles ne sont pas non plus fixées. On ne sait pas de quelle période il s’agit.

Il y a trois sources : l'une, de mondesfrancophones, ne traite que de la littérature camerounaise, les deux autres renvoient vers des informations concernant le prix Grands prix des associations littéraires décerné depuis 2013. Sans compter qu'il avait été encore mentionné deux autres fois dans des ref qui ne sont pas des sources. Je passe donc sur l'aspect "promotionnel" que cela pourrait laisser transparaître.

Quant aux auteurs cités dans le §, Fiston Mwanza Mujila et Eric Mendi, aucune source n'affirme qu'ils sont représentatifs d'une évolution de la littérature du sous-continent. Le choix parait totalement arbitraire.

Les affirmations principales ne sont pas sourcées ; on parle, par exemple, d'une « écriture rebelle, d’un attrait cependant irrésistible lorsqu’elle est réussie ». De qui parle-t-on ? Et quelles sont les sources à l'appui ?

Cordialement — Barada-nikto (discuter) 7 février 2017 à 11:15 (CET)Répondre

Apparté. Rien ne pouvait me faire plus plaisir que l'allusion à Guillaume Oyônô Mbia. J'ai eu l'honneur d'être reçu par lui et j'ai Trois prétendants dédicacé de sa main soigneusement rangé dans ma bibliothèque... — Barada-nikto (discuter) 8 février 2017 à 11:48 (CET)Répondre

Bonjour Barada-nitko Nous étant accordés sur les précédents points, je suggère, si vous voulez mon humble avis, que votre sous-section "Littérature post-indépendance" soit restaurée, et que les deux nouveaux paragraphes écrits de vous y soient ajoutés. Ils me paraissent davantage à leur place dans cette partie que dans "Évolution de la littérature contemporaine"... A vous de voir. Cordialement. --Morgoko (discuter) 8 février 2017 à 16:48 (CET)Répondre

Bonjour, pourquoi pas, mais j'ai bien peur que "littérature post-indépendance" soit beaucoup trop courte pour une véritable section. "Évolution de la littérature contemporaine" ça me parait bien, ça permet de couvrir la période du 20° au 21° siècles sans se casser la tête. Mais on pourra y revenir plus tard, si vous voulez. Cordialement — Barada-nikto (discuter) 8 février 2017 à 17:08 (CET)Répondre
De toute façon, vous avez raison, il faut revoir le plan car Le courant de la négritude devrait être plus bas dans le texte sous forme d'une sous-partie à mon avis. Cordialement Barada-nikto (discuter) 8 février 2017 à 18:35 (CET)Répondre

Bonjour, Suite à ma précédente proposition, de réintégrer la sous-section "Littérature post-indépendance", j'ai effectué quelques changements que je soumets à votre appréciation. J'ai aussi restauré l'ancien "Évolution de la littérature contemporaine" (sans le deuxième bandeau qu'il n'avait pas alors). Je reste en attente de vos observations. Cordialement. --Morgoko (discuter) 8 février 2017 à 20:18 (CET)Répondre

Bonjour, je n'ai pas le temps aujourd'hui, en tout cas ce matin, merci de respecter le bandeau en travaux. Quant au commentaire de diff : "contemporaine" est académiquement et syntaxiquement adapté à la période traitée. Si vous voulez parler de la période ultra-récente utilisez "première décennie du 21ème siècle" par exemple. Cordialement Barada-nikto (discuter) 9 février 2017 à 08:51 (CET)Répondre

Bonjour, dans ce cas il faudrait peut-être trouver le moyen de présenter la partie "Evolution de la littérature contemporaine" en deux sous-parties. Dans les milieux littéraires africains l'on ne considére plus Senghor et son époque comme de la littérature contemporaine. La littérature africaine de notre époque entend tourner la page, confère certaines références du texte en chantier. Du reste, après lecture de votre message j'ai tapé directement le mot contemporain dans un dictionnaire en ligne. Contemporain: "Existant à la même époque; existant actuellement; personne de la même génération, vivant à la même époque". Mais peut-être n'est-ce pas la bonne définition. Si j'ai une minute j'essaierai de proposer une nouvelle présentation de cette partie. Cdlt. --Morgoko (discuter) 9 février 2017 à 13:58 (CET)Répondre

OK, on pourra utiliser "Littérature du xx° siècle" si vraiment vous voulez, sachant qu'à l'écrit il n'y en a guère avant... Et "premières années du xxi°" par exemple. Cela conviendrait-il ? cordialement — Barada-nikto (discuter) 9 février 2017 à 14:27 (CET)Répondre
Bon, premier jet. J'ai enlevé la source Segallo, qui ne parle que du Cameroun et pas de l'ensemble de l'Afrique subsaharienne et qui parle d'essouflement (et pas de retenir son souffle). Si on arrive à trouver des sources et notamment celles pour justifier que Fiston Mwanza Mujila et Eric Mendi sont représentatifs d'une nouvelle génération d'écrivains, ce sera OK pour moi. Cette source : Tirthankar Chanda, « Littérature africaine : de la négritude à l'« écritude » avec Alain Mabanckou », RFI, , cite Alain Mabanckou, Tierno Monenembo, Kossi Effoui, Koffi Kwahule, Fatou Diome, Abdourahmane Waberi, Nimrod, Sami Tchak, mais aucun de ces deux-là.
Reste quand même la période 1960 à 2000 à traiter, mais c'est un autre sujet. Cordialement — Barada-nikto (discuter) 9 février 2017 à 15:22 (CET)Répondre

Cher Nikto, Évitons par trop de rigidité de passer à côté de l'essentiel; une réf. sur le Cameroun peut valoir pour d'autres pays d'Afrique noire; "Évolution..." étant maintenant un grand titre, il faudrait peut-être revoir le gabarit de sa police. D'autre part, il me semble que dans un article chaque mot n'est pas à sourcer, parfois une phrase peut être justifiée par la suivante qui elle peut être sourcée. Je croyais que nous avions accordé nos violons sur mon texte et qu'il était maintenant question de trouver le moyen d'y insérer les parties pré et post-indépendance, que vous reveniez sabré mon texte au bic rouge me laisse perplexe, d'autant plus qu'il vous doit déjà à vous-même quelques modifications. D'autre part, je vous prie de considérer que mon texte traite davantage de la littérature africaine vue d'afrique, où je vie; ce qui diffère un peu l'image habituelle que nous renvoie les spécialistes de la diaspora, qui ne reflète pas toujours la réalité que nous expérimentons sur le terrain. Sur le Burkina, la source fait mention de ce que l'Harmattan à lui seul a publié cette année-là 86 ouvrages, n'est-ce pas suffisant pour déduire de l'augementation de l'édition dans ce petit pays, et par extension dans d'autres pays d'Afrique noire. Comment voulez-vous des sources sur l'Afrique sub-saharienne sans prendre en considération les cas particuliers? Dans l'espoir que nous trouverons le moyen de nous accorder pour améliorer cet article, je vous remercie d'avance et reste en attente de vos remarques. --Morgoko (discuter) 9 février 2017 à 15:43 (CET) Cher Barada-Nikto, mon texte ne parle pas de "retenir son souffle" mais de "reprendre son souffle", y a nuance. Reprendre son souffle renvoie bien à l'idée d'essoufflement. donc la source de Segallo peut tenir. merci. --Morgoko (discuter) 9 février 2017 à 16:01 (CET)Répondre

Bonjour, dans wikipédia toute affirmation doit être appuyée par des sources, pas par des déductions du rédacteur. Ainsi L'Harmattan publie 86 ouvrage au Burkina, c'est bien possible, sauf qu'on n'a rien à en déduire sauf à rapporter ce qu'une source de qualité aura pu en écrire. Idem, une ref sur le Cameroun ne vaut que pour le Cameroun... Cordialement — Barada-nikto (discuter) 9 février 2017 à 16:03 (CET)Répondre

Voici quelques-unes de vos déclarations non sourcées: "En 1921, René Maran "; "La négritude est un courant littéraire e.... »;...

Sur les deux jeunes auteurs, voici un extrait de la source sur Fiston Mwanza: "Et si l’on vous disait que pour les inconditionnels de la bonne vieille et pudique littérature, Fiston Mwanza Mujila devrait « se mettre à l’abri de son inspiration » ? (Question posée à l'auteur). Quant à la source sur Mendi, elle me semble suffisamment explicite pour qu'on y revienne. Pourquoi les citer, eux? parce qu'ils ont été consacrés par un prix littéraire africain qui de plus en plus s'affirme en Afrique. Dois-je préciser par exemple que la liste des Nominés aux GPAL 2016 qui vient d'être publiée dans la presse compte quand même des noms comme Tahar Ben Jelloun (de l'Académie Goncourt), ou encore le nigérian Chigozie Obioma, mais pas un certain Mabanckou, dont l'ouvrage "Petit piment" figurait pourtant parmi les 101 livres initialement présélectionnés aux GPAL 2016. D'autre part, pensez-vous les Mabanckou et les Mwanza ou Mendi soient de la même époque? A mon sens pas du tout. La génération Mabanckou se situe bien quelque part, mais pas à la même époque que celle plus récente des tout jeunes Mendi et Mwanza. Ils doivent certainement avoir une histoire à eux que je ne me sens disposé à explorer. Je vous en laisse le soin. Enfin, j'insiste, et c'est tout à fait logique qu'une source sur le Cameroun ou le Burkina peut valoir les autres pays d'Afrique sub-saharienne; on ne peut prétendre écrire l'histoire de l'Afrique en s’imaginant qu'on ira trouver des sources ailleurs que dans les pays respectifs qui constituent ce continent. Merci pour compréhension. --Morgoko (discuter) 9 février 2017 à 16:40 (CET)Répondre

Bonjour, je suis désolé que vous le preniez ainsi... Ce que vous m'attribuez n'est pas de moi, je n'ai pas écrit le passage sur René Maran... Et quand bien même, ce n'est pas parce que tel ou tel passage (ou carrément article) n'est pas sourcé, que ce soit moi ou quiconque autre qui l'ait écrit, que ça justifie que d'autres passages soient rajoutés sans l'être non plus. Par ailleurs ne versons pas non plus dans la personnalisation, s'il vous plaît, ça s'appelle "pas d'attaques personnelles" WP:PAP dans le jargon de wikipédia. Quant aux auteurs, je dis que certains noms figurent dans une source, c'est tout. Et, pour terminer, une source sur le Burkina source le Burkina, pas plus. Ça n'a rien de logique que d'étendre le propos à toute une partie du continent, ça peut aussi bien s’être effondré ailleurs, qu'en sais-je si je n'ai pas de source pour le démontrer ? Cordialement — Barada-nikto (discuter) 9 février 2017 à 17:12 (CET)Répondre

Dans un tout autre registre, le texte de RFI sur Mabanckou parle de « littérature d’instituteurs », cela pourrait sans doute vous intéresser dans l'optique de sourcer la nouvelle forme de littérature africaine ? Je cite « Ce qui distingue les écrivains de la deuxième génération de leurs prédécesseurs, c’est aussi l’abandon progressif du français littéraire et académique. Les nouveaux écrivains s’attachent à « décoloniser » la langue en prenant leur distance par rapport aux normes ». Là, l'intérêt c'est qu'il s'agit de la littérature africaine francophone dans son ensemble. Cordialement — Barada-nikto (discuter) 9 février 2017 à 17:29 (CET)Répondre

Cher Barada-nikto, Pardon de vous attribuer des phrases qui ne sont pas de vous (et cela n'avait rien de personnel). j'insiste cependant qu'on ne peut pas sourcer chaque mot dans un article; il y a des affirmations qui peuvent s'appuyer logiquement sur d'autres qui elles sont sourcées. Celui qui écrit l'article a conscience que son texte sera lu de quelqu'un d'assez intelligent pour comprendre certaines déductions tout à fait liées. D'autre part, les sources de médias africains ne vous semblent pas valables (nous parlons pourtant de littérature africaine); vous essayez de mettre en avant une source de RFI qui pour ma part ne convient pas à la réalité que je voudrais mettre en exergue, et rejetez celle du quotidien Le Jour se rapportant à l'ouvrage d'Eric Mendi. Maintenant, je constate que je ne peux plus modifier l'article, je ne sais si c'est une panne du système... Cdlt. --Morgoko (discuter) 9 février 2017 à 18:30 (CET)Répondre

Contentieux modifier

  Morgoko : et bien dites-moi, c'est un véritable plaisir que de collaborer avec vous ! D'un côté "Cher Barada-nikto", de l'autre une requête aux administrateurs sans avoir ni la courtoisie ni la franchise de m'en informer alors que je croyais que nous étions en train d'échanger sereinement. Je vous apporte des sources qui vont dans le sens de vos propos et vous me trainez en contentieux... Je n'aime pas votre attitude que je m'abstiendrais de qualifier de peur d'être à mon tour désobligeant. Mon avis est que vous feriez mieux de passer plus de temps à chercher des sources que sur les pages de contentieux. Je vous remercie de ne plus me répondre et je ne vous salue pas. Barada-nikto (discuter) 10 février 2017 à 08:49 (CET)Répondre

Bonjour au lecteur, j'ai été sur la page contentieux parce que je me suis aperçue que je ne pouvais plus modifier l'article. Sans pouvoir m'expliquer pourquoi. Les sources, ou la source RFI qu'on dit m'avoir proposée plus haut ne correspond pas à ma thématique; pardon, mais la pensée qui voudrait que Mabanckou soit un chef de file de l'actuelle littérature africaine est discutable; la preuve vient d'en être apportée avec la liste des Nominés des Gpal 2016 qui vient publiée dans la presse: "Petit piment", le livre de Mabanckou qui se trouvait dans la liste des présélectionnés manque à l'appel, au profit d'autres auteurs comme Ben Jelloun, Chigozie Obioma, ou encore Eric Mendi, avec notamment son dernier livre (AFANE - Forêt Equatoriale). Les sources de mon texte indiquant ce dernier auteur, tout comme Fiston Mwanza Mujila comme peu respectueux des "normes" me semblent suffisamment pertinentes pour être validées. Et elles ont d'ailleurs été validé par le contestataire (voir l'historique de nos travaux), avant d'y revenir on ne sait pourquoi le 09 février, avec des modifications qui n'ont pas grandi l'article, qui affiche maintenant cette triste mine. Alors que celle-ci était meilleure, et aurait été parfaite sans les bandeaux injustifiées. Il ne restait plus qu'à requalifier le grand titre. Merci de votre attention. --Morgoko (discuter) 10 février 2017 à 12:57 (CET)Répondre

Bonjour au lecteur,

J'ai revu mon texte en considération des précédentes remarques et l'ai inséré sous forme de sous-section ("Tendances actuelles"). Je reste ouverte à toute remarque ou suggestion constructive si besoin. Cordialement. Merci. --Morgoko (discuter) 11 février 2017 à 00:21 (CET)Répondre

Demande de retrait du bandeau de la section "Tendances actuelles" modifier

Bonjour au lecteur

J’ai ajouté quelques nouvelles références à la section « Tendances actuelles », et j’estime à mon humble avis que le bandeau apposé au-dessus de ce texte n’est plus justifié.

Démonstration : Au plus haut de cette page de discussion, lors de la pose dudit bandeau, les raisons suivantes avaient été évoquées :


1-« Le motif en est assez simple, le texte et ses sources ne traitent que du Cameroun récent et pas de l'évolution de la littérature et surtout, pas du reste du sous-continent. »


Réponse : la nouvelle présentation du texte fait que cet argument ne tient plus. Les sources sont maintenant de divers pays, et l’intitulé ayant changé, le reproche de ne pas traiter de « l’évolution de la littérature » ne tient plus également. Le texte s’intitule maintenant « Tendances actuelles » et fait ressortir sources à l’appui qu’il y a depuis le début de la décennie un engouement accru pour la littérature en Afrique noire francophone, qui se manifeste par une multiplicité d’initiatives et de concours littéraires. Et que sur le plan de l’écriture on note, avec des références fiables, la présence d’une écriture rebelle (peu conformiste) ; deux ouvrages sont cités en guise d'illustration.


2-« Les bornes temporelles ne sont pas non plus fixées. On ne sait pas de quelle période il s’agit. »


Réponse : Nous savons maintenant qu’il s’agit de la décennie en cours : 2010 - …


3-« Il y a trois sources : l'une, de mondesfrancophones, ne traite que de la littérature camerounaise, les deux autres renvoient vers des informations concernant le prix Grands prix des associations littéraires décerné depuis 2013. Sans compter qu'il avait été encore mentionné deux autres fois dans des ref qui ne sont pas des sources. Je passe donc sur l'aspect "promotionnel" que cela pourrait laisser transparaître. »


Réponse : la partie introductive du texte qui était sourcée par « mondesfrancophones » a été supprimée, la source avec. Les ouvrages cités en exemple ayant été primés aux GPAL, il paraît normal que les infos s’y rapportant puissent éventuellement renvoyer aux GPAL. Tout comme plus haut quelque part dans l'article, un rédacteur a cru bon de mentionner un prix littéraire français en parlant de René Maran. Un prix littéraire africain qui de plus en plus fait référence sur le continent devrait lui aussi avoir droit de cité sur cette page, du moment que sa mention ne paraît pas intruse dans le texte, ce qui n’est pas le cas, et que la section en question est consacrée à la période qui l’a vu naître.


4- « Quant aux auteurs cités dans le §, Fiston Mwanza Mujila et Eric Mendi, aucune source n'affirme qu'ils sont représentatifs d'une évolution de la littérature du sous-continent. Le choix parait totalement arbitraire. »


Réponse : Le texte n’affirme nulle part que les deux auteurs en question sont « représentatifs d’une évolution de la littérature… » ; on parle de la présence d’une écriture à tendance peu conformiste, et l’on cite sources à l’appui deux ouvrages qui méritent de l’être pour avoir été portés par divers prix littéraires et suscité diverses critiques parmi les gendelettres. Le choix n’est donc pas arbitraire. Il y a bien d’autres jeunes auteurs qu’on aurait pu citer dans ce registre, mais ils n’ont pas des références aussi considérables que celles des deux romanciers qui ont bénéficié de notre choix.


En conclusion, la demande de retrait du bandeau qui se trouve au-dessus de la section « Tendances actuelles » me paraît tout à fait justifiée, et j’espère qu’elle trouvera un écho favorable.


Merci de votre attention.

--Morgoko (discuter) 12 février 2017 à 00:12 (CET)Répondre

Bonjour, j'ai posé le bandeau, je m'autorise donc à intervenir.
 
Quelques réflexions, pour le plus important.
 
La tendance "non-conformiste" de l'écriture africaine est présente dès Kourouma en 1968, dit une source « Kourouma [...], en bousculant la prosodie du français classique, en la modulant à sa guise, a montré le chemin d’une réinvention totale de la langue. Le ton est désormais donné. » Tirthankar Chanda, « Les indépendances au miroir des littératures africaines », RFI, . Une autre dit, dans un colloque international : « Abordant l’évolution des techniques scripturales dans le roman africain, le communicant relève que celle-ci est partie du modèle de roman à la balzacienne pour effacer, les dernières années, c’est-à-dire, à partir de 1967, les balises du roman traditionnel en les rendant floues » (Colloque 2005, p. 764). Donc attribuer cette tendance à la décennie 2010 alors que ça fait 50 ans que ça dure...
 
Quant à Fiston Mwanza Mujila et Eric Mendi « il y a bien d’autres jeunes auteurs qu’on aurait pu citer » est-il dit ; démonstration assumée de choix arbitraire par excellence, non ? car ce choix est celui de la rédactrice, pas d'une source. La rédactrice s'appuie sur la notoriété (supposée) d'un prix littéraire qui n'existe que depuis 2013... Au demeurant, il n'est pas sourcé que ce prix reconnait particulièrement des écritures novatrices. Donc s'ils ne sont pas représentatifs d'une tendance littéraire et pas présentés comme tels que font-ils là ? Ils sont lauréats d'un prix ultra-récent, et donc l'impression de vouloir promouvoir un prix en particulier et ses lauréats me semble attestée.
Surtout que la proposition d'utiliser une source qui a le malheur de ne pas citer le GPAL a reçu une fin de non recevoir avec une justification qui me semble être une démonstration canonique de POV-pushing revendiqué : « une source de RFI qui pour ma part ne convient pas à la réalité que je voudrais mettre en exergue » (le souligné est de mon fait)... D'où, sans doute, la volonté de vouloir s'appuyer sur des sources spécifiques en ignorant ce que peut en dire le reste du monde.
 
J'ajoute que l'argumentation se contredit : « la présence d’une écriture rebelle (peu conformiste) ; deux ouvrages sont cités en guise d'illustration. » Ils sont cités en guise d'illustration mais ils ne sont pas représentatifs ? Hum, faudrait savoir...
 
Malgré les améliorations alléguées, le fond n'est donc pas traité concernant la suppression du bandeau.
 
Apparté : précisons, s'il en est besoin, que je souhaite le meilleur possible aux deux écrivains cités en particulier et à tous les écrivains africains en général, que j’appelle de mes vœux à ce que les prix littéraires africains deviennent aussi importants et notoires que leurs homologues hexagonaux ; en attendant, il ne faut pas extrapoler ni s'exonérer des sources.
 
Apparté 2 : il ne faut pas faire du style non plus AMHA ; le style encyclopédique par excellence c'est le présent de narration ou de vérité générale, bien factuel, bien plat, ça évite d'inventer des formules qualificatives qui ne sont employées par aucune source. Par exemple "écriture rebelle" c'est sourcé ?
 
Apparté 3 : l'argumentation de Morgoko (d · c · b) au sujet de Mabanckou me laisse perplexe pour d'autres raisons ; il était présélectionné au GPAL, et il n'a pas eu le prix... Sembler vouloir déligitimer ad hominem une source sur des motifs pareils me surprend, d'autant que la source est signée du journaliste, pas de l'écrivain. Mabanckou a tenu pour l’année 2015-2016 la chaire de création artistique du Collège de France, c'est pour ça qu'on en parle sur RFI. La guerre des prix et des gendelettres n'épargne donc pas l'Afrique ? L'argumentation est personnelle et personnalisé : « la pensée qui voudrait que Mabanckou soit un chef de file de l'actuelle littérature africaine est discutable » ; on peut discuter de tout, mais sources à l'appui. On pourrait en dire autant des auteurs choisis, ce choix "est discutable", s'il s'agit d'un avis personnel.
 
Apparté 4 : déwikifier un texte sous prétexte qu'il l'a été par quelqu'un avec qui on est en bisbille est non-collaboratif. La manière qu'a Morgoko de citer ses sources n'est pas conforme à la norme wikipédienne ; un texte qui a été simplement conformé, donc sans changer le moindrement le sens du propos, s'est vu remplacé par le précédent, non conformé, c'est dommage.
Cordialement — Barada-nikto (discuter) 12 février 2017 à 12:37 (CET)Répondre


Bonjour monsieur,


Et merci pour ces éclairages.


Je souhaite que nous avancions, cela suppose que de part et d’autre nous fassions montre de compréhension. Je retiens que sur les quatre points initiaux, il y en a encore deux principales qui demandent qu’on s’y attarde. D’abord, il faudrait peut-être revenir sur les mots pour ce qui est d’une « espèce d’écriture rebelle », puisque l’expression par laquelle j’ai voulu traduire (« peu conformiste ») prête à confusion, ayant déjà utilisée dans la période que vous évoquez, et à vrai dire pas à proprement parler indicative de ce que j’ai voulu laisser entendre. Car les deux livres cités vont bien au-delà des points traitées par le colloque auquel vous faites référence. On s’est permis de dire qu’ils sont peu respectueux de la morale et de la décence, pour reprendre en d’autres mots ce qu’on peut lire dans certaines sources de notre texte. Aussi, avec l’espoir que cela puisse nous départager, je propose que l’on revienne sur la principale phrase concernées, et qu’on la reformule ainsi :


« Sur le plan des thématiques d’écriture, certains auteurs de la nouvelle génération semblent de moins en moins légataires du style correct et consciencieux qui préoccupait leurs aînés. »


Pour ce qui est du choix porté sur Fiston Mwanza et Eric Mendi, j’ai expliqué dans le précédent argumentaire qu’ils étaient cités ici parce qu’ils avaient eu le « malheur » d’être les auteurs de deux ouvrages qui ont fait l’objet sources à l’appui de diverses polémiques concernant la thématique évoquée. Ce qui n’est pas le cas pour d’autres jeunes écrivains qui font dans ce registre, sauf le respect qui leur est dû. Pour ce qui est des GPAL, ce prix littéraire qui date de 2013, donc de la période concernée dans notre section (Tendances actuelles), est aujourd’hui l’une des fiertés de la littérature africaine. Ce n’est bien évidemment pas une raison suffisante ; donc nous retiendrons qu’il est mentionné ici comme un des projets littéraires digne d’intérêt lancé en Afrique dans la décennie en cours (indiqué non pas dans le texte mais dans la référence 33), mais aussi un prix qui a contribué à révéler les deux auteurs suscités (mentionné cette fois dans la dernière phrase du texte).


Mais encore, je suggère donc, si vous tenez à ce que nous parlions moins des GPAL dans ce texte, que nous ne le citions qu’une fois, et je vous prie de m’indiquer quelle mention vous paraîtrait acceptable ; ou même, si tel est le prix à payer pour le retrait du bandeau, que nous n’en parlions pas du tout dans cette section. Dans ce dernier cas, vous voudriez bien me permettre d’aller revoir le texte dans ce but et de le soumettre à votre appréciation. Je reste à votre écoute pour que l’on trouve un terrain d’entente.


Aparté : sur votre propos : « La guerre des prix et des gendelettres n'épargne donc pas l'Afrique ? » Vous avez peut-être raison, mais il y a surtout que l’Afrique commence à comprendre qu’elle gagnerait à avoir ses propres "machines littéraires", ses propres « géniomètres » en matière de littérature. Car voyez-vous, jusqu’ici, nous devions attendre que depuis la France, (où l’on ne connaît principalement que les auteurs africains de la diaspora, ou du moins ayant été édités en France), l’on nous dise quel auteur africain écrit bien, au détriment des auteurs locaux, qui pourtant à chances égales auraient peut-être fait mieux.

Pour revenir à la source dont vous parlez, j’ai expliqué plus haut pourquoi elle ne convenait pas à ma thématique. Maintenant, si vous avez une minute, je vous recommande cet article.

Dans l'espoir d'une collaboration constructive, je reste en attente de votre réponse.

Cordialement.

--Morgoko (discuter) 12 février 2017 à 14:36 (CET)Répondre


Je vous reviens, monsieur, avec votre permission.

N'ayant rien à faire de ma soirée, j'ai été modifier le texte en considération de vos observations. Vous constaterez que les phrases ont été revues, je l'espère, selon vos remarques. D'autres ont été supprimées. Il n' y a plus "d'écriture rebelle" mais une formule certes plus longue mais un peu plus explicite. Il n'y a plus dans le texte de "GPAL", de Fiston Mwanza ou encore d'Eric Mendi, mais seulement dans les références. Je suggère, si vous êtes d'accord pour le retrait de l'actuel bandeau, que vous y mettiez le transparent, pour indiquer que tout ajout supplémentaire serait le bienvenu. Voici la version revue de la section Tendances actuelles.

Merci de me faire part de votre appréciation.

--Morgoko (discuter) 12 février 2017 à 23:48 (CET)Répondre

Bonjour, à titre personnel je regarde cela dans les meilleurs délais, sachant bien sûr que d'autres sont susceptibles d'intervenir. Mais d'abord, je me propose de conformer le texte. Rien que la forme, promis, pour qu'elle soit plus proche de la pratique wikipédienne standard. En l'état, il y a presque autant de texte dans les notes que dans le corps du paragraphe... Cordialement — Barada-nikto (discuter) 13 février 2017 à 10:58 (CET)Répondre
Bon, c'est fait...
« Il n'y a plus dans le texte de "GPAL", de Fiston Mwanza ou encore d'Eric Mendi, mais seulement dans les références. » Effectivement, la conformation permet de remonter le GPAL, Fiston Mwanza et Eric Mendi dans le texte. Autrement dit rien n'a changé... En note (ce ne sont pas des références, nuance) ou dans le corps de texte ça ne change rien, si ce n'est pas pertinent dans le texte, ça ne l'est pas plus en note... Je ne comprends pas très bien ce que vous avez voulu faire, je vous l'avoue.
En plus, en l'état, je disconviens de voir écrire que l'édition africaine francophone croît en nombre grâce aux livres électroniques, les sources ne disent pas cela... La citation d'Awono, que vous faites, ne permet de déduire cela. Une autre source, apportée par vous, dit que l'Harmattan a gagné la confiance de la « Banque mondiale, la BCEAO, le CONFEMEN, l’ANSD, l’Université Gaston Berger, la Direction de la microfinance, le CODESRIA », nobles institutions certes, mais peu suspectes cependant de faire dans la littérature. La même source dit « tous ses ouvrages [ceux de l'Harmattan-Sénégal] sont disponibles en E-book (format électronique) et peuvent être achetés sur tous les sites internet de vente de livres au monde », ce qui est très bien, mais ne source pas une croissance, et pour cause, il n'y a pas le moindre chiffre, de la production éditoriale, sans parler de la généraliser à l'ensemble de l'aire francophone. Au mieux ça permet de sourcer que des e-books sont désormais disponibles dans le monde entier grâce à l'Harmattan-Sénégal (ce qui est très bien).
Cordialement — Barada-nikto (discuter) 13 février 2017 à 15:05 (CET)Répondre

Autres pistes ... modifier

Bonjour,

Même si je ne dis rien, je vous lis avec attention :-)

Quelques suggestions : le rôle des diasporas ; les nouveaux thèmes ; l'édition africaine et ses problèmes ; les salons du livre ; la littérature jeunesse ; le polar ; la BD. Tout ça mériterait des articles à part entière, mais là un petit § peut suffire, juste pour mémoire et pour structurer l'ensemble, en attendant de peaufiner. On est bien d'accord que c'est un sujet difficile...

À suivre,

Ji-Elle (discuter) 13 février 2017 à 14:10 (CET)Répondre

Suggestion de méthode modifier

À mon tour de faire quelques suggestions. Serait-il possible de faire une liste méthodique des points et des sources sur lesquels nous sommes d'accord ou pas, ça donnerait un ton plus positif aux échanges... quitte à s'occuper des formulation ultérieurement ? Du coup je sépare le texte en paragraphes ça sera plus simple (mais on pourra y revenir ultérieurement).

Ainsi,

En amont :

  1. La rupture "stylistique" dans la littérature africaine est due à Kourouma à la fin des années 1960 ; le Flaubert africain c'est Kourouma, qui rompt avec l'écriture classique comme Flaubert en son temps rompt avec l'écriture balzacienne et c'est le précurseur d'un mouvement qui commence en 1967 avec les soleils des indépendances. « Le grand tournant s’est produit, au début des années 1970, explique l’Africaniste Florence Paravy. La première tendance était le roman d’inspiration réaliste. Cette littérature naissante s’est inspirée des modèles français dominants du XIXe siècle. Et puis à partir des années 1970, avec des auteurs tels que Kourouma, Sony Labou Tansi et d’autres, on a vu jaillir de nouvelles écritures singulières, sans doute influencées davantage par la littérature latino-américaine. »
    Comme source, nous avons Les indépendances au miroir des littératures africaines sur le site de RFI (la référence n° 31) ainsi que Tirthankar Chanda, « Littérature africaine : de la négritude à l'« écritude » avec Alain Mabanckou », RFI, et nous pourrions avoir ceci : LES SOLEILS DES INDEPENDANCES » ET L’AUTHENTICITE ROMANESQUE, par Evelyne Lavergne, Ethiopiques numéro 39, 4e trimestre 1984, Nouvelle Série volume II et cela : MONNE, OUTRAGES ET DEFIS, LES SOLEILS DES INDEPENDANCES OU LA POETIQUE DE LA DECONSTRUCTION ET DE LA RECONSTRUCTION CULTURELLES, Par Idrissa WATTARA, Ethiopiques n°87, 2ème semestre 2011
  2. Il y a un engouement quant à la littérature, dans les années 2010, avec le renouveau des prix littéraires et les salons en afrique. Ce serait le texte actuel du premier §, avec ses sources.
  3. Sauf sources adéquates, on ne peut pas prétendre qu'il y a un accroissement global dans l'aire francophone de la production littéraire en quantité.
  4. Sauf source adéquate, on ne peut prétendre qu'il y a une nouvelle génération d'écrivain qui rompte stylistiquement avec le classicisme puisque ça a déjà commencé à la fin des années 60 si nous sommes d'accord sur l'amont. Si une source fait le lien avec les auteurs cités (ou d'autres) et le courant inauguré par Kourouma, alors on pourra le dire.
  5. Sauf source adéquate, on ne peut prétendre qu'il y a une nouvelle génération d'écrivains dont Mujila et Menji seraient les chefs de file. En gros, nul ne nie que Tram 83 ou Opération Obama soient excellents, voire des chefs-d'œuvre, mais on ne peut faire de leurs thématiques une tendance littéraire globale donc a fortiori des chefs de file.
    Les sources pour une période aussi récente vont, de plus être rarissimes. Si je prends Mamadou Kalidou Ba, Nouvelles tendances du roman africain francophone contemporain (1990-2010) : de la narration de la violence à la violence narrative, L'Harmattan, (dont il y a aussi une recension ici Jean-François Plamondon, « Mamadou Kalidou Ba, Nouvelles tendances du roman africain francophone contemporain (1990-2010). De la narration de la violence à la violence narrative », Studi Francesi, no 173,‎ (lire en ligne)), qui traite de la période considérée, le roman africain contemporain ultra-récent parle de la violence. Kesteloot, pour la période 1995-2012, (ref. 32 ici), parle, de même, de littérature de la violence et du chaos, mais aussi du courant de l'humour distancié et d'un troisième courant, qui me parait être celui, si je comprends bien, auquel se rattache les auteurs que vous citez (avis purement perso), des écrivains "négropolitains" (sic).

Pour élargir le propos, comme le suggère Ji-Elle (d · c · b), on peut noter par ailleurs qu'on voit, à partir de 1980-2000, « l’avènement des écrivains féminins  » (Kesteloot 2012), qu'il serait sans doute intéressant de traiter (avec source à l'appui bien sûr).

Cordialement — Barada-nikto (discuter) 13 février 2017 à 16:50 (CET)Répondre

Merci Barada-nikto, pour la nouvelle présentation. J'ai fait quelques petites modifications. je vois plus haut qu'il y a de nombreuses pistes suggérées; le chantier est bien vaste, alors pourquoi ne commençons-nous pas par liquider ce petit paragraphe. Que l'on supprime ce qui doit l'être si besoin; pour moi, c'est ce bandeau rouge qui ne fait pas bonne impression pour le lecteur qu'on devrait commencer par ôter.

Cordialement.

--Morgoko (discuter) 13 février 2017 à 17:45 (CET)Répondre

OK, mais du coup il ne restera que le premier paragraphe, nous sommes d'accord ? — Barada-nikto (discuter) 13 février 2017 à 17:50 (CET)Répondre

Bonsoir

Je ne dirais pas que je suis d'accord; j'estime que les jeunes auteurs, s'ils sont suffisamment remarqués par les gendelettres, ont un certain droit à la visibilité, fût-ce même dans une encyclopédie. Mais si vous estimez que le sacrifice de Fiston Mwanza Mujila et d'Eric Mendi est le prix à payer pour supprimer ce bandeau rouge, eh bien soit! Nous laisserons aux lecteurs qui auront la curiosité de venir sur cette page de discussion le soin de tirer leurs propres conclusions. Moi, j'espère que l'histoire de l'art retiendra que j'aurai fait ma part pour leur rendre hommage, fût-ce même précocement.

Cordialement.

--Morgoko (discuter) 13 février 2017 à 21:44 (CET)Répondre

Un poil grandiloquent, les auteurs sacrifiés au dieu Baal de l'encyclopédisme (forcément, Afrique + Flaubert, ça m'évoque Salammbô)... Quant à moi, l'histoire de l’encyclopédisme retiendra que j'ai fait rempart de mon corps pour laisser pur le temple du savoir neutre quoique libre. Cordialement — Barada-nikto (discuter) 14 février 2017 à 10:43 (CET)Répondre


Ah oui, la littérature "impure" devra encore attendre. Merci pour le retrait du bandeau, et pour le débat. On sort toujours gagnant d'une discussion littéraire. Cordialement. --Morgoko (discuter) 14 février 2017 à 11:37 (CET)Répondre

épuré des tentatives promotionnelles... — Barada-nikto (discuter) 14 février 2017 à 11:51 (CET)Répondre

Pour sortir de ce débat modifier

Permettez que je re-justifie mon désaccord, cher monsieur.

Les sources qui ont été fournies étaient suffisamment éloquentes. Que fallait-il sourcer?

1- que paraissent aujourd'hui en Afrique des ouvrages peu conformistes aux contenus jugés indécents; des sources fiables ont-elles été fournies à cet effet? Oui, et les re-voici: "des personnages aux comportements déshonorants qui finissent par triompher, au risque d'ériger certaines meurs indécentes comme normes sociales" (Source); "pour les inconditionnels de la bonne vieille et pudique littérature, Fiston Mwanza Mujila devrait se mettre à l'abri de son inspiration" (Source); ou encore "Tram 83 is a real pandemonium, a place where sexual exploitation coexists with hedonism, artistic creativity, and the emergence of new ways of making society.", in Sex, beer, and Ndombolo: an interview with Mwanza Mujila. Source: africasacountry.com. (Pour revenir à la comparaison faite quelque part plus haut, je n'ai peut-être pas lu le bon livre, mais je ne me souviens pas avoir lu des passages aussi "osées" que ceux que l'on trouve dans les ouvrages en question ici dans un livre de Kourouma).

2- il fallait apporter des sources à la déclaration selon laquelle ces ouvrages peuvent s'avérer intéressants du point de vue artistique lorsqu'ils sont réussis. L'avons-nous fait, oui! et en re-voici les sources: Opération Obama, le livre d'Eric Mendi qui peut être cité dans ce registre a fait l'objet d'une lettre de félicitations du professeur Jacques Fame Ndongo, écrivain et ministre de l'enseignement supérieur, qui a qualifié l'écriture du jeune auteur de "pétulante et porteuse de promesses" (voir un extrait dans la coupure de presse); d'après un article paru dans le quotidien Mutations du mardi 06 novembre 2012 et signé du journaliste Jacques Kaldaoussa, Opération Obama est un "véritable chef-d'oeuvre littéraire"; enfin, le livre a été plébiscite lauréat aux Gpal avec un score de sept voix sur dix. Source: camer.be; Tram 83 pour sa part a été honoré de plusieurs distinctions dont voici quelques-unes listées sur le site de son éditeur: Métailié.

Nous aurions pu encore aller plus loin, citer des avis de votre Mabanckou collégien de France, préfacier de Tram 83 (au passage, Fiston Mwanza a fait mieux que lui au Man Booker Prize 2015); et nous vous aurions peut-être fait sursauter, en vous apprenant que lors de son interview à "France 24" pour la promotion de son livre Petit piment, Alain Mabankou a fait une allusion claire et sans équivoque à un passage d'Opération Obama, notamment lorsqu'il parle de "l'eau de Javel...". Mais on peut comprendre pourquoi il n'a cité ni l'auteur, ni le livre : on aurait pu le lui faire payer à la caisse...

Voilà, je tenais à lever tout équivoque, pour les éventuels lecteurs de cette page de discussion qui voudraient jouer les arbitres.

Encore merci pour le débat.

--Morgoko (discuter) 14 février 2017 à 16:42 (CET)Répondre

C'est moi, cher Monsieur ? Je me méfie, ça me vaut une requête aux administrateurs quand ça commence comme ça... Je signale aux potentiels lecteurs arbitres que ma dernière proposition était de nature méthodologique. Mais on m'a dit, allez-y, supprimez. J'ai même redemandé êtes-vous sûre ?, on m'a dit oui (du bout des lèvres, il est vrai).
La tentative de déligitimation ad hominem se poursuit. Comment ne pas croire que vous ne voulez voir que ces deux auteurs en particulier puisque vous refusez d'en citer d'autres... Alors même que vous dites que cela aurait été possible ? Que les bouquins soient bons, personne ne l'a contesté, c'est se défendre contre une attaque qui n'a pas eu lieu. Qu'ils soient représentatifs de la tendance actuelle de la littérature à tel point qu'ils doivent être les seuls à être cités, est une autre affaire. Cordialement Barada-nikto (discuter) 14 février 2017 à 18:43 (CET)Répondre

Je me rends compte que vous n'avez peut-être pas envisagé la question à sens inverse: c'est-à-dire "pourquoi pas eux?"... Pour ma part il me semble avoir donné les raisons pour lesquelles j'avais estimé sources à l'appui que ces deux jeunes auteurs étaient les plus à mêmes d'être cités pour illustrer ce texte. A la rigueur j'aurais pu comprendre que vous exigiez de moi que j'allonge la liste; des noms, j'aurais pu en fournir tout de suite, mais il eût fallu trouver des sources pour rendre leur mention crédible. Pour les deux premiers noms cela m'a pris un certain temps, trouver des sources. Vous auriez donc pu, à la limite, apposer un bandeau transparent, appelant à diverses contributions pour compléter le texte; au lieu de quoi, vous avez placé ce bandeau rouge qui m'a découragée. Cette section aurait certainement pu être l'une des meilleures de cet article, si nous nous étions montrés de part et d'autre plus coopérants. Cordialement.

--Morgoko (discuter) 14 février 2017 à 21:30 (CET)Répondre

Sources modifier

  • Alain Joseph Sissao, « Dehon, Claire L. — Le réalisme africain. Le roman francophone en Afrique subsaharienne » (recension), Cahiers d’études africaines, no 183,‎ , p. 647-649 (lire en ligne).
    Je dépose ça là, pas le temps de m'en occuper tout de suite. — Barada-nikto (discuter) 16 février 2017 à 14:32 (CET)Répondre
  • Salomon Ramcy N. Kanuya, Les nouvelles écritures de violence en littérature africaine francophone. Les enjeux d'une mutation depuis 1980, Université de Lorraine, (lire en ligne)
  • Richard Oko Ajah (Université d'Uyo, Nigéria), « Modes de transgression : l'écriture francophone africaine et les tendances de la théorie postcoloniale », Recherches en langue et littérature française, Université de Tabriz, vol. 8, no 13,‎ , p. 1-24 (lire en ligne)
  • Jules Michelet Mambi Magnack, Littérature postcoloniale et esthétique de la folie et de la violence : une lecture de neuf romans africains francophones et anglophones de la période post-indépendance (thèse de DEA), Université Jean Monnet - Saint-Étienne ; Université de Yaoundé I, (lire en ligne) — Idem Kesteloot 2012, litérature du chaos et de la violence ; « structures narratives éclatées et fragmentées, langues d’écriture (français et anglais) subverties par les langues africaines, thématique nourrie par la violence et la folie… Les auteurs de ces textes ont pris l’option de mettre en scène des personnages présentant des symptômes de la maladie mentale, la violence extrême –génocides, guerres civiles–, régimes dictatoriaux tenus par des élites inconscientes qui exercent sur les populations une violence structurelle. Bref, ces textes nous plongent dans un univers véritablement chaotique, tant dans leur contenu que dans leur esthétique. »
  • Denis Brahimi (éd.), « Pierre Loti du roman exotique au roman colonial », dans Martine Mathieu, Le Roman colonial, Paris, L'Harmattan & Université Paris XIII (Centre d'études francophones), coll. « Itinéraires et contacts de culture » (no 7), , p. 15-28

Début désastreux modifier

La littérature africaine, et principalement la littérature subsaharienne, a la spécificité de se nourrir abondamment de l'oralité. Elle aborde les thèmes de la civilisation africaine, de ses mœurs, ses cultures de ses pratiques ; bref elle est le reflet ou l'image de l'Afrique ancestrale.. La littérature écrite, bien que ne datant pas des indépendances, s'est énormément développée depuis. Orale ou pas, « reflet ou l'image de l'Afrique ancestrale » est un stéréotype éculé : les épopées, les contes ou autre oeuvres littéraires orales évoquent des thèmes spécifiques, des traits d'histoire locale, des légendes ou des problèmes de la vie courante. Bref, RI à revoir, ainsi que le portail idoine. Zythème Paroles dégelées 6 mai 2019 à 12:18 (CEST)Répondre

Tout à fait d'accord. Ypirétis (discuter) 6 mai 2019 à 12:32 (CEST)Répondre

Palette ? modifier

Bonjour,

Indépendamment des questions de fond, je suis troublée par les annexes qui semblent donner une liste de liens vers les littératures nationales, en réalité il s'agit le plus souvent d'articles sur la culture : [1]. Certes ça fait illusion, mais pas longtemps dès qu'on clique, et ça ne fait pas apparaître les besoins. Une palette ne serait-elle pas plus fonctionnelle et pertinente ? Voir l'existant [2]. Bien sûr les littératures ne suivent pas les frontières, mais les langues ou les religions non plus. Qu'en pensez-vous ?

Meilleurs vœux par la même occasion.

Ji-Elle (discuter) 6 janvier 2020 à 06:25 (CET)Répondre

Kekchozkomssa ?
Cordialement --Ypirétis (discuter) 6 janvier 2020 à 09:09 (CET)Répondre
Voui. Merci. C'est suffisamment important pour qu'on prenne le temps de la réflexion et ça pourra évoluer. OK en tout cas pour la distinction entre pays et langues.
Pour les pays, je serais plutôt d'avis, au moins à titre d'essai, de retirer les redirections vers Cultures ou Listes, pour qu'on y voie clair. Où sont les lacunes ? Que faudrait-il créer, ne serait-ce qu'à titre d'ébauches ?
Pour les langues, ça pose la question des langues africaines, comment gérer ça ?
À votre écoute, Ji-Elle (discuter) 6 janvier 2020 à 09:56 (CET)Répondre
Corrigé les redirections. Ypirétis (discuter) 7 janvier 2020 à 10:46 (CET)Répondre
Super, merci beaucoup Ypirétis ! Évidemment il y a beaucoup de rouge, mais au moins on a une meilleure idée. Pour un certain nombre, je pourrais imaginer de rechercher une phrase d'introduction bateau, de mettre quelques liens, dont Culture de... , une bibliographie (ça, je le ferai volontiers), un lien interwiki le cas échéant. -- Ji-Elle (discuter) 7 janvier 2020 à 11:45 (CET)Répondre
Je vais essayer de faire une ébauche pour la littérature guinéenne aujourd'hui. Ji-Elle (discuter) 7 janvier 2020 à 12:08 (CET)Répondre

en vrac :

  • Xavier Luffin, « Panorama de la littérature soudanaise contemporaine », Études littéraires africaines, no 28,‎ , p. 12–15 (DOI 10.7202/1028789ar)
Merci. On peut mettre la palette dans les articles existants ? À propos, je me demandais si Littérature réunionnaise avait sa place dans les pays ? Ji-Elle (discuter) 7 janvier 2020 à 18:06 (CET)Répondre
À ce stade, mettre la palette me semble prématuré. Trop grosse pour trop de liens rouges. Ypirétis (discuter) 7 janvier 2020 à 18:28 (CET)Répondre
OK. Reste plus qu'à bleuir ... Comme j'ai fait récemment Tchiloli, je ferai demain Littérature santoméenne, Littérature capverdienne et Littérature bissaoguinéenne. -- Ji-Elle (discuter) 7 janvier 2020 à 19:01 (CET)Répondre
  --Ypirétis (discuter) 9 janvier 2020 à 11:20 (CET)Répondre

Chouette initiative. On pourra encourager les amateurs de concours lors du Mois africain s'il reste des liens rouges et des ébauches d'ici là. J'en profite pour signaler une incohérence sur la nationalité de Boniface Mongo-Mboussa : l'article le présente comme écrivain congolais : l'infobox comme français. Peut-être a-t-il la double ? Zythème Paroles dégelées 9 janvier 2020 à 12:21 (CET)Répondre

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