Discussion:Franc-maçonnerie à Bordeaux

Dernier commentaire : il y a 9 ans par Langladure dans le sujet Théâtre et symboles
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Je souhaiterai établir un lien avec l'article Les Arts et l'Amitié puisque la loge mère de l'objet de mon étude est l'atelier éponyme bordelais.

Jérôme— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Jp orateur (discuter), le 9 mars 2015 à 16:29 (CET)Répondre

Théâtre et symboles

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Déplacement de cette contribution, les "neufs sœurs" n'étant pas un symbole maçonnique, leur interprétation comme tel ne peut rendre conditionnelle l'affirmation sourcée qui la précède. Cordialement. -- KAPour les intimes 3 juillet 2015 à 07:55 (CEST)Répondre

Par contre, l'écrivaine Florence Mothe mentionne les différents symboles maçonniques du Grand Théâtre. Ainsi les neufs sœurs dominent la façade, un oculus zénithal éclaire la cage d'escalier avec douze oculus latéraux en référence à la course du soleil dans les douze signes du zodiaque[1].

Concernant la pertinence des sources, l'écrivaine Florence Mothe, a reçu le Grand Prix de l'institut maçonnique de France pour son ouvrage Lieux symboliques en Gironde , Trois siècles de franc-maçonnerie à Bordeaux, c'est pourquoi, j'ai utilisé cette auteure comme source. Je n'ai pas d'avis personnel sur le sujet. J'envisage de poser la question de la pertinence de cette source sur le portail FM. [2].
  1. Florence Mothe Lieux symboliques en Gironde, Trois siècles de Franc-maçonnerie à Bordeaux
  2. Un prix à Florence Mothe Sud Ouest, 27 novembre 2013
  3. Langladure (discuter) 3 juillet 2015 à 16:39 (CEST)Répondre

    J'abandonne cette idée de consulter le portail FM, puisque vous y êtes le principal contributeurs pour l'instant. Cordialement. Langladure (discuter) 3 juillet 2015 à 19:09 (CEST)Répondre
    Bonjour,   Langladure :. La question n'est pas tant sur la qualité de la source qui est tout à fait valide (a mon avis), que des choix rédactionnels et de l'exemple choisi. Selon WP:NPOV deux points de vue différents peuvent se côtoyer sans problèmes, sans que l'un modifie l’intention rédactionnelle de l’autre. D'autre part l’exemple choisi n’est pas le bon, comme je vous l’ai dit sur la PdD perso, les "neufs sœurs" (les muses) ne représentent aucun symboles maçonniques de l'histoire de la FM ni des rites connues, hormis le nom d'une célèbre loge. Si c'est le seul que propose l’auteur, alors on est bien dans l'interprétatif cité au-dessus. Si un ou plusieurs autres exemples sont cités dans la source, proposez le ici (si vous voulez) afin que nous étudions s'il s'avèrent être des symboles maçonniques à minima reconnus comme tel et comment intégrer cet autre point de vue et ces informations sommes toutes importantes. Cordialement.-- KAPour les intimes 3 juillet 2015 à 20:57 (CEST)Répondre
    Bonsoir, je recopierai ici, l'ensemble de l'analyse de F. Mothe. Vous déciderez de conserver ce que vous jugerez comme interressant. Sinon les deux sources ne sont pas contradictoires. La revue Historia indique « n'arbore apparemment pas de symboles spécifiquement maçonniques ». Or l'ensemble des sources indiquant la présence de symboles maçonniques semblent être des analyses et déductions. Quand aux « neuf muses », le symbole est le chiffre « neuf », du moins je suppose. Langladure (discuter) 3 juillet 2015 à 21:45 (CEST)Répondre
    Voici le texte de Florence Mothe (pages 121 à 123 de son bouquin) : « Des symboles maçonniques, le Grand Théâtre en foisonne. Les entrelacs d'amour sont figés dans la pierre, les neufs sœurs dominent la façade; au centre d'une voûte en arc de cloître, un oculus zénithal éclaire la cage d'escalier avec son cortège de douze oculus latéraux symbolisant la course du soleil dans les douze signis du zodiaque. L'architecture est à la fois minérale, par le raffinement des différentes nuances des pierres blondes, et végétale par l'usage du bois peint qui offre le plus bel écrin possible à la musique de Mozart. L'architecte est représenté deux fois lui même à l'intérieur de l'édifice. Deux représentations, l'une en marbre de Saint Béat par Amédée Jouandot, l'autre à l'huile par Jean-Baptiste Robin. Deux représentations puissamment maçonniques. Dans la première, Victor Louis glissant ses doigts dans son gilet, esquisse le geste de reconnaissance. Sur la seconde, il manie l'équerre et tient le compas. Le parcours du visiteur à l'intérieur de l'édifice tient de l'initiation car il entre par le vestibule ombreux orienté vers la place de la Comédie et chemine vers la lumière éblouissante qui illumine le grand escalier, de jour comme de nuit..... » je continuerai un peu plus tard.....Langladure (discuter) 4 juillet 2015 à 09:05 (CEST)Répondre
     
    Grand architecte
    Merci de cet éclairage qui sera suffisant à mon avis. Le lyrisme de la description est évocateur d'une interprétation personnelle du ressentie des ouvrages du bâtiment. Le romantisme qui sied habituellement au fait maçonnique, n’étant le plus souvent pas corroboré par l’analyse historique. Ceci étant la formulation utilisée sur l’article consacré au Grand Théâtre (Bordeaux) est de mon point de vue la plus juste, je la reporte ici, ce sera de mon point de vue la contribution la plus adéquate.
    Concernant les symboles décrits, juste pour info, il ne sont pas spécifique à la FM, pour la plupart excepté peut être deux d'entre eux. le "lacs d'amour" mais il faudrait en voir une photo, pour savoir s'il s’agit d'une sculpture de ceci : lacs d'amour ou une simple expression lyrique et celle de l’architecte maniant équerre et compas , même si cette représentation datant du XIIe siècle est une récupération de la FM, plus qu'un symbole qui lui est propre. Le chiffre neuf, au même titre que le 3 , 5, et 7 sont des rapports très spécifique à certains grades, qui n'ont aucunes relations avec les muses. Une esquisse de geste de reconnaissance... ou le parcours ombreux vers le lumineux relève d'un pure interprétation, les gestes de reconnaissance (selon les grades et les rites) étant multiples et l'orientation d'Est en Ouest étant un classique des constructions architecturales de cette époque. Ceci étant, vu le foisonnement de la vie maçonnique à Bordeaux (même si son objet est foncièrement différent de celui connu de nos jours) à cette époque et le financement du bâtiment, la présence de symbole maçonnique dans cette construction est très plausible et reste certainement à établir avec certitude par une étude historiographique plus approfondie. Cordialement. -- KAPour les intimes 4 juillet 2015 à 12:40 (CEST)Répondre

    Merci pour votre réponse qui me convient et vos modifications. Langladure (discuter) 4 juillet 2015 à 12:55 (CEST)Répondre

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