Discussion:Coma
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article trop hermétique?
modifierIl me semble que cet article n'est pas assez accessibles aux non-spécialistes. Les informations sont certes intéressantes et plutôt bien présentées mais le lecteur qui n'est pas étudiant en médecine et cherche simplement à se renseigner ne risque-t-il pas d'être découragé, en se trouvant trop vite plongé dans un bain technique ou les termes spécialisés se succèdent bien vite? J'ai rajouté, ce qui me semblait un manque évident, le paragraphe "définition" ou j'ai repris les grandes infos sur le coma mais ne suis pas capable d'aller plus loin. Si les contibuteurs sont d'accord avec moi ne serait-il pas possible que l'un d'entre eux, à la fois bon spécialiste et un minimum pédadogue, remanie le texte pour le rendre, sans forcément en enlevant des informations, d'un abord plus intéressant pour les néophytes qui ont aussi droit de passage sur cet article? Flanelle 28 mai 2006 à 00:54 (CET)
coma dépassé
modifier"Dans certaines conditions bien établies (pas de contre-indication médicale, pas de désaccord connu du patient ou des proches), on peut alors prélever certains des organes en vue d'une transplantation." : à ma connaissance, au niveau légal, seul le donneur peut faire opposition au don d'organe, et non pas ses proches. Mais ces derniers peuvent toujours dire que le donneur potentiel avait affirmé de son vivant être opposé à un don d'organe. En pratique, même si ce n'est pas spécifié dans les textes légaux, les équipes tiennent compte de la volonté de la proche famille.Nguyenld 4 nov 2004 à 21:32 (CET)
- Effectivement, en pratique, il est rarissime d'avoir un avis tranché du donneur potentiel (la carte de donneur d'organe est loin d'être connue du grand public) et c'est l'avis de la famille qui fait foi. D'autant plus que la lésiglation est complexe, que les accords de don sont rarement faits sans condition (cornée et cœur sont plus rarement donnés). En conséquence de quoi, la remarque me parait réintégrable au corps de l'article (avec la notion de report sur la famille en cas d'absence de consentement préalable du mourant). [[Utilisateur:Tieum|Tieuм discüter]] 4 nov 2004 à 21:41 (CET)
Devant la présence d'un article mort cérébrale bien avancé, ne peut-on pas finalement blanchir ce chapitre et mettre un lien vers cet article ? Nguyenld 6 nov 2004 à 18:17 (CET)
- Peut-on espérer voir un chapitre consacré aux personnes étant revenu d'un coma ? A ce que ces personnes ont vue, à ce qu'elles ont ressentit, enfin bref, un article sur ce thème ? --Darky 20 fev 2005 à 02:35 (CET)
Dans la série peut-on rire de tout...
modifier- 12 nov 2005 : Article Edgar Cayce : "était tombé dans le virgule" ... "cet état de virgule" (F en anglais (et dans d'autres langues germaniques, telles le néerlandais), il y a une homophonie entre :
Encore à wikifier ?
modifierBonjour à tous,
Voila j'ai modifié les liens rouges et les petits problèmes de mises en pages .
Selon vous, reste-t-il des choses à modifier sur la mise en page, ou peut-on enlever la bannière " à wikifier" ?
RM951 (d) 11 juin 2008 à 19:00 (CEST)
- Merci pour le boulot. J'ai fait quelques mises en forme de détail suppleméntaire (pas de gras dans le corps du texte) et j'ai retiré la bannière. Nguyenld (d) 11 juin 2008 à 19:57 (CEST)
- Merci, comme indiqué sur la bannière qui flotte encore en tête de cet article, il manque encore de sources et de données récentes ; utiliser par exemple Google scholar, ce devrait être assez facile. --Lamiot (d) 18 décembre 2012 à 00:17 (CET)
Coma prolongé
modifierLe cas de Martha von Bulow décédée le 7 décembre 2008 après ... 28 ans de coma suggère d'ouvrir un paragraphe consacré à ce phénomène. On pourrait y parler d'Ariel Sharon, dans le coma depuis janvier 2006, de Jean-Pierre Adams.... Et de quels autres cas ? MLL (d) 12 décembre 2008 à 16:42 (CET)
coma prolongé chez un enfant ou un adolescent
modifierje voudrais savoir si en cas de coma prolongé chez un enfant ou un adolescent le corps change. Les cheveux pousse-t-ils? La personne grandit-elle?
Section "Coma, perception et inconscient"
modifierBonjour, au sujet de cette section créée récemment, je ne crois pas que la présence de témoignages personnels soit justifiée dans ce type d'article. En effet, cela me semble manquer de sérieux (niveau de preuve proche de zéro) car entre autre potentiellement non vérifiable et accordant une importance non méritée à un point de vue non neutre. Bloubéri (discuter) 15 novembre 2015 à 14:06 (CET)
Des témoignages ont été rapportés sur les états d’inconscience pendant des comas, parmi les plus notables, celui de l’écrivain Philippe Labro, qui décrit, dans La Traversée une perception déformée de l’environnement médical qui l’entourait, et celui de la psychanalyste Diane Chauvelot, dans 47 jours hors la vie, hors la mort : Le coma, un voyage dans l'inconscient[1] qui décrit une expérience semblable, et qui la théorise à l’aide de la psychanalyse[2],[3], elle parle à ce sujet d'un inconscient « délié », « à ciel ouvert »[4].
- Diane Chauvelot, 47 jours hors la vie, hors la mort : Le coma, un voyage dans l'inconscient, Paris, Albin Michel, 1998, (ISBN 978-2226079824)
- « Voir la mort et revenir : Au-delà du jugement », sur Psychologies.com (consulté le )
- (en) François Cohadon, Sortir du coma, Odile Jacob, , 77–79 p. (ISBN 978-2-7381-0877-7, lire en ligne)
- Philippe Spoljar, « Aux confins de la subjectivité : les résurgences de l'originaire en réanimation », Champ psy, L’Esprit du temps, vol. no 34, no 2, , p. 93-107 (DOI 10.3917/cpsy.034.0093, résumé)
Je viens donc de retirer cette section. Bloubéri (discuter) 23 novembre 2015 à 19:00 (CET)
- Tout cela est appuyé sur une source secondaire de François Cohadon, neurochirurgien, (entre autres) directeur du laboratoire de Neurochirurgie expérimentale et Neurobiologie (Unité associée CNRS 1978-1990), président du "Research Committe de l'European Association of Neurosurgical Societies" (1983-1987), membre du comité directeur de la société de Neurochirurgie de langue française (1983-1988) [1] : « Des observations comparables peuvent être recueillies chaque jour dans les services de réanimation. Phillipe Labro et Diane Chauvelot, l’un et l’autre, à des titres différents spécialistes du langage, ont mis en forme et rendu accessible leur aventure psychique éprouvante, leur témoignage est irremplaçable ». Je rétablis le passage en conséquence. En revanche, on peut parler d'un coma neuro-sédatif, comme l’avance Cohadon (bien que dans le cas de Chauvelot, il n'en sache rien mais bon), et l’inclure dans la partie précédente, ce sera déjà plus constructif. — Jolek [discuter] 23 novembre 2015 à 19:43 (CET) Edité 23 novembre 2015 à 20:19 (CET)
- JoleK, puisqu'il s'agit spécifiquement de l'effet de sédatif, je pense qu'il faudrait plutôt transférer vers l'article spécifique sédatif. Bloubéri (discuter) 8 décembre 2015 à 16:26 (CET)
- La source de François Cohadon est centrée sur le coma et les sources afférentes sont mentionnées par lui à ce titre. La distinction sur la sédation est intégrée au plan, section préexistante à cette discussion. Cordialement, — Jolek [discuter] 8 décembre 2015 à 17:48 (CET)
- Je rajoute que cette source secondaire est a piori plutôt un ouvrage de vulgarisation qu'un ouvrage de référence sur le sujet du coma. De mon point de vue il manque des sources pour rendre ces écrits notoires (voir WP:SPF). Je pense qu'il faudrait remplacer ce passage par un paragraphe général sur le ressenti des malades, plutôt que d'avoir ce paragraphe centré sur la psychanalyse, dont l'importance me semble actuellement disproportionnée, sauf source de meilleure qualité apportée.
- J'ai fait une modification dans ce sens [2], une autre idée serait, si on veut vraiment avoir le point de vue psychanalytique dans cet article, de faire une section qui y serait clairement dédiée, ce qui ne me semble pas être le cas actuellement (en particulier, le titre devrait être différent). Bloubéri (discuter) 10 décembre 2015 à 20:01 (CET)
- François Cohadon est — entre autres — [3]
- neurochirurgien
- directeur du laboratoire de Neurochirurgie expérimentale et Neurobiologie (Unité associée CNRS 1978-1990)
- président du "Research Committe de l'European Association of Neurosurgical Societies" (1983-1987)
- membre du comité directeur de la société de Neurochirurgie de langue française (1983-1988)
- ...
- Son ouvrage, Sortir du coma est cité 25 fois dans Google Scholar [4], [5] ; dont entre autres :
- dans von Wild, K., Gerstenbrand, F., Dolce, G., Binder, H., Vos, P. E., Saltuari, L., ... & Jörg, J. R. (2007). « Guidelines for quality management of apallic syndrome/vegetative state ». European Journal of Trauma and Emergency Surgery, 33(3), 268-292.
- dans Pickard, J. D., Coleman, M. R., & Czosnyka, M. (2005). « Hydrocephalus, ventriculomegaly and the vegetative state: a review ». Neuropsychological rehabilitation, 15(3-4), 224-236.
- dans Tasseau, F., Rome, J., Cuny, E., & Emery, E. (2002, November). « Comment définir les modalités et les niveaux cliniques de passage du coma à l’éveil ? ». In Annales de réadaptation et de médecine physique (Vol. 45, No. 8, pp. 439-447). Elsevier Masson.
- ...
- Sur Cairn, le même ouvrage est cité sept fois [6] dont entre autres :
- sur les traumatismes crâniens en « Bibliographie. », Le Journal des psychologues, 9/2012 (n° 302) , p. 49-51 DOI 10.3917/jdp.302.0049
- pour définir le coma dans Mimouni Arnaud, Scelles Régine, « Psychologues en service d'éveil de coma : complexité et diversité des missions. », Bulletin de psychologie, 1/2013 (Numéro 523) , p. 77-85, DOI 10.3917/bupsy.523.0077
- en tant qu'il a fait une analyse de la littérature au sujet du rapport aux personnes dans le coma, et une typologie en deux attitudes, dans Tasseau François, « Nutrition et état végétatif chronique. », Laennec, 3/2006 (Tome 54) , p. 45-57, DOI 10.3917/lae.063.0045
- en tant qu'il met à jour cinq étapes de sortie du coma dans Tasseau François, « Le soin des patients en état végétatif ou pauci-relationnel. L’exemple de la région Rhône-Alpes», Laennec, 3/2015 (Tome 63) , p. 42-56, DOI 10.3917/lae.153.0042
- ...
- François Cohadon est — entre autres — [3]
- En conclusion, il ne fait aucun doute que cette source est une source de qualité au sens de Wikipédia puisqu'il s'agit d'une source abondamment citée en tant que référence sur divers aspects du coma.
- Cordialement, — Jolek [discuter] 12 décembre 2015 à 10:32 (CET)
- Jolek tu dis plus haut "Tout cela est appuyé" : peut-tu citer le passage qui appuie la phrase finale ? Bloubéri (discuter) 4 février 2016 à 01:46 (CET)
- C'est aussi écrit plus haut « Des observations comparables peuvent être recueillies chaque jour dans les services de réanimation. Phillipe Labro et Diane Chauvelot, l’un et l’autre, à des titres différents spécialistes du langage, ont mis en forme et rendu accessible leur aventure psychique éprouvante, leur témoignage est irremplaçable ». — Jolek [discuter] 4 février 2016 à 08:23 (CET)
- Tout à fait d'accord avec Jolek. J'avais ajouté ainsi le témoignage "d'Angèle Lieby (avec Hervé de Chalendar), atteinte d'un syndrome de Bickerstaff qui décrit comment, au sortir de son coma induit de deux jours, pendant plus de dix jours, elle entendait et comprenait tout, et percevait la douleur, dans "Une larme m'a sauvée" (ce qui n'a rien à voir avec une "expérience de mort imminente"). Il s'agit là d'un témoignage sans aucune interprétation (sans Bon Dieu au bout du tunnel, ni jeux de mots à la Lacan) montrant qu'un malade comateux peut être parfaitement conscient. Mais comment prouver un ressenti ? Comment quelqu'un qui voit "normalement" peut il expliquer à un "daltonien" ce qu'il voit (et inversement) ? Avant Dalton, les daltoniens ne pouvaient exister. Et avant les progrès en IRM fonctionnelle, les comateux qui entendent ne peuvent exister. Dans ce cas virons, complètement le passage, et continuons à dire qu'un enfant qui ne peux s'exprimer ne ressent pas la douleur et qu'un chien à qui on botte le cul gueule par simple réflexe (animal machine d'un grand philsophe) et que seul l'Homme (à l'image du Dieu des culs bénis) peut être apte à un ressenti.--colton (discuter) 4 février 2016 à 13:19 (CET)
- JoleK, la proposition "leur témoignage est irremplacable" qui est un jugement de valeur sur un livre ne vient pas "à l'appui" de la proposition actuelle dans l'article "elle parle à ce sujet d'un inconscient « délié », « à ciel ouvert »".
- Colton, concernant l'ajout en question à l'article (et que j'avais annulé [7]) j'ai répondu sur Discussion utilisateur:Bloubéri#Coma dans un premier temps.
- Bloubéri (discuter) 5 février 2016 à 16:21 (CET)
- : on a une source secondaire de qualité centrée d’un spécialiste du coma qui explique que le point de vue de Diane Chauvelot sur cette question est précieux et une autre source secondaire de qualité centrée de Phillipe Spoljar, enseignant chercheur en psychologie clinique de la santé, psychopathologie du somatique [...] et transmission des traumatismes [8], source secondaire qui explicite le contenu théorique de l’ouvrage mentionné par François Cohadon. On fait rarement plus dans les clous comparé au nombre de sources balancées dans les articles dits scientifiques dont aucune source secondaire ne dit ce qu'elles ont de notable, et c'est ton avis, celui d’un simple contributeur de Wikipédia qui devrait prévaloir ? — Jolek [discuter] 6 février 2016 à 12:00 (CET)
- Lire les sources données ça peut aider aussi : « l'intérêt tout particulier de son témoignage tient à l’interprétation psychanalytique globale qu'elle propose de l’aventure comme affrontement à l'inconscient », François Cohadon, Sortir du coma, Odile Jacob, (ISBN 978-2-7381-0877-7, lire en ligne), p. 78. — Jolek [discuter] 6 février 2016 à 13:10 (CET)
- "Lire les sources", c'est ce que je te demande, il me semble que c'est la moindre des choses que je puisse demander le texte appuyant l'information que tu donne toi-même dans l'article, ou bien ? Je ne vois donc toujours pas ce qui appuie la dernière proposition "elle parle à ce sujet d'un inconscient « délié », « à ciel ouvert »". Il me semble que c'est comme ça que ça fonctionne sur Wikipédia, l'information présente dans un article est censée être reprise par une source présentant un minimum de qualité. La preuve n'étant pas apporté, merci en conséquence de retirer ce passage. Bloubéri (discuter) 7 février 2016 à 12:57 (CET)
- J'ai quand même un peu l’impression que tu ne lis pas les sources (accessibles ici ou dans l’article), mais bon peut être qu'on ne se comprend pas. Donc ça repose sur Cohadon qui parle de « l'intérêt tout particulier de son témoignage [qui] tient à l’interprétation psychanalytique globale [de cette expérience] » et cette interprétation est un peu explicitée par Spoljar qui cite les concepts d'inconscient « délié » et « à ciel ouvert ». Après, oui, ce point pourrait être un peu explicité mais je n’ai pas accès à l'ouvrage de Chauvelot, je vais voir si je trouve une source secondaire un peu plus explicite. Cordialement, — Jolek [discuter] 7 février 2016 à 13:43 (CET)
- "Lire les sources", c'est ce que je te demande, il me semble que c'est la moindre des choses que je puisse demander le texte appuyant l'information que tu donne toi-même dans l'article, ou bien ? Je ne vois donc toujours pas ce qui appuie la dernière proposition "elle parle à ce sujet d'un inconscient « délié », « à ciel ouvert »". Il me semble que c'est comme ça que ça fonctionne sur Wikipédia, l'information présente dans un article est censée être reprise par une source présentant un minimum de qualité. La preuve n'étant pas apporté, merci en conséquence de retirer ce passage. Bloubéri (discuter) 7 février 2016 à 12:57 (CET)
- Tout à fait d'accord avec Jolek. J'avais ajouté ainsi le témoignage "d'Angèle Lieby (avec Hervé de Chalendar), atteinte d'un syndrome de Bickerstaff qui décrit comment, au sortir de son coma induit de deux jours, pendant plus de dix jours, elle entendait et comprenait tout, et percevait la douleur, dans "Une larme m'a sauvée" (ce qui n'a rien à voir avec une "expérience de mort imminente"). Il s'agit là d'un témoignage sans aucune interprétation (sans Bon Dieu au bout du tunnel, ni jeux de mots à la Lacan) montrant qu'un malade comateux peut être parfaitement conscient. Mais comment prouver un ressenti ? Comment quelqu'un qui voit "normalement" peut il expliquer à un "daltonien" ce qu'il voit (et inversement) ? Avant Dalton, les daltoniens ne pouvaient exister. Et avant les progrès en IRM fonctionnelle, les comateux qui entendent ne peuvent exister. Dans ce cas virons, complètement le passage, et continuons à dire qu'un enfant qui ne peux s'exprimer ne ressent pas la douleur et qu'un chien à qui on botte le cul gueule par simple réflexe (animal machine d'un grand philsophe) et que seul l'Homme (à l'image du Dieu des culs bénis) peut être apte à un ressenti.--colton (discuter) 4 février 2016 à 13:19 (CET)
- C'est aussi écrit plus haut « Des observations comparables peuvent être recueillies chaque jour dans les services de réanimation. Phillipe Labro et Diane Chauvelot, l’un et l’autre, à des titres différents spécialistes du langage, ont mis en forme et rendu accessible leur aventure psychique éprouvante, leur témoignage est irremplaçable ». — Jolek [discuter] 4 février 2016 à 08:23 (CET)
- Jolek tu dis plus haut "Tout cela est appuyé" : peut-tu citer le passage qui appuie la phrase finale ? Bloubéri (discuter) 4 février 2016 à 01:46 (CET)
- JoleK, puisqu'il s'agit spécifiquement de l'effet de sédatif, je pense qu'il faudrait plutôt transférer vers l'article spécifique sédatif. Bloubéri (discuter) 8 décembre 2015 à 16:26 (CET)
Bickerstaff
modifierBonjour, je me permets d'ouvrir une nouvelle section suite à cet échange dans le paragraphe ci-dessus [9] concernant l'ajout du sujet du syndrome de Bickenstaff qui me semble hors-sujet, ou dumoins sans référence suffisante. Je viens à nouveau de le retirer [10] suite à Discussion utilisateur:Bloubéri#Coma. Il peut parfaitement être rétabli si des sources de qualité suffisante viennent l'appuyer. Bloubéri (discuter) 7 février 2016 à 12:21 (CET)