Discussion:Chimie numérique

Dernier commentaire : il y a 12 ans par Grimlock dans le sujet Chimie computationnelle ou chimie numerique
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Niveau d'avancement A modifier

suite à cette discussion, je propose de mettre en avancement A cet article. des avis? --tpa2067 (Allô...) 7 août 2009 à 17:24 (CEST)Répondre

absence de consensus à ce jour pour un niveau d'avancement A dans le projet chimie de cet article => niveau B. --tpa2067(Allô...) 17 septembre 2009 à 15:12 (CEST)Répondre
suite à Discussion_Projet:Chimie/Archives/2010/1#Chimie_numérique que je retranscris ici :
cet article est donc promu en niveau A. Dont Acte --tpa2067(Allô...) 15 avril 2010 à 07:07 (CEST)Répondre

Chimie computationnelle ou chimie numerique modifier

Il existe un article Chimie computationelle. A fusionner. Snipre 10 août 2007 à 17:58 (CEST)Répondre

Transformé en redirection Grimlock 29 août 2007 à 15:43 (CEST)Répondre
Il existe aussi un article chemo-informatique et la distinction existe en anglais (cf. molecular modellimg d'andrew leach) stooof 24 septembre 2007 à 13:45 (CEST)Répondre
Je sais (lien rouge sur l'article, d'ailleurs)> Mais au vu de l'article de WP en, je me demande vraiment si il existe une distinction réelle ... Sinon une version light pour de grands ensembles ... Grimlock 24 septembre 2007 à 14:11 (CEST)Répondre

Je propose de rétablir le titre "chimie computationnelle" qui est plus précis et plus employé par la communauté que "chimie numérique". Il est critiquable de prétendre qu'il s'agit d'un anglicisme, dans la mesure où "computation" et "computer" sont bien des termes français, d'après le TLFI, qui viennent respectivement du latin computatio et computare, et non de l'anglais. Je vous laisse vérifier : http://atilf.atilf.fr/tlf.htm. En attendant j'enlève ce qui fait référence à un anglicisme dans la première phrase du contenu de l'article. --Thomas.jura (d) 17 juillet 2011 à 18:46 (CEST)Répondre

Pour avoir justement fait partie de la communauté pendant un temps certain, je peux garantir que je n'ai jamais entendu employer le terme de « computationelle », sinon une ou deux fois, pas plus, qui est bien un anglicisme (indépendamment de son origine latine que personne n'ira contester). A tel point que les chimistes qui font ce genre d'études sont souvent désignés par le terme de numériciens. Par ailleurs, un simple test google permet de trancher immédiatement en faveur de chimie numérique :
Grimlock 18 juillet 2011 à 20:07 (CEST)Répondre

Tout d'abord votre match google est biaisé par une faute de votre part à "computationnelle" ("computationelle" dans votre requête). Avec l'orthographe correcte, il donne 4370 contre 6290, l'usage est donc bien réel et partagé avec numérique, contrairement à ce que vous affirmez de façon catégorique. D'autre part, je vous indique à nouveau, puisque vous ne répondez pas sur ce point, que "computation" [1] et "computer" [2] sont bien des mots français. Ils signifient respectivement calcul, évaluation, et calculer, évaluer et sont attestés respectivement depuis 1413 et 1595, et employés entre autres par Montaigne, Baudelaire, Claudel. Votre hâte à qualifier d'anglicisme un terme bien français, certes peu courant mais qui retrouve un emploi moderne, relève de l'hypercorrection. J'enlève à nouveau ce qui fait référence à un anglicisme dans l'article et vous demande de définir ce qu'est pour vous précisément un anglicisme et en quoi computationnel en est un.Thomas.jura (d) 5 août 2011 à 04:23 (CEST)Répondre

Que ce soit des mots français, je n'ai jamais dit le contraire, et je connais leur signification, merci bien (et leur emploi par Baudelaire ou autre me chaut peu dans le contexte qui nous intéresse). Maintenant, « Votre hâte à qualifier d'anglicisme un terme bien français, certes peu courant mais qui retrouve un emploi moderne, relève de l'hypercorrection » est méconnaître, à l'évidence, que cette expression est directement dérivée du « computational chemistry » utilisé en anglais. C'est d'autant plus flagrant quant on considère que le calcul en chimie n'est pas l'apanage des méthodes développées ou en cours de développement grâce à l'essor des calculateurs de masse (d'où le numérique, en français et je remarque également que le GENCI "préfère" l'expression de chimie computationnelle (je vous laisse vérifier)). J'ai donc rétabli ce qui était écrit, puisque l'équivalence que vous invoquez n'en est pas une. Pour vous persuader, remplacez le terme de chimie par physique, et faites le test google : cela vous donnera un exemple criant de l'utilisation du terme "computationnelle" dans un cadre similaire. Merci donc de laisser en l'état. De plus, j'aimerais vous signaler que vous avez créé des doubles redirections. Ce qui est déconseillé. Grimlock 5 août 2011 à 21:32 (CEST)Répondre
Par ailleurs : [3] , [4] n'existent pas, et le TLFi ne renvoie rien non plus. Grimlock 5 août 2011 à 21:43 (CEST)Répondre
Au passage, pour "computationnelle" :
  • dans la langue française : rien sur le TLF [5]
  • rien sur france terme (Ministère de la culture/néologismes) : [6]
  • Dans la littérature scientifique :
    • computationnelle : 550 occurrences [7]
    • calculatoire : 388 occurrences [8]
    • numérique: 20800 occurrences [9]
Bilan : "computationnelle" et "calculatoire" sont assez confidentiels et je ne suis même pas certain que le terme soit notoire. Argos - oO 5 août 2011 à 21:48 (CEST)Répondre
Je réponds juste à Argos42 dans un premier temps. Votre comparaison du nombre d'occurrences dans la littérature scientifique part d'une bonne idée mais vos résultats sont grossièrement biaisés et sans intérêt : il faut évidemment mettre les termes entre guillemets pour imposer qu'ils soient accolés !
On obtient alors :
  • chimie computationnelle : 36 occurrences [10]
  • chimie calculatoire : 4 occurrences [11]
  • chimie numérique: 10 occurrences [12]
L'avantage dans la (certes maigre) littérature scientifique francophone est donc bien à chimie computationnelle.Thomas.jura (d) 13 août 2011 à 22:37 (CEST)Répondre
En regardant un peu les résultats pour "chimie computationnelle", on est sûr d'une chose : « VIEILLES MOLECULES ET THERAPIE GENIQUE PAR VOIE CHIMIQUE. LA COLCHICINE ET LA MUCOVISCIDOSE » où le terme est cité n'est pas écrit par un spécialiste de la chose, Oberflächenkomplexe und Gasphasencluster mit Wasserstoffbrückenbindungen: Ab initio-Resultate, semble particulièrement germanique, et j'en passe. Pas plus pour le cours de philosophie positive que l'on peut retrouver pour "chimie numérique". Je crois (en fait j'en suis sûr) que google scholar ne rend absolument pas compte de la littérature scientifique francophone dans sa globalité, c'est certain (je ne vois aucune occurrence de la revue, pourtant bien francophone, l'Actualité chimique dans ces résultats, ce qui est étonnant puisque j'y ai vu plus d'un article). Quant au résultats d'Argos, ils portent sur les termes précis. Argos et moi-même avons montré à plusieurs reprises que le terme "computationnelle" est, sans trop de discussion, non seulement minoritaire, mais même non inscrit dans plusieurs dictionnaires. Merci d'en tenir compte. Grimlock 14 août 2011 à 11:04 (CEST)Répondre

Intention de proposition au label BA modifier

Insuffisances modifier

  • « La chimie numérique est une branche de la chimie et/ou de la physico-chimie »
    Je supprimerais et/ou de la physico-chimie ; c'est pas assez clair pour une première phrase (et/ou)? en fonction de quoi ?? physico-chimie si c'est pertinent, ça doit être un lien. TigHervé@ 1 septembre 2007 à 21:58 (CEST)Répondre
En un mot comme en cent : c'est encore n'importe quoi. Tu viens encore comme une fleur, « corrige » ce qui n'a pas lieu d'être corrigé, en faisant encore des erreurs de ... concepts. Le et/ou est parfaitement justifié. Grimlock 2 septembre 2007 à 10:55 (CEST)Répondre
Suite à ton revert ; reste à couver ton charabia anglophilique ; j'ai pas de temps à perdre avec tes arguments d'autorité dont je peux à longueur de temps apprécier l'inconsistance. TigHervé@ 2 septembre 2007 à 12:41 (CEST)Répondre
Très bien, comme ça je n'aurais pas à perdre le mien avec ton ignorance crasse, comme tu nous le démontres si bien et si souvent Grimlock 2 septembre 2007 à 12:51 (CEST)Répondre

Proposition intro modifier

Suite à la "gueguerre" concernant le et/ou physico-chimie : voici une suggestion:

Avant

La chimie numérique est une branche de la chimie et/ou de la physico-chimie qui utilise les lois de la chimie théorique exploitées dans des codes informatiques spécifiques afin de calculer structures et propriétés d'objets chimiques (molécules, solides, clusters, surfaces ou autres), en appliquant autant que possible ces programmes à des problèmes chimiques réels. La frontière entre simulation et système est bien sûr définie par le niveau de précision requis et/ou la complexité des systèmes étudiés pour la modélisation. Les propriétés recherchées peuvent être la structure (géométrie, relations entre constituants), l'énergie totale, l'énergie d'interaction, les charges, dipôles et moments multipolaires, fréquences vibrationnelles, réactivité ou autres quantités spectroscopiques, sections efficaces pour les collisions. Le terme de chimie numérique est parfois utilisé pour désigner tous les champs scientifiques qui recouvrent à la fois la chimie et l'informatique.
Les études de configurations électroniques est la sous-discipline la plus représentée en chimie numérique.

Après

La chimie numérique est une branche de la chimie qui exploite les lois de la chimie théorique dans des codes informatiques spécifiques afin de calculer la structures et les propriétés d'objets chimiques (molécules, solides, clusters, surfaces ou autres). Dans la mesure du possible, ces programmes s'appliquent à des problèmes chimiques réels. La frontière entre simulation et système réel étant bien sûr définie par le niveau de précision requis et/ou la complexité des systèmes étudiés pour la modélisation. Les propriétés recherchées recouvrent tout le domaine de la chimie physique : structure (géométrie, relations entre constituants), énergie totale, énergie d'interaction, charges, dipôles et moments multipolaires, fréquences vibrationnelles, réactivité ou autres quantités spectroscopiques, sections efficaces pour les collisions... La sous-discipline la plus représentée est celle qui s'applique au traitement de la configurations électroniques des systèmes.
Le terme de chimie numérique est parfois également utilisé pour désigner tous les champs scientifiques qui recouvrent à la fois la chimie et l'informatique.

cornild 4 septembre 2007 à 9:40 CEST

Mes réponses :

  1. il n'y a pas de guéguerre, juste un utilisateur qui n'a pas compris le sujet et/ou le texte. Mais ce n'est pas la première fois que ça arrive, et il y a pire.
  2. il y a un souci dans ton texte, puisque physico-chimie n'est pas la même chose que chimie physique (je sais, c'est bizarre mais c'est comme ça). En particulier, les problématiques de structures ne sont pas de la chimie physique (voir à ce propos ma remarque ici).

Je retiens par contre l'inversion des deux dernières phrases, judicieuse, ainsi que la reformulation de la dernière phrase actuelle. Grimlock 4 septembre 2007 à 10:03 (CEST)Répondre

Note modifier

Penser à intégrer la partie historique développée par les anglophones. Grimlock 26 mai 2009 à 16:19 (CEST)Répondre

Annonce de proposition au label BA modifier

Ajouts à faire modifier

Liste des choses à faire :

  • dans historique (ou ailleurs) : parler de l'impact de la parallélisation (CPU, maintenant GPU).
  • si possible, trouver des sources pour l'impact industriel (pharmacie, ou autre) des méthodes de chimie numérique appliquées.
  • réordonner les parties (?).

Grimlock 9 septembre 2010 à 18:06 (CEST)Répondre

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