Discussion:Chiffrement

Dernier commentaire : il y a 2 ans par Tisourcier dans le sujet "Cryptage"
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Emplois du verbe "crypter"

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Bonjour, je ne vois absolument pas en quoi crypter pourrait être admis dans le cas des chaines à péages, le matériel se chargeant de déchiffrer le flux vidéos ... déchiffre et ne décrypte pas.

Crypter semblerait bien plus approprié dans le cas où un attaquant tenterait de créer un chiffré valide sans connaitre la clef de déchiffrement (attaque par chiffré choisis de Bleichenbacher contre le (mauvais) padding RSA etc.).

Que dit l'académie française à ce propos ?

Une question sur l'exemple du morse pour l'encodage

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Bonjour, On peut aussi avoir des encodages secrets. (en) Code (cryptography) donne plutôt comme différence entre chiffre et code le genre de transformation opérée : dans un cas, on travaille lettre par lettre (ou bit par bit), sans se soucier de la signification ; dans l'autre, on traite les mots ou les phrases, et là, la signification importe.
Il est indiqué dans l'article :

« L'encodage consiste à transformer de l'information (des données) vers un ensemble de mots. Chacun de ces mots est constitué
de symboles. Par exemple, convertir un texte en morse est un encodage, on transforme l'alphabet vers une série de points et de traits,
mais ce n'est pas un chiffrement puisque les données ne sont pas protégées. Il est en effet trivial de retrouver le texte original 
grâce à une table de conversion. » 

Le morse ne doit-il pas être considéré plutôt comme un chiffre que comme un code, puisqu'on intervient sur chacune des lettres, et non par sur les mots ou sur les phrases ? Un chiffre par substitution monoalphabétique est également trivial, il suffit de connaître son alphabet (et au pire de faire 25 essais ;-) ). L'alphabet morse morse n'est-il pas au fond comparable à un chiffrement de type Les Hommes dansants (chaque lettre remplacée par un symbole) ? Amha, il faudrait modifier l'exemple, ex. en prenant celui du code pays ISO 3166-1 (grâce auquel "Papouasie-Nouvelle-Guinée" , par exemple, s'écrit 598, quelle que soit la façon dont ce nom est libellé dans les différentes langues). --Myrabella 27 septembre 2005 à 00:33 (CEST)Répondre

c'est pas faux, je vais revoir mon exemple. Dake* 25 décembre 2005 à 20:19 (CET)Répondre

Copie de la lettre présente dans cryptage (la fusion a été effectuée, voir l'historique pour les auteurs)

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A ce sujet, voici ce que répond l'Académie française (courrier reçu le mardi 6 avril 2004) :

« Monsieur,

L'action qui consiste à coder un texte s'appelle le chiffrement ou le chiffrage. Le verbe correspondant est chiffrer. Encryption est effectivement un anglicisme à bannir. Crypter ne figure pas dans le Dictionnaire de l'Académie française, mais se trouve dans de nombreux usuels. Ce qui n'empêche pas que c'est chiffrer qui doit être employé.

Cela étant, il semble que crypter trouve sa place et son rôle, surtout au passif, quand il s'agit de désigner des chaînes nécessitant un décodeur pour être reçues en clair. En résumé on chiffre les messages et on crypte les chaînes.

Cordialement,

Service du dictionnaire <dictionnaire@academie-francaise.fr> »

Dake* 25 décembre 2005 à 20:18 (CET)Répondre

Lien externe mort

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Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, un lien était indisponible. Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 30 janvier 2006 à 23:24 (CET)Répondre

Traité

Dake* 31 janvier 2006 à 00:47 (CET)Répondre


Lien externe mort

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Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, un lien était indisponible. Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 30 janvier 2006 à 23:24 (CET)Répondre

Traité

Dake* 31 janvier 2006 à 00:47 (CET)Répondre


différence entre chiffrement et codage

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Dans cette section, je reconnais dans deux des paragraphes le sens classique de code (transformation sans intention de cacher) comme le code ASCII, le morse, ou les codes de compression. Mais je suis étonnée par le paragraphe du milieu où il est dit

« Le "code" dans le sens cryptographique du terme travaille au niveau de la sémantique (les mots ou les phrases). Par exemple, un code pourra remplacer le mot "avion" par un numéro. Le chiffrement travaille sur des composantes plus élémentaires du message, les lettres ou les bits, sans s'intéresser à la signification du contenu. Un code nécessite une table de conversion, aussi appelée "dictionnaire" (codebook en anglais). »

car c'est la première fois que j'entends parler de ce sens ci et il semble en contradiction avec les deux autres paragraphes. Pourrait-on me confirmer cet acception du terme en fournissant des sources ? Merci. HB (d) 17 octobre 2010 à 11:07 (CEST)Répondre

À propos du terme cryptage

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Dans la première ligne de l'article, on peut lire que "cryptage" est souvent employé à tord. Vous vous référez alors à un document publié par le Gouvernement français. Néanmoins, l'usage du mot "cryptage" n'est pas considéré comme un anglicisme ni dans le Grand Robert ni par le Grand dictionnaire terminologique de l'Office québécoise de la langue française. "crytage" est un déviré du verbe "crypter". Ce serait plutôt le verbe "encrypter" (pour encrypt) qui constitue un anglicisme.

Extrait du http://www.granddictionnaire.com: « La tendance actuelle favorise les termes construits avec crypt-. Plusieurs ouvrages terminologiques récents privilégient cryptage au lieu de chiffrement, terme utilisé depuis longtemps pour désigner cette notion. L'opération inverse du chiffrement s'appelle déchiffrement et suppose que l'on possède la clé. Le terme décryptage est réservé pour désigner l'opération qui consiste à casser l'algorithme (le procédé de calcul) sans en avoir la clé. »

Je ne veux pas partir un débat sur la langue, mais puisque l'usage du mot "cryptage" est admise au Québec, je crois qu'il faudrait modifier la première ligne de l'article. Cette encyclopédie est utilisé par tous les francophones, pas seulement par les Français. Merci.

Il semblerait que ce soit une question d'usage dans la "sphère" de la cryptologie. Pour ma part il me semble plutôt confus d'utiliser crypter lorsqu'on utilise déchiffrer pour désigner l'inverse. Mais ce n'est surtout pas une opposition entre France et Québec... —Shiningfm (d) 17 avril 2011 à 19:14 (CEST)Répondre
Puisque deux sources crédibles s'opposent, j'ai remplacé le jugement "parfois appelé à tort cryptage"[1] par, tout simplement, "aussi appelé cryptage". J'ai ajouté l'autre point de vue à la section qui en parle. On pourrait aussi argumenter qu'il s'agit de cryptographie et non pas de "chiffrographie" mais je ne suis pas terminologue. -Echartre (d) 26 juillet 2011 à 15:33 (CEST)Répondre

Notes et références

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chiffrement ou cryptage

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Cet article manque de stabilité sur le vocabulaire.

Tantôt on dit que cryptage est un terme à éviter (avec sources à l'appui[1], [2]). Tantôt on dit que les deux termes sont synonymes. C'est déjà suffisamment un sujet de discorde sans qu'on vienne compliquer les choses en remplaçant systématiquement le terme chiffrement par celui de cryptage.[3]

  • Ou bien le terme de cryptage est à éviter et le remplacement ne se justifie pas
  • ou bien les termes sont synonymes dans suffisamment de sources pour que l'on supprime la remarque que cryptage est à éviter et on laisse le terme choisi depuis des années dans cet article, qui est chiffrement selon la convention qui est de ne pas faire de modification inutile
  • ou bien le terme de chiffrement est à proscrire et le remplacement systématique par cryptage se justifierait mais pour l'heure je ne suis pas convaincue que le terme chiffrement serait inapproprié.

Je donc remis l'article avec son vocabulaire antérieur. HB (discuter) 27 septembre 2014 à 14:32 (CEST)Répondre

Les sources citées (www.ssi.gouv) ne donnent aucun début de justification linguistique pour cette soi-disant interdiction d'utiliser "cryptage".
Les termes "cryptage" et "décryptage" sont tout à fait corrects, comme l'ont dit beaucoup avant moi. Or, dans l'article tel qu'il est publié actuellement, tout laisse à penser que seul "chiffrement" est accepté, sauf si on prend la peine de lire entièrement l'article jusqu'au paragraphe sur la terminologie. Il serait donc bienvenu de faire alterner ces termes tout au long de l'article, comme je l'avais fait, et en précisant bien dès la première phrase que les deux termes sont admis.
Merci donc de rétablir mes modifications. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.46.95.199 (discuter)
Deux sources pour dire que chiffrement est préférable, une source pour dire que cryptage commence à se généraliser. Je ne vois pas ce qui vous permet de nier la validité des deux sources. Je ne pense pas que l'article gagnerait en qualité en valsant perpétuellement entre les deux termes (par exemple l'article endive privilégie l'écriture endive dans son déroulement même si le terme synonyme de chicon est bien mis en évidence en introduction - l'idée alterner les termes dans la rédaction n'a pas été retenue) . J'ai en revanche mis dans l'introduction le fait que cryptage est aussi utilisé. Mais puisque nous ne sommes pas d'accord, attendons d'autre avis. HB (discuter) 27 septembre 2014 à 15:21 (CEST)Répondre
Le principe de moindre surprise va plutôt vers « cryptage » [4] mais ce terme n'est pas apprécié par certaines sources de normalisation du français et les rédacteurs semblent plutôt avoir suivi ces recommandations. En tout cas le terme le plus courant (cryptage) doit au minimum figurer en gras dans l'intro. –Akéron (d) 27 septembre 2014 à 16:56 (CEST)Répondre
  Cryptage mis en gras. En fait, personnellement, le choix d'un terme ou de l'autre m'indiffère (même si j'ai une mienne connaissance qui manque de s'étrangler quand on utilise le terme cryptage  ) mais la stabilité de l'article me parait une chose importante. HB (discuter) 27 septembre 2014 à 17:11 (CEST)Répondre

Aspects légaux en France

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Bonjour. Je suis un peu gêné par la partie "Aspects légaux" en France. En regardant de plus près les passages relatifs à la cryptologie sur les textes de lois de 1996 et de 2004, je n'ai pas l'impression que les moyens de cryptologie soient si libérés que ça en France: c'est le cas pour l'authentification et l'identification, mais rien n'est dit sur le chiffrement des contenus, par exemple. De fait, selon l'ANSSI, ces moyens sont encore soumis à certaines autorisations pour l'importation et l'exportation. Pour autant, on retrouve souvent cette idée que 1996 et 2004 sont les deux grands moments où le chiffrement est autorisé pour le grand public. L'information se trouve-t-elle dans des décrets d'applications, des jurisprudences...? Est-ce une opposition de jure / de facto ? En l'état, le texte Wikipedia me semble presque contredit par ses sources légales. --John-Grégoire (discuter) 12 avril 2018 à 19:07 (CEST)Répondre

"Cryptage"

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Comme le précisent les sources fiables, le terme "décrypter" se référant à l'action de déchiffrer sans clef, le terme "crypter" n'a pas de raison d'être. Ce terme désignerait l'action de chiffrer sans clef. C'est comme si je faisais installer une serrure sur la porte d'entrée de ma maison mais que la clef de cette serrure n'existait pas.

En-dehors de cet article, le consensus a été trouvé depuis longtemps (appuyé par l'ANSSI). Le fait qu'un seul site (aux sources douteuses) appuie une définition erronée ne la rend pas correcte pour autant. La définition de décryptage est donnée dans l'article pourquoi persévérer à mal informer les lecteurs en leur faisant croire que "cryptage" est unanimement accepté ?

J'ai écrit "sources fiables" parce que l'Office québécois de la langue française n'en est pas une. Il ne cite pas ses sources et se contredit. "Plusieurs ouvrages terminologiques récents privilégient cryptage au lieu de chiffrement" ? Quels ouvrages ? Les ouvrages en question se basent-ils sur la définition de l'Office québécois de la langue française pour utiliser le terme "cryptage" ? Toujours selon ce site, "Le terme décryptage est réservé pour désigner l'opération qui consiste à casser l'algorithme (le procédé de calcul) sans en avoir la clé." donc le site admet que le cryptage reviendrait à mettre en place un algorithme sans en avoir la clef.

Selon la page discussion, le consensus est également établi mais autant laisser aux détracteurs la possibilité de s'exprimer.

--Bigemul (discuter) 27 juillet 2019 à 13:49 (CEST)Répondre

Pour ma part, je ne vois pas de consensus pour dire que chiffrement est LE terme utilisé. J'ai plutôt l'impression d'une gueguerre idéologoique entre deux factions. J'ai lutté sérieusement pour que cryptage ne soit mis en lieu et place de chiffrement, mais les arguments de ceux qui signalent l'usage de ce terme sont à respecter tout autant. Le grand dictionnaire terminologique est une source tout-à-fait fiable que l'on ne peut pas balayer d'un revers de manche. Le Petit Robert de 1993 « Cryptage : moyen par lequel un message est rendu inintelligible en l’absence d'un décodeur approprié » est tout aussi respectable.   Akeron, mesurant l’occurrence de cryptage et Chiffrement, a déjà signalé plus haut que le terme de cryptage était plus usité. Faire dire au site ce qu'il ne dit pas « donc le site admet que le cryptage reviendrait à mettre en place un algorithme sans en avoir la clef » est au pire un procès malhonnête, au mieux une grande naïveté : que l'usage du français soit illogique n'est pas nouveau. Pointer du doigt l'illogisme ne permet pas de jeter au feu les dictionnaires. Je souhaite que d'autres personnes se prononce sur le retrait ou la conservation de cette source avant qu'elle ne soit supprimée. HB (discuter) 27 juillet 2019 à 16:12 (CEST)Répondre
Vous ne donnez aucun argument en faveur du terme "cryptage". Vous n'expliquez pas pourquoi on devrait l'utiliser. La fréquence d'utilisation d'un terme ne peut être le seul critère. "Si j'aurais" est énormément utilisé par les personnes les moins scolarisées mais son utilisation n'en est pas moins correcte. Je ne pourrais pas vous sortir de graphique à ce sujet étant donné que les éditeurs corrigent avant de publier. Le consensus est clair depuis des années. Pourquoi vouloir conserver un terme qui n'a jamais été utilisé. Vous dites être professeur de mathématiques et je vous crois volontiers mais vous devriez donc avoir un esprit assez logique pour justifier pourquoi "décryptage" signifie "déchiffrer sans clef" alors que "cryptage" signifierait "chiffrer". Je ne fais pas dire au site ce qu'il ne dit pas. Votre esprit critique de mathématicienne fait preuve de malhonnêteté en ne voyant pas le rapport entre -- et +. Malhonnêteté dont vous m'accusez sans vous justifier. Je rappelle ce qu'affiche ce site : "Le terme décryptage est réservé pour désigner l'opération qui consiste à casser l'algorithme (le procédé de calcul) sans en avoir la clé." donc, logiquement, en prenant l'antonyme du terme et du restant de la phrase, "Le terme cryptage est réservé pour désigner l'opération qui consiste à mettre en place l'algorithme (le procédé de calcul) sans en avoir la clé." --Bigemul (discuter) 31 juillet 2019 à 10:39 (CEST)Répondre
Cet après-midi, j’ai assisté à une conférence donnée par Jean-Jacques Quisquater. Il a expliqué l’origine du terme « crypter » dans le cas des chaînes télévisées. Les chaînes en question avaient commencé à utiliser le terme « chiffrer » mais le service du chiffre n’était pas d’accord avec cette appellation parce que ce chiffrement n’avait rien de militaire ou de gouvernemental et se contentait de brouiller légèrement les chaînes. Ces chaînes ont donc commencé à utiliser le terme « chaînes cryptées ».

Le professeur Quiquater a d’ailleurs eu une remarque assez intéressante. Il a repris exactement le raisonnement que je vous avais soumis et l’a justifié en disant simplement qu’il fallait faire preuve de logique.

Accuseriez-vous de naïveté une personne dont le nom est mentionné sur autant de brevets ? Pouvons-nous enfin modifier cette page pour qu'elle reflèle la réalité du terrain et la logique ? Bigemul (discuter) 26 septembre 2019 à 20:41 (CEST)Répondre
Bonjour,
Etant aujourd'hui confonté sur différents articles ne traitant que de signaux vidéo ou de chaînes de télévision (cryptées, cryptage, décrypter, etc...), on peut constater qu'en 2022, l'utilisation de ces termes domine très largement dans la littérature, la presse, les médias francophones en lieu et place de "chiffrement" ou ses variantes.
Wikipedia étant censé être en harmonie avec son époque et le plus large public pour se différencier des dictionnaires purement académiques, très spécialisés ou scientifiques qui s'adressent à une élite éclairée sur ces subtilités, il faut aussi rappeler que le terme n'est pas du tout un "anglicisme" puisque ses racines proviennent du latin et du grec. Pour une fois qu'un terme compréhensible par tous, relativement pointu n'est pas anglophone, on devrait se féliciter que "cryptage", “encrypter" ou "décryptage" soient communément répandus auprès des écrivains, journalistes, auteurs scientifiques et autres ingénieurs reconnus. Tisourcier (discuter) 27 octobre 2022 à 17:29 (CEST)Répondre
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