Corinne Lovera Vitali

écrivaine française

Corinne Lovera Vitali, née le 6 mai 1960 à Grenoble, est un écrivain[N 1] et poète de langue française, d'origine italienne[1]. Elle publie également sous les initiales, en minuscules, clv.

Corinne Lovera Vitali
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Biographie

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Repères biographiques

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Corinne Lovera Vitali publie depuis 2002 en littérature générale et en poésie, notamment chez Gallimard, Comp'Act ou les Éditions MF.

Elle signe également sous ses initiales clv, en minuscules[2], des textes de création[3] dans de nombreuses revues papier ou en ligne (notamment L’Atelier contemporain, Libr-Critique[a],[b] ou Remue.net[4]), et donne lectures publiques et performances[c], de ses textes ou de ceux d'autres auteurs (Richard Brautigan, Virginia Woolf, Charlotte Delbo, Jamaica Kincaid…)[5],[6], seule ou en musique[7].

Jusqu'en 2017 sont parus chez plusieurs éditeurs dont le Rouergue, Thierry Magnier et Albin Michel Jeunesse, ses albums et romans pour la jeunesse[N 2].

L'écriture

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Le style de Corinne Lovera Vitali, caractérisé par le peu ou l’absence de majuscules et de ponctuation[8],[9],[10], est reconnu par son rythme[11],[2], et pour être frontal, direct[12], voire cru[10] ou brutal[13]. Ce style est notable dans tous ses textes, y compris ceux à destination des enfants[14],[15] et adolescents[16],[17].

Après la publication chez Gallimard de son premier roman Nitti[18],[19] en 2002, son travail est exclusivement fait de monologues[20],[12],[21], dans le mouvement littéraire dit de flux de conscience ou monologue intérieur.

Son deuxième roman de littérature générale Nouvelle Vie[11], publié en 2004, « retrace l’épopée de ses grands-parents antifascistes[16] » : un « récit étrange, mi roman mi poème, évoquant la passion tendre de ses grands-parents italiens, antifascistes et amoureux[22] ».

Son roman jeunesse Lise., « Lise., avec un point dans le titre[23] » est publié en 2005 aux éditions Thierry Magnier[8], « introspection longtemps refoulée[20] » d'une adolescente hospitalisée. Pour Emmanuel Davidenkoff : « Lise., c’est avant tout une écriture d’une rare densité, à mi-chemin entre le monologue intérieur et le récit, une écriture qui coule et se heurte comme on pense quand les mots se bousculent dans la tête. »[12]. Gérard Bialestowski dans la revue Griffon écrit : « Un être en mouvement affirme sa présence. Ici, c’est le mouvement même qui importe, et l’écriture de Corinne Lovera Vitali qui échappe à tout conformisme psychologique[9] ».

le bravo[24], illustré par Philippe Favier, publié en 2006, est un « petit OVNI éditorial [...] Un bravo à l’arrivée de tous les bébés »[25], pour le site Ricochet. L'album est « un livre pour les bébés[17] », dont la lecture orale s'adresse directement à eux : l'ouvrage est en effet un travail autour des bébés sur le langage, les expressions, la langue[26],[27], et l'enseignante chercheuse en littérature Nelly Chabrol Gagne, à propos de l'album, écrit : « Ce qui m'intéresse, c'est la langue, libérée ici ou là des contraintes de la grammaire rationnelle : les mots et les images défilent selon une logique presque corporelle, peu redevable à la logique linguistique[28]. ».

Le recueil La Taille des hommes paraît en 2006. Pour Le Matricule des anges : « on pense à certaines pages d’Henri Michaux. Langue qui se bat et s’ébroue et se débat, se cogne, se répète, rebondit et tente le dire en tout, lapsus et fautes de frappe inclus. [...] Elle sait passer les frontières, entre les genres, entre les langues, et écrit, forcément, à fleur de peau[16] ».

En 2008 est publié C'est Giorgio[29], album jeunesse illustré par Loren Capelli. « Dans un monologue, une petite fille exprime son sentiment de solitude et sa perplexité devant son passage à l'âge de l'adolescence. Elle évoque les absents, elle rêve, elle se promène [...] elle trouve un ours en peluche en mauvais état. Elle l'adopte, comme s'il s'agissait de quelqu'un, dit-elle. [...] Un album beau et émouvant, teinté d'humour et de mélancolie[30] », selon La Revue des livres pour enfants. La critique et formatrice en littérature pour la jeunesse Joëlle Turin écrit à propos de cet album : « L'investissement émotionnel de la fillette pour Giorgio correspond à une forme d'illusion, celle d'entrer en contact avec une figure bien plus vivante que les personnes réelles. Le plaisir de lire relève de ce type d'investissement accordant au personnage un statut de personne […][31] ». Et selon Nelly Chabrol Gagne : « Le texte, très suggestif dans sa formulation directe, agit comme un accélérateur d'émotions : "Pourtant j'aime trop quand quelqu'un m'accompagne. / Mais quelqu'un est souvent occupé / et quelqu'un d'autre n'est pas là. / Ou alors c'est mon chien qui a fini d'être là / et il n'y a pas d'autre mon chien."[32] »

En 2010, elles collaborent à nouveau pour l'album jeunesse Kid[33]. La Revue des livres pour enfants écrit dans son avis critique : « Dans l'intervalle, la complicité artistique entre Corinne Lovera Vitali et Loren Capelli a grandi encore et le duo pousse très loin tant la recherche formelle que la charge émotionnelle. Voici donc Kid, un chaton crève-la-faim [...] Récit d'une disparition et d'une apparition, d'un deuil et d'une adoption, cet album affronte de manière extrêmement exigeante la complexité de la vie [...][34] ». Pour l'avis critique de Ricochet, il s'agit d' « Un ouvrage exigeant, très personnel[35] ». Kid est finaliste du Prix Baobab 2010[36] du Salon du livre et de la presse jeunesse. Les deux albums, C'est Giorgio et Kid, font partie de la « Bibliothèque idéale » du Centre national de la littérature pour la jeunesse (BnF)[37] en 2024.

En 2016 paraissent deux ouvrages qui portent sur « la perte et le deuil[21] », 78 moins 39[38] autour de la mort de son père[39], et Ce qu'il faut[21],[38]. Pour la revue Dissonances : « Poème en dix-neuf chants d’amour et de douleur, Ce qu’il faut dit (et plus : fait sentir pour de vrai) l’injustice absolue de la disparition, le chaos qui s’ensuit et la difficulté de survivre aux morts proches, l’extrême imbrication et la fragilité de nos destins mêlés, et que nous ne sommes au fond que la somme de ceux qui nous ont précédés, accompagnés, quittés[40] ».

La même année est publié l'album jeunesse Le Champ d’amour d’Anton illustré par Marion Duval, histoire autour d'un « champ de pastèques[41] », et selon Ricochet, une « fable métaphorique très bien écrite[42] ».

En 2021 sort Coupe-le[43], recueil, « Monologue poétique composé de quatre chants, le récit non chronologique de Corinne Lovera Vitali décrit une série d’expériences traumatiques d’une femme à la découverte d’elle-même, entre l’enfance et l’âge adulte[44]. ». « Dans une langue qui fait de la concision une expansion en se débarrassant des virgules et autres ornements, Corinne Lovera Vitali "coupe" dans le gras de l’expérience pour aller à l’essentiel ou pour mieux le contourner, ce qui revient ici, curieusement, au même. Un essentiel chahuté, inquiet, paranoïaque, mélancolique, sexuel, ironique, fuyant, brutal. Un essentiel plein de détours qui feraient semblant d’aller en ligne droite », écrit Guillaume Contré dans Le Matricule des anges en 2021[10].

Activité artistique

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Outre les livres, la production de Corinne Lovera Vitali, qui signe le plus souvent clv[2], comprend aussi des textes pour des plasticiens[2],[45], des dessins, des sons et des vidéos[46]. Ses créations sonores et ses vidéos sont une part importante de ses productions artistiques et littéraires.

En 2006 elle a renommé « NON »[2] l'association créée en 1995 à la mémoire de son fils. NON est un petit collectif d’artistes et d'auteurs à géométrie variable[N 3] pratiquant le DIY, et produisant en autonomie des œuvres littéraires, graphiques et musicales, ainsi que des lectures, concerts et expositions[d].

En 2018, sa vidéo mon clavier est projetée durant le festival de la littérature hors les livres EXTRA ![e] au Centre Pompidou.

Son travail d'écriture vidéo[47] est analysé dans le chapitre « Gestes d’écrire / Écrire le geste » rédigé par Gaëlle Théval[f], dans le premier ouvrage de référence consacré aux vidéos d’auteurs Qu’est-ce que la littéraTube ?[48] paru en 2023 : « Les captures vidéo de performances d’écriture de Corinne Lovera Vitali, sans se référer en aucune façon au monde du jeu vidéo, rejoignent cependant cette visée, proposant des écritures en performance où le geste même d’écrire est chaque fois réinterrogé, reformulé, comme expérience pratique et physique, ergonomique et psychique. La performance d’écriture relève ainsi nous semble-t-il d’une esthétique des gestes ordinaires[48] ».

Œuvres

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Littérature et poésie

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  • Nitti[18],[19], Gallimard, coll. « Blanche », 2002
  • Nouvelle Vie, Gallimard, coll. « Blanche », 2004
  • La Taille des hommes, Éditions Comp’Act - l’Act Mem, 2006
  • tout ce que je veux, plaquette, éditionsprécipitées, 2006 - Deuxième édition avec CD, 2011
  • scrute le travail, avec CD, éditionsprécipitées, 2011
  • absence des cowboys, plaquette, avec des dessins de Stéphane Korvin, Ripopée, 2015
  • apnée, epub, Contre-Mur, 2015
  • 78 moins 39[39],[38], Louise Bottu, 2016
  • ce qu’il faut[38], avec bonus sonores, publie.net, 2016
  • ta sœure l’océan mon frèr, plaquette, Littérature mineure/Maison Dagoit, 2017
  • ronette et modine, Abrüpt, 2019
  • coupe-le[10], Éditions MF, coll. « Inventions », 2021
  • Kill Jekyll, Éditions do, 2022

Littérature et poésie jeunesse

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Albums

  • Mon chien et la paix, illustration Eszter Nagy, Grandir, 1999
  • Pettirosso, illustr. Eszter Nagy, Lo Païs - Le Rocher, 2000
  • Pique-Assiette !, illustr. Eszter Nagy, Grandir, 2001
  • Petite Princesse, illustr. Eszter Nagy, Grandir, 2002
  • Chez les lapins[15], illustr. Renaud Perrin, Thierry Magnier, 2006
  • le bravo[24], avec Philippe Favier, Thierry Magnier, 2006
  • C’est Giorgio[30], illustr. Loren Capelli, Rouergue, 2008
  • Mon chien entend bien, illustr. Mathis, Thierry Magnier, 2009
  • Animalamour, illustr. Mathis, Thierry Magnier, 2009
  • Kid[34],[35], illustr. Loren Capelli, Rouergue, 2010
  • Le Champ d’amour d’Anton[42], illustr. Marion Duval, Casterman, 2016 - Ouvrage traduit et réédité aux Éditions Picturebook Gongjackso, Corée, 2021
  • mon-gros-mouton-noir, une histoire naturelle, illustr. Juliette Barbanègre, Albin Michel Jeunesse, 2017

Romans

  • Pirate des Garages-Vides - Rapport[49], Thierry Magnier, 2009

Écrits courts

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Sélection
  • Corinne Lovera Vitali, « Monde » dans Collectif (Patrick Ben Soussan), Cent mots pour les bébés d'aujourd'hui, Ramonville-Saint-Agne, Érès, coll. « Mille et un bébés »,
  • Corinne Lovera Vitali, « À perpette », illustration de Anne Herbauts, dans Novembre, du Calendrier des instants magiques, Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse, 2010
  • Corinne Lovera Vitali, couacaisse, texte pour une pièce musicale, commande de la compagnie Éclats, Bordeaux, composition musicale Aurelio Edler-Copes, 2012
  • Corinne Lovera Vitali, « mini moi », sur Le Tiers Livre,
  • Corinne Lovera Vitali, « Top 10 First Home Problems », sur Le Tiers Livre,
  • Corinne Lovera Vitali, « sont les seuls », sur Le Tiers Livre,
  • Corinne Lovera Vitali, « Respect les bébés », Spirale, Érès, vol. « Cultivons les bébés », no 93,‎ , p. 23-26 (ISSN 1278-4699)
  • Corinne Lovera Vitali, « les forces du mien et du bal (1) », sur www.error.re

Prix et distinctions

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Deux albums de Corinne Lovera Vitali font partie de la « Bibliothèque idéale » du Centre national de la littérature pour la jeunesse (BnF)[37] en 2024 : C'est Giorgio (2008) et Kid (2010), illustrés tous deux par Loren Capelli.

Adaptation

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Le texte de son album Le Champ d’amour d’Anton a fait l’objet d’une interprétation dansée créée à La Scène nationale / Théâtre d'Orléans en avril 2023[g].

Bibliographie

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Notes et références

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Notes et sources primaires

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  1. Le masculin est ici utilisé pour qualifier son travail, respectant ce qu'elle-même écrit dans son livre ronette et modine (Éditions Abrüpt, 2019), citant Alice Neel et Marguerite Duras en pages 1 et 58. De même, à une revue littéraire qui s'adresse à elle en tant qu'« écrivaine », elle répond : « je ne mets pas les mots au féminin je suis pour l’anglais » ("Dissection - 24 questions à un.e auteur.e connu.e - Entretien avec Corinne Lovera Vitali", Revue Dissonances, numéro 39, ISSN 1635-4575, pages 42-43, octobre 2020).
  2. Dans son article « respect les bébés », qui traite des lectures de son livre le bravo aux bébés dans les crèches, Corinne Lovera Vitali mentionne la fin de son travail pour la jeunesse : « […] ce livre comme la plupart des textes poétiques n’a aucun caractère d’actualité / seul le Commerce a décidé qu’il y avait une actualité du livre / ce que nous avons fait alors avec le bravo aujourd’hui ne pourrait plus exister parce que ce qu’une Ville a alors financé un éditeur aujourd’hui ne le finance pas / comme tous mes textes pour les enfants aujourd’hui le bravo ne verrait pas le jour parce que mes livres pour les enfants sont des enfants non désirés par le Commerce […]  / il y a plein de choses qui n’existent pas pour les bébés / à cause du Commerce / et s’il n’y avait qu’une seule piste de réflexion collective pour moi ce serait celle-ci » (revue Spirale n° 93, « Cultivons les bébés », dir. Patrick Ben Soussan, ISSN 1278-4699, Éditions Érès, Toulouse, avril 2020, pp. 23-26). Ce numéro spécial coordonné par "L’Agence quand les livres relient" a été confié en 2020 à des professionnels de « La culture, les arts, les bébés », dans « le contexte de la Commission des 1000 jours » (présidée par Boris Cyrulnik) ayant mission de livrer au Gouvernement des recommandations dans « l’objectif de faire des 1000 premiers jours de l’enfant une priorité de l’action publique et un levier pour refondre en profondeur les politiques qui s’adressent aux familles et aux enfants ».
  3. Ont notamment collaboré à diverses réalisations de NON, régulièrement ou ponctuellement : Fernand Fernandez, Loren Capelli, Claire Colin-Collin, Christine Jeanney, Philippe Favier, Richard Morgiève, Anne Herbauts
  1. « Tag “Corinne Lovera Vitali” », sur libr-critique. La littérature dans tous ses états (consulté le )
  2. « Tag "Corinne Lovera-Vitali" ancien site [2004-2020] », sur libr-critique. La littérature dans tous ses états
  3. Entretien de Corinne Lovera Vitali avec Xavier Thomas et lecture de son texte «Pute », dans l'émission "Bivouac" sur Radio Grenouille à l'occasion de ses deux lectures publiques à La Compagnie, Marseille, juin 2011 (cycle "La ligne" organisé par Arno Calleja)
  4. « Association NON », sur non.ultra-book.com (consulté le )
  5. « Festival Extra ! - Quand la littérature sort du livre », sur Centre Pompidou (consulté le )
  6. « Gaëlle Théval sur le site Academia », (consulté le )
  7. « Anton, par la Compagnie Ten », sur www.compagnieten.com (consulté le )

Références

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  1. Lucie Clair, « À la hauteur - La Taille des hommes, Corinne Lovera Vitali » (Poésie), Le Matricule des anges, no 73,‎ (lire en ligne)
  2. a b c d et e François Bon, présentation de l'auteur et de ses textes mini moi, Top 10 First Home Problems, sont les seuls, « Tag Corinne Lovera Vitali », sur Le Tiers Livre, janvier et juin 2014
  3. Pour introduire un de ces textes, R&N, Fabrice Thumerel l'a nommé "Flux Poétique Répétitif Télescopé, contre ce que Christian Prigent appelle le Français Médiatique Primaire (FMP)" (Libr-Critique, 7 janvier 2016). François Bon quant à lui a introduit Top 10 First Home Problems en nommant son "écriture perecquienne au plus près de l’infra-ordinaire", "tonique et iconoclaste" (Le Tiers Livre, juin 2014).
  4. « Corinne Lovera Vitali », sur remue.net (consulté le )
  5. « Corinne Lovera Vitali fait tout ce qu'elle veut chez Géo-Charles », lectures de ses propres textes avec extraits choisis de Virginia Woolf et Richard Brautigan, CNAP, 2 octobre, 13 novembre,18 décembre 2009
  6. Take You There Radio, École du Magasin-CNAC, Grenoble, juin 2015
  7. Collectif (dir.), Connaître et valoriser la création littéraire numérique en bibliothèque, Presses de l’Enssib, coll. « Boîte à outils », (ISBN 9782375461051), p. 48
  8. a b et c Nic Diament, avis critique de l'ouvrage Lise., dans Escales en littérature de jeunesse, Centre national de la littérature pour la jeunesse (CNLJ), 19 octobre 2005, avis repris sur le site de la BnF.
  9. a et b Gérard Bialestowski, « Avis critique de Lise. », Revue Griffon,‎ [PDF] [lire en ligne].
  10. a b c et d Guillaume Contré, « Récits en tranches - Coupe-le, Corinne Lovera Vitali » (Domaine français), Le Matricule des anges, no 219, ISSN 1241-7696,‎ , p. 34 (lire en ligne)
  11. a et b Isabelle Rüf, « Critique : Corinne Lovera Vitali. Nouvelle Vie », sur Le Temps,
  12. a b c et d Emmanuel Davidenkoff, « Désordres », France Info,‎ [PDF] [lire en ligne]
  13. Hervé Laurent, « Contre-mur éditions », sur Cahier critique de poésie,
  14. Sophie Van der Linden écrit en 2011 : « La littérarité de l’album [jeunesse] a indéniablement été enrichie grâce à ses textes [de Rascal ], ouvrant la voie à des auteurs à l’écriture forte comme Corinne Lovera Vitali ou Valérie Dayre », dans Sophie Van der Linden, « Panorama de l'illustration pour la jeunesse en France », sur svdl.fr,
  15. a et b Claudine Hervouet, avis critique de l'ouvrage Chez les lapins, dans La Revue des livres pour enfants, Centre national de la littérature pour la jeunesse (CNLJ), 23 mars 2006, avis repris sur le site de la BnF.
  16. a b et c Lucie Clair, « Poésie : À la hauteur (La Taille des hommes, Corinne Lovera Vitali) », sur Le Matricule des anges,
  17. a et b Morgenstern 2007.
  18. a et b Claire Devarrieux, « Services compris », Libération,‎ (lire en ligne)
  19. a et b Isabelle Rüf, « Corinne Lovera Vitali : Nitti », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  20. a b et c Malika Person, « "Le point d’équilibre - Lise., Corinne Lovera Vitali" », sur Le Matricule des anges,
  21. a b et c Pierre Ménard, « Revenir d’entre les mots (Ce qu'il faut, Corinne Lovera Vitali) », sur liminaire.fr,
  22. Bruno Portesi, « Avis critique de Nouvelle vie, Corinne Lovera Vitali », sur parutions.com,
  23. « Avis critique de Lise. », sur Ricochet,
  24. a et b Dominique Rateau, « Quelques albums qui font du bien », Revue Spirale, Érès, no 43,‎ , p. 159 (lire en ligne)
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  26. « Babil-Babel (I) : « Babilangues, ou la porte des langues » », sur agencequandleslivresrelient.fr,
  27. Dominique Rateau, « Comment la fiction littéraire aurait-elle pour objet la rencontre avec ce bébé en nous ? », Spirale, no 45,‎ (lire en ligne)
  28. Nelly Gagne-Chabrol, Filles d'albums - Les représentations du féminin dans l'album, L'Atelier du poisson soluble, Le Puy-en-Velay, 288 pages (ISBN : 978-2-35871-025-1), 2011, p.21
  29. « Avis critique de C'est Giorgio », sur Ricochet, (consulté le )
  30. a et b Claudine Hervouet, avis critique de l'ouvrage C'est Giorgio, dans La Revue des livres pour enfants, Centre national de la littérature pour la jeunesse (CNLJ), 9 octobre 2008, avis repris sur le site de la BnF.
  31. Joëlle Turin, Ces livres qui font grandir les enfants, Paris, Didier Jeunesse, 2012 pour l'édition augmentée, 224 p. (ISBN 978-2-278-05927-0), p. 185-186
  32. Nelly Gagne-Chabrol, Filles d'albums - Les représentations du féminin dans l'album, L'Atelier du poisson soluble, Le Puy-en-Velay, 288 pages (ISBN : 978-2-35871-025-1), 2011, p.56
  33. Anne-Laure Cognet, “File le temps, filent les pages", p.11, Revue Hors Cadre[s] - Observatoire de l'album et des littératures graphiques, n°8, L'Atelier du poisson soluble, mars-septembre 2011
  34. a et b Annick Lorant-Jolly, avis critique de l'ouvrage Kid, dans La Revue des livres pour enfants, Centre national de la littérature pour la jeunesse (CNLJ), 26 mai 2010, avis repris sur le site de la BnF.
  35. a et b Sophie Pilaire, « Avis critique de Kid », sur Ricochet, 2010--03 (consulté le )
  36. a et b « Montreuil décerne ses prix », sur Livres Hebdo, article créé le 15 avril 2015
  37. a et b Les ouvrages de Corinne Lovera Vitali dans la « Bibliothèque idéale », site de la BnF , consulté en juillet 2024.
  38. a b c et d Esther Salmona, « Avis critique : Corinne Lovera Vitali : Ce qu’il faut / 78 moins 39 », Cahier critique de poésie (CCP), nos 34-2,‎ juin- juillet 2007 (lire en ligne)
  39. a et b François Huglot, « Avis critique : 78 moins 39 de Corinne Lovera Vitali », sur Sitaudis,
  40. Jean-Marc Flapp, « Avis critique : Ce qu’il faut, de Corinne LOVERA VITALI », sur revuedissonances.com,
  41. Denis Cheissoux, « Emission L'as-tu lu mon p'tit loup" : "Un éléphant à New-York" et "Le chant d'amour d'Anton" », sur France inter,
  42. a et b Emmanuelle Pelot, « Avis critique de Le champ d'amour d'Anton », sur Ricochet, (consulté le )
  43. Jean-Marc Flapp, « Avis critique : Coupe-le, de Corinne LOVERA VITALI », sur revuedissonances.com,
  44. Pierre Ménard, « Lectures versatiles (Coupe-le, Corinne Lovera Vitali) », sur liminaire.fr,
  45. Voir notamment Corinne Lovera Vitali, « à l'évidence », pour Anne Herbauts, dans la revue Griffon, n° 220 spécial Anne Herbauts, p. 5, janvier-février 2010.
  46. Vidéos de Corinne Lovera Vitali sur Tapin2, site consacré à la poésie "hors du livre" », créé et dirigé par Julien d'Abrigeon
  47. Gaëlle Théval, « Écritures en performances », Art Press, nos 477-78,‎
  48. a et b Gaëlle Théval, « Gestes d’écrire / Écrire le geste » dans Gaëlle Théval, Gilles Bonnet et Erika Fülöp, Qu’est-ce que la littéraTube ?, Ateliers de Sens public, (lire en ligne), page 288 de la version PDF
  49. Sylvie Neeman, « Avis critique de Pirate des Garages-Vides », Le Temps,‎

Liens externes

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