Collectif civil pour les libertés individuelles

collectif d'organisations tunisiennes

Le Collectif civil pour les libertés individuelles est un collectif d'organisations tunisiennes créé le [1].

Collectif civil pour les libertés individuelles
Présentation
Type
Coalition (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fondation
Localisation
Localisation

Plaidoyer modifier

Le collectif d'associations se réunit autour de la défense des libertés individuelles en Tunisie. Ensemble, ses membres mènent des campagnes de plaidoyer, de mobilisation et d'interpellation[2]. Le collectif a notamment pris position pour l'abrogation des articles 230, 231 et 236 du code pénal tunisien, pour la dépénalisation de l'homosexualité, et en particulier, contre la pratique médico-légale du test anal[3].

Elle présente publiquement un rapport sur les violations des libertés individuelles en Tunisie en 2017[4].

En 2020, le collectif se déclare préoccupé de la montée des discours de haine, comme celui du député Rached Khiari[5],[6],[7].

Membres modifier

Les organisations membres en 2019 sont les suivantes[1] :

Références modifier

  1. a et b « Naissance du "Collectif pour les libertés individuelles" », sur webdo.tn, (consulté le ).
  2. « Lutte contre la LGBTQI-phobie : la Covid-19 tue, l'oppression de l'État tue et la haine tue ! », sur tekiano.com, (consulté le ).
  3. Rihab Boukhayatia, « Les libertés individuelles en Tunisie : beau sur le papier mais... Un collectif d'associations met en garde », sur huffpostmaghreb.com, (consulté le ).
  4. « Le Collectif civil pour les libertés individuelles présente son rapport sur les principales violations des libertés individuelles au cours de l'année 2017 », sur tuniscope.com, (consulté le ).
  5. « Le Collectif civil pour les libertés individuelles : "Rached Khiari est l'exemple même du discours de la violence et de la haine" », sur lapresse.tn, (consulté le ).
  6. « Le Collectif civil pour les libertés individuelles “consterné” face à la montée des discours de violence », sur webmanagercenter.com, (consulté le ).
  7. « Collectif civil pour les libertés individuelles : « Si caricature offensante il y a, c'est bien Rached Khiari en personne » », sur shemsfm.net, (consulté le ).