Carnets d'un grand détour

Carnets d'un grand détour est un film documentaire québécois réalisé par Catherine Hébert et sorti en 2012[1].

Carnets d'un grand détour

Réalisation Catherine Hébert
Scénario Catherine Hébert
Sociétés de production Coop Vidéo de Montréal
Pays de production Drapeau du Québec Québec
Genre documentaire
Durée 94 minutes
Sortie 2012

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Synopsis

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Quand Marc Roger, lecteur public de métier, se donne pour défi de marcher de Saint-Malo à Bamako avec son âne chargé de livres à partager, la cinéaste Catherine Hébert (De l’autre côté du pays) le rejoint au Maroc, avec sa caméra[2]. Alors que des milliers d’Africains traversent chaque jour le continent vers le nord dans l’espoir d’améliorer leurs conditions de vie, Carnets d’un grand détour effectue un émouvant périple à contresens, le long des sentiers du Maroc, du Sénégal et du Mali. Chemin faisant, les superbes images et la narration poétique de la réalisatrice esquissent un regard très personnel sur l’Afrique et ses habitants. Plusieurs quêtes parallèles s’y révèlent : celle de Marc, la sienne, et les récits de plusieurs individus croisés au passage.

Fiche technique

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Distinctions

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Récompense

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Sélections

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Accueil critique

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Jean-François Hamel, rédacteur de la revue Ciné-Bulles écrit : « Il y a des films qui fascinent parce qu’ils prennent le spectateur à témoin d’une aventure hors du commun, d’autant plus bouleversante qu’elle modifie sa vision du monde et son rapport à l’autre. Ces films sont autant de voies par où une réalité jusque-là inconnue se révèle à lui. C’est ce que la cinéaste québécoise Catherine Hébert propose avec le documentaire Carnets d’un grand détour. Ce projet a tout d’une entreprise périlleuse, ne serait ce que sur le plan humain, avant même de devenir un documentaire : parcourir, caméra à la main, le continent africain à la marche, du Maroc au Mali, en suivant un homme, Marc Roger, parti de Saint-Malo, où ses parents sont enterrés, pour rejoindre son lieu de naissance : Bamako»[5]. La rédaction du journal Métro ajoute « La réalisatrice Catherine Hébert, qui a réalisé plusieurs reportages et documentaires, dont le film De l’autre côté du pays, nous invite à découvrir, avec ce Carnet d’un grand détour son film le plus personnel.»

[6]Notes et références

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  1. Sami Gnaba, « Catherine Hébert « Qu’on le veuille ou non, on n’échappe pas au rapport noir-blanc. C’est une question qui m’a poursuivie pendant tout le voyage... » », Séquences, no 277,‎ mars–avril 2012, p. 14-16 (ISSN 0037-2412 et 1923-5100, lire en ligne, consulté le ).
  2. Gérard Grugeau, « Le voyage à l’envers / Carnets d’un grand détour de Catherine Hébert », 24 images, no 156,‎ , p. 66–66 (ISSN 0707-9389 et 1923-5097, lire en ligne, consulté le )
  3. Site Réalisatrices équitables [1]
  4. « Carnets d'un grand détour », sur Coop Vidéo de Montréal (consulté le )
  5. Jean-François Hamel, « Une valeur d’éternité / Carnets d’un grand détour de Catherine Hébert, Québec, 2012, 96 min », Ciné-Bulles, vol. 30, no 2,‎ , p. 52–52 (ISSN 0820-8921 et 1923-3221, lire en ligne, consulté le )
  6. journalmetrotc et Redaction, « Carnets d’un grand détour: un documentaire de Catherine Hébert », sur Journal Métro, (consulté le )

Bibliographie

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  • Jean-François Hamel, « Une valeur d'éternité », Ciné-Bulles, [2]

Liens externes

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