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Système tégumentaire modifier

 
« Velours » recouvrant les bois d'un cervidé.

Le système tégumentaire (du latin tegere, couvrir) désigne en zoologie et en anatomie, un tissu biologique situé à l'interface du milieu intérieur et du milieu extérieur d'un organisme. C'est tout ce qui concerne le revêtement externe du corps (peau, poils, cheveux, ongles, écailles, carapace, plumesetc.). Le système tégumentaire forme la couche externe de l'organisme.

Définition du système tégumentaire modifier

Origine /évolution modifier

Peau chez les humains modifier

Chez les humains, le système tégumentaire est composé de la peau, y-compris les glandes cutanées, des poils (cheveux) et des ongles.

 
Épiderme et derme

La peau est la partie externe de notre organisme. Elle nous protège des agressions par des pathogènes extérieurs, assure un milieu humide à notre corps, conserve la chaleur de notre corps et nous donne des information sensorielle sur notre environnement. Sans cet organe nous ne pourrions par survivre[1].

La peau a une superficie d'environ 2 m2 chez l'adulte moyen et pèse de 4,5 à 5 kg[2]. Elle n'a pas la même épaisseur partout, elle se différencie en peau épaisse (jusqu'à 4 mm au talon) et en peau mince (juste 0,5 mm pour les paupières). La peau épaisse se trouve à l'intérieur des mains (paume et doigts) et sous les pieds (plante des pieds et orteils). Ces endroits se différencies aussi par d'autres caractéristiques; la peau épaisse n'a pas de poils, ni de glandes sébacées, mais a plus de glandes sudoripares et de récepteurs nerveux[2].

La peau est formée de deux couches distinctes, une couche extérieure mince non vascularisée, l'épiderme, et une plus épaisse en dessous, le derme. Sous le derme se trouve l'hypoderme, un tissus essentiellement graisseux qui ne fait pas partie de la peau, mais qui est nécessaire à son fonctionnement et qui attache la peau aux membranes, les fascias, entourant par exemple les muscles ou les os[1].

Épiderme modifier

 
Épiderme

L'épiderme, d'une épaisseur de 0,05 mm dans les paupières jusqu'à 1,5 mm pour la plante des pieds[1], est constitué de cellules très serrées les unes contre les autres, aplaties dans la partie externe. Comme 90 % de ces cellules sont des kératinocytes, un tissu avec une telle structure avec ce genre de cellules est appelée épithélium stratifié squameux kératinisé. Cette partie de la peau n'est pas vascularisée[3].

C'est dans la couche intérieure de l'épiderme que se créent les nouvelles cellules de la peau qui migrent ensuite vers l’extérieur en se transformant en couche cornée[2]; ce processus dure de 28 à 30 jours chez les jeunes adultes et 45 à 50 jours chez les personnes âgées[4].

On distingues les 4 couches suivantes (5 pour les endroits où la peau est dite épaisse, c'est-à-dire, la plante des pieds et la paume des mains) allant de l'intérieur vers l'extérieur[3] :

Couche basale (stratum basale) modifier

La couche basale est formée d'une couche unique de cellules cubiques qui contiennent des cellules souches épidermiques et qui créent continuellement de nouvelles cellules, les kératinocytes[5]; ces cellules attachées solidement les unes aux autres vont produire plus tard de la kératine, une protéine fibreuse qui donne à la peau, aux ongles et aux poils leur solidité et résistance[3]. Cette couche est solidement ancrée au derme par des papilles qui augmentent la surface d'attachement.

Deux autres genres de cellules se trouvent dans cette couche :

  1. Les mélanocytes: Elles produisent la mélanine qui est distribuée dans les kératinocytes par des filaments. La mélanine est un pigment qui contribue à la couleur de la peau ( et aussi des poils et des yeux) et, en s'accumulant sur la face du noyau des kératinocytes qui est tourné vers l’extérieur, protège ces dernières des effets néfastes des rayons ultra-violet[1].
  2. Les cellules de Merkel: Ce sont des récepteurs sensoriels du toucher et chacun est associé à une terminaison sensorielle nerveuse qui se trouve dans le derme et qui transmet l'information au cerveau. Bien que généralement peu nombreuses, elles sont plus abondantes dans la paume des main et sur la plante des pieds[3].

Couche épineuse (stratum spinosum) modifier

Dans cette couche composées de 8 à 10 couches de kératinocytes qui adhérent l'une à l'autre très solidement grâce à des desmosomes qui sont localisés à l’intérieur de la membrane cellulaire et qui assurent une adhésion très forte avec les cellules voisine. Ces desmosomes sont ancrés dans la cellule grâce à des filaments. Ces derniers donnent une structure « en épines » aux kératinocytes quand elles sont préparées pour être observés au microscope[1]. A la fin de leur séjour dans cette région, les kératinocytes commencent à produire de la kératine[3].

C’est aussi dans cette couche qu'on trouve des cellules de Langerhals, produites dans la moelle osseuse. Ce sont des globules blancs spécialisés dans la destruction de bactéries indésirables, l'élimination de cellules endommagées et l’ingurgitation de débris[1].

Couche granuleuse (stratum granulosum) modifier

Dans la couche granuleuse, formée de 3 à 5 couches de cellules, les kératinocytes intensifient la production de kératine et synthétisent les grains de kératohyaline, cette protéine aide à la liaison des dépôts de kératine qui se créent dans la cellule. Les kératinocytes produisent aussi des sécrétions grasses, accumulées dans les grains lamellés (en), qui vont remplir les espaces entres elles, formant ainsi une couche imperméable[2].

Pendant ce processus, les kératinocytes changent d'aspect et s'aplatissent, puis meurent (apoptose) en dégradant leurs organites. La couche granuleuse marque ainsi la frontière entre les couches vivantes (basale et épineuse) et les couches mortes (claire et cornée)[2].

Couche claire (stratum lucidum) modifier

La couche claire n'est présente que dans les endroits où la peau est dite épaisse, à savoir la paume des mains, y-compris l'intérieur des doigts, et la plante des pieds. Elle est composée de 3 à 5 couches de kératinocytes, morts et aplatis, remplis d'éleidine (en), un dérive transparent de la kératine entouré d'une substance huileuse[3].

Couche cornée (stratum corneum) modifier

La couche la plus externe est la couche cornée composée de 25 à 30 couches de kératinocytes aplaties et mortes. L’intérieur de ces cellules est principalement composé de kératine et entre-elles se trouve une substance graisseuse[2]. Cette assemblage produit une enveloppe hydrophobe qui protège l’intérieur du corps d'agresseur extérieurs, de la déshydratation et de l'abrasion et la pénétration[3]. Cette couche est totalement remplacée en environ 4 semaines[2] et une personne perd en moyenne 18 kg de cellules de peau mortes durant sa vie[1].

Derme modifier

 
Les deux couches du derme.

Sous l'épiderme se trouve le derme, première couche vascularisée et qui met à disposition de l'épiderme les éléments nutritionnels nécessaire[3]. Le derme, d'une épaisseur de 1,5 à 4 mm[4], est un tissus résistant et souple, composé principalement de collagène, une protéine insoluble et tenace qui donne à la peau sa robustesse, et d'élastine, une protéine similaire qui confère à la peau son élasticité[4]. Le cuir est en fait le derme d'animaux séché et traité[2].

Le derme renferme aussi des globules blancs, en particulier des macrophages. Il comporte aussi de nombreux vaisseaux sanguins et lymphatiques, ainsi que des fibres nerveuses. C'est aussi ici que s'ancre les racines des poils, les glandes sudoripares et sébacées, et les terminaisons nerveuses du toucher[3].

Il est composé de deux couches, la couche papillaire qui lie fortement l'épiderme au derme, et la couche réticulaire plus profonde. Ces deux couches n'ont pas de frontières très définies[1].

Couche papillaire modifier

La partie supérieure du derme entoure les papilles de la couche basale de l'épiderme. Elle est formée de fines fibres d'élastine et de collagène entrelacés formant un tissus assez lâche permettant la circulation de globules blancs à la recherche de pathogènes qui pourraient avoir pénétrés dans la peau[1]. Cette couche est fortement vascularisée. Elle contient aussi beaucoup de terminaisons nerveuses qui sont responsable de la sensation du toucher (corpuscules de Meissner), de chaud, de froid, de la douleur, des démangeaisons[2].

L'alignement des papilles de l'épiderme dans le derme peut se voir en particulier sur l'intérieur des doigts, dans la paume des mains et sur la plante des pieds. Ces creux et crêtes augmentent la surface d’adhésion et accroissent ainsi l’adhérence. Le long des crêtes se trouvent les orifices des glandes sudoripares et c'est ainsi que le dessins de ces lignes se dépose sur des surface lisse en temps qu'empreintes digitales[2].

Couche réticulaire modifier

 
Lignes de distraction sur la femme, vue de dos

Cette couche est composée d'un réseau dense et irrégulier de fibres élastiques composées de collagène et d'élastine. Ces fibres sont regroupées en faisceaux épais et enchevêtrés[1]. Les faisceaux de fibres de collagène se trouvant dans la partie supérieure de la couche réticulaire ont tendance à s’aligner dans une même direction, définissant ainsi des lignes lignes de distraction ("distraction" doit ici être compris dans le sens de "séparation") orientées différemment sur le corps[6]. Ces lignes sont importantes pour la chirurgie, car une incision le long de ces lignes va guérir plus vite et produire moins de tissus cicatriciel[1].

En plus des lignes des creux et des crêtes des papilles de l’épiderme et des lignes de distraction, il existe aussi des plis de flexion, endroits où le derme est fixé plus solidement aux articulations. Ces plis se trouvent en particulier dans les paumes des mains, les articulations des doigts et des doigts de pied, les poignets et les chevilles[1].

Un réseau de vaisseaux sanguins se trouve entre la couche papillaire et la couche réticulaire. Il alimente en particulier la couche papillaire et ainsi l'épiderme. Un autre réseau composé de vaisseaux sanguins plus gros se situe entre la couche réticulaire et l'hypoderme. Ces deux réseaux sont connectés par des vaisseaux perpendiculaires[7].

Hypoderme modifier

Sous le derme se trouve l'hypoderme, une couche plus ou moins épaisse formée de cellules de graisses, les adipocytes. Cette couche de graisse, qui ne fait pas véritablement partie de la peau, relie la peau aux structures qui se trouvent en-dessous, en particulier aux muscles. Elle permet d'absorber les chocs, elle facilite le glissement de la peau sur ces structures, elle isole le corps contre les pertes de chaleur[1]. C'est aussi là que le corps emmagasine 85% de sa graisse[8]. Cette couche s'épaissit lors de la prise de poids; chez la femme cette prise de poids se fait primordialement dans les cuisses et les seins, et chez l'homme en premier lieu dans le ventre[1].

Autres structures cutanées modifier

 

La peau comporte d'autres éléments outre les differentes couches: des glandes, des poils (cheveux) et des ongles. Ces structures sont essentiel au bon fonctionnement de la peau en temps que protection du corps interne. Elles sont toutes développées à partir ??????

Glandes modifier

Glandes sébacées modifier

La grande majorité des glandes sébacées sont connectées à un conduit de poil. Ces glandes se trouvent sur tout le corps à l’exception des paumes de la main et des plantes des pieds[2]. Elles sont plus grosses sue le visage, le cou et la partie supérieure de la poitrine[1]. Elles secrètent une substance huileuse nommée sébum. Cette substance est produite en accumulant des matières grasses dans des cellules centrales de la glande jusqu'à ce que ces dernières éclatent et meurent en produisant le sérum; ce genre de glande se nomme glande holocrine (en)[1].

Le sébum assure la souplesse des poils et de la peau en les lubrifiant. Il a aussi une fonction antibactérienne et limite aussi l'évaporation de l'eau par la peau[3]. Sa production reste faible pendant l'enfance et s'accroit à la puberté sous la stimulation des androgènes[1].

Glandes sudoripares modifier

Les glandes sudoripares secrètent de la sueur. Elles sont réparties sur toute la surface du corps, entre 500 à 1000 par centimètre carré, donc plus de 3 millions sur tout le corps. Elles se contractes quand elles sont stimulées par le système nerveux pour extraire la sueur vers la surface de la peau[1].

On distingue les glandes sudoripare eccrines, qui déversent la sueur directement sur la peau, et les glandes sudoripares apocrines qui exsudent la sueur par un pore d'un poil[1]. Les glandes sudoripares eccrines commencent à fonctionner dès la naissance, mais les grandes sudoripares apocrines seulement dès la puberté[9] sous l'influence d'hormones particulières, les androgènes[1].

Glandes sudoripares eccrines modifier

Les glandes sudoripares eccrines se trouvent sur toute la surface de la peau, mais particulièrement sur les paumes des mains, les plantes des pieds et le front. Elles sont absentes sur le contour des lèvres, sous les ongles, sur le pénis, le clitoris, les petites lèvres, et les tympans à l’intérieur des oreilles[2]. Elles se présentent comme des petits tuyaux enroulés sur eux-même en petites pelotes lâches situées dans le derme réticulaire, avec un conduit qui ressort par un pore dans la peau[3]. La sueur produite par les glandes eccrines est composée d'eau, de ions (en particulier de Na+ et de Cl-), d'urée, d’acide urique, d'acides aminés, de glucose et d'acide lactique. Le corps produit en moyenne 600 mL de sueur par jour. Cette production de sueur assure la régulation de la température du corps, en s'évaporant elle permet de le refroidir[2].

Les cellules de ces glandes produisent la sueur en l'expulsant sans perdre une partie de leur cytoplasme ou en mourir. Ce genre de glande se nomme glande mérocrine (en)[10].

Glandes sudoripares apocrines modifier

La sueur produite par les glandes sudoripares apocrines est sécrétée directement dans le conduit d'un poil. Elle est composée des mêmes ingrédients que la sueur produite par les glandes sudoripares eccrines, auxquels s’ajoute des graisses et des protéines; ce qui la rend un peu visqueuse et de couleur blanchâtre, voir jaunâtre. Quand cette sueur arrive sur la peau, les bactéries la métabolisent, contribuant ainsi à l'odeur corporelle[9].

Les glandes sudoripares apocrines (on en dénombre environ 2 000 sur tout le corps[1]) se situent sous les aisselles, les régions génitales et anales, les aréoles des seins et les poils de la barbe chez les hommes[9]. Elles sont plus grosses et sont logées plus profondément dans le derme que les glandes sudoripares eccrine et déversent la sueur dans le canal d'un poil[3]. Pour relâcher la sueur, les cellules créent une sorte de boursoufflement du leur cytoplasme, qui est ensuite sectionné et le tout est déversé dans le conduit de la sueur[11]. Elles s'activent en particulier lors d'émotions, de douleurs ou de stimulations sexuelles. Elles ne jouent pas de rôle dans la régulation de la température corporelle[1].

Glandes cérumineuses modifier

Dans le conduit auditif externe se situent les glandes cérumineuses qui sont une modification de glandes sudoripares apocrines[1]. Elle sécrètent une substance, qui combinée avec les glandes sudoripares, produit le cérumen, une sorte de cire jaunâtre. Cette cire, collante et imperméabilisante, s'accroche aux poils du conduit auditif externe et empêche ainsi l'entrée de corps étranger, d'insectes, de bactéries et de champignons[2].

Poils modifier
 
Poil avec racine

Ongles modifier

Couleur de la peau, Pigmentation modifier

Tatous modifier

Fonction du système tégumentaire modifier

Protection modifier

  • Microbiote

Régulation thermique modifier

  • P 258 de Physiologique animale
  • P 753 de Physiologie animale (rat-taupe nu)

Sensations modifier

  • P 217 de Physiologique animale (toucher)
  • P 2600 de Physiologie animale (douleur)

Fonction métabolique (vitamine D) modifier

Réservoir sanguin modifier

Excrétion modifier

Vieillissement modifier

Relation avec avec les autres systèmes du corps modifier

Chez les vertébrés modifier

[5]

Poils, cheveux, plumes, écailles

Ongles et griffes modifier

Cornes modifier

  • Plumes
  • Écailles

Maladies chez les humains modifier

Composition modifier

Chez les mammifères, le système tégumentaire comprend la peau et les phanères (poils, ongles, griffes). La peau contient des récepteurs sensoriels (à la pression, à la température, de la douleur), et des glandes sudoripares et sébacées.

Rôles modifier

Le système tégumentaire est une interface entre le corps et l'environnement. À ce titre, il a trois rôles principaux :

  • communication : par le biais des récepteurs sensoriels, l'organisme est informé de la nature de son environnement direct ; en outre, l'apparence générale du tégument communique de manière indirecte aux autres individus des informations permettant d'estimer l'état de santé ou le vieillissement de l'organisme.
  • protection : d’une part, il agit comme une protection physique et chimique relative vis-à-vis des traumatismes (chocs), et peut aussi fournir une aide à l’action sur l’environnement (par exemple la griffe pour couper) ; d'autre part, il permet une protection immunitaire contre les organismes étrangers ;
  • échange : différents mécanismes permettent de réguler l'échange de chaleur entre l'organisme et son environnement, c'est la thermorégulation.

Une dernière fonction, que l’on peut apparenter à une fonction hormonale, est la synthèse de vitamine D.

Liste des références pour qu'elles ne s'effacent pas automatiquement modifier

[2][1][3][4][5][9]

Références modifier

  1. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w et x Elaine N. Marieb, Katja Hoehn (trad. Linda Moussakova, René Lachaîne), Anatomie et Physiologie Humaines, Saint-Laurent (Montréal), Canada, Édition du Renouveau Pédagogique, Inc., , 1415 p. (ISBN 978-2-7613-3071-8, lire en ligne), p. 172 - 198
  2. a b c d e f g h i j k l m n et o (en) Gerard J. Tortora et Bryan Derrickson, Principles of anatomy and physiology, Hoboken, New Jersey, USA, John Wiley & Sons, Inc., , 1254 p. (ISBN 978-0-470-08471-7, lire en ligne), p. 147-174
  3. a b c d e f g h i j k l et m (en) Lindsay M. Biga, Sierra Dawson, Amy Harwell, Robin Hopkins, Joel Kaufmann, Mike LeMaster, Philip Matern, Katie Morrison-Graham, Devon Quick & Jon Runyeon, Anatomy & Physiology, Open Textbooks, Oregon State University, Open Educational Resources Unit (lire en ligne), Chapter 5. The Integumentary System
  4. a b c et d (en) U. S. National Institutes of Health, National Cancer Institute, « SEER (Surveillance, Epidemiology and End Results) Training Modules, Skin Cancer: Melanoma », sur National Cancer Institute, SEER Training Modules (consulté le )
  5. a b et c (en) Scott F. Gilbert, Developmental Biology, Sunderland, MA, USA, Sinauer Associates, Inc., , 816 p. (ISBN 978-0-87893-978-7, lire en ligne), p. 367-372
  6. (en) Namikawa A, Sakai H, Motegi K, Oka T., « Cleavage lines of the skin », Bibl Anat., vol. 27,‎ , p. 1-60 (PMID 3530245, lire en ligne  )
  7. (en) J.S. Barbieri, K. Wanat, J. Seykora (https://www.sciencedirect.com/topics/agricultural-and-biological-sciences/vascular-plexus), « Skin: Basic Structure and Function », Pathobiology of Human Disease, Academic Press,‎ , p. 1134-1144 (ISBN 9780123864574, lire en ligne  )
  8. (en) Frayn KN, Karpe F, « Regulation of human subcutaneous adipose tissue blood flow », Int J Obes (Lond),‎ 2014 aug (PMID 24166067, lire en ligne)
  9. a b c et d (en) Gerard J. Tortora, Bryan Derrickson, Essentials of anatomy and physiology, Hoboken, NJ, USA, John Wiley & Sons (Asia) Pte Ltd, , 683 p. (ISBN 978-0-470-41885-7, lire en ligne), p. 100 - 115
  10. « Le dictionnaire de l’Académie nationale de médecine en ligne » (consulté le ) : « Définition de "glande mérocrine" »
  11. (en) Morgan B. Murphrey, Anthony O. Safadi, Tanvi Vaidya, « Histology, Apocrine Gland », StatPearls [Internet]. Treasure Island (FL): StatPearls Publishing,‎ (PMID 29489220, lire en ligne)

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Bibliographie modifier

  • Derickson B & Tortora G.J (2009) Le système tégumentaire ;
  • Derrickson B & Tortora G.J, Manuel d’anatomie et de physiologie humaines, De Boeck, Bruxelles, 95-109 ;
  • Marieb E.N & Hoehn K (1999) Le système tégumentaire. Anatomie et physiologie humaines. Éditions du Renouveau Pédagogique Inc, 142-163 ;
  • Tortora G.J & Grabowsky S.R (1994). Le système tégumentaire. Principes d'anatomie et de physiologie. Éditions de Boeck université, Paris, 2e édition française

Liens externes modifier

    • Uberon
    • Xenopus Anatomy Ontology
    • (en) Medical Subject Headings
    • (la + en) TA98