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MAURICIO VARGAS modifier

Mauricio Vargas est un écrivain et journaliste colombien, né à Bogotá en 1961. Il a publié plusieurs romans aussi bien politiques qu’historiques. Les thèmes abordés de ses romans sont le pouvoir politique, la gestion des gouvernements et comment la politique affecte la vie des gens[1]. En 1993 il publia  Memorias del Revolcón En 1995 il fut co-auteur de El presidente que se iba a caer. En 2001 Il obtint le Prix de journalisme Planeta avec le roman Tristes Tigres. En 2005 il publia La pesca del delfín. En 2007 La última vida del gato. En 2009 il obtint le prix Telefónica Bicentenario avec le roman El mariscal que vivió de prisa. Ce roman historique raconte les gloires et les vicissitudes de la vie du grand maréchal d’Ayacucho, Antonio José de Sucre, son enfance, son éducation, ses combats depuis l’âge de 15 ans, ses amours et le complot derrière son assassinat en 1830 en Colombie.

En 2013 Mauricio Vargas publia Ahí le dejo la gloria et en 2018 Vargas Linares publia son dernier roma historique La noche que mataron a Bolívar.

Biographie modifier

Entre 1982 et 1983 Vargas Linares a vécu en Europe où il fut journaliste à El Pais de Madrid, et à Libération de Paris. De retour en Colombie il fut chef de rédaction de la revue Semana.

Vargas a obtenu six fois le Prix National de Journalisme Simón Bolívar [2] pour ses articles d'opinion, ses chroniques et nouvelles. Il a gagné son premier prix de journalisme en 1984 et son dernier en 2003.

Entre 1991 et 1992 il fut ministre des Communications pendant le gouvernement de César Gaviria Trujillo. Ensuite Maurcio Vargas est retournée a la revue Semana et il est devenu son directeur entre 1992 à 1997.

Actuellement il est chroniste hebdomaire dans le journal El Tiempo en Colombie. Aussi il est conférencier à HiCue Speaker où il fait des analyses du contexte politique d'Amérique Latine.

Prix Littéraires modifier

2001: Prix de journalisme Planeta pour son roman Tristes tigres

2009 Prix Telefónica Bicentenario pour son roman El mariscal que vivió de prisa

Prix National de Journalisme Simón Bolívar modifier

  • 1984 pour la chronique Yo maté a las Kaled
  • 1989 pour l'article El Atlas de la violencia
  • 1993 pour les articles Serie de informes sobre la guerrilla
  • 1998 pour la nouvelle Las voces de la guerra
  • 1999 pour l'article Fanny la cazadora
  • 2003 pour la nouvelle Los enredos de Royne

Œuvre modifier

Les premiers romans de Mauricio Vargas sont des ouvrages basés sur la politique et ont été écrits sous l’égard journalistique. À partir de 2009 Il est devenu chercheur en Histoire, il s’est tourné ensuite vers la littérature avec ses trois derniers romans historiques qui constituent l'essentiel de son œuvre.

Son attitude envers le roman, et surtout « l’historique », est celle d’un reporter qui part en enquête. Il écrit ce qui s'est passé il y a deux cents ans: bien qu'il possède tous les éléments de la fiction, il préfère tout ce qui peut être fondé sur les faits les plus solides et éprouvés de l'histoire. Donc, pour l’écriture de ses trois derniers romans historiques, qui traitent de l'indépendance de l'Amérique du Sud, le journaliste a pris comme preuve les lettres de correspondance de l'époque.

  1. (es) « HISTORIAS DE VIDA », sur isalopezgiraldo.com, (consulté le )
  2. (es) « Ganadores del Premio Nacional de Periodismo Simón Bolívar », sur premiosimonbolivar.com, (consulté le )