Utilisateur:Omondi/Brouillon

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Brouillons modifier

Oie à l'instar de Visé modifier

Oie à l'instar de Visé
Lieu d’origine Blason de Visé Visé
Date XIVe siècle
Place dans le service Plat principal
Température de service Chaud
Ingrédients Oie, ail, jaune d’œuf, graisse d'oie


Charles Collyns modifier

Charles Collyns
Naissance
Liège, Drapeau de la Belgique Belgique
Décès
Liège, Drapeau de la Belgique Belgique
Origine belge
Allégeance Drapeau de la Belgique Royaume de Belgique
Arme 12e de Ligne
Grade lieutenant général
Commandement 2e bataillon du 12e de Ligne
Conflits Première Guerre mondiale
Faits d'armes Bataille de Liège
Bataille de l'Yser (Dixmude)


Historique du fort Wierickerschans modifier

L'entrée (datant de 1783) du fort Wierickerschans.

Construit en 1673 par l'ordre de Guillaume III d'Orange-Nassau pour être la garnison de 250 militaires, le fort devient un dépôt militaire entre 1870 et le , date à laquelle il est transformé en camp de prisonniers pour 38 militaires britanniques et Chauvin, officier interprète français auprès de la Royal Naval Division (R N Don) transférés depuis la prison de Groningue[1].

André d'Humières écrit dans sa note sur son internement : "... Le surlendemain de notre arrivée, nous reçûmes la visite au fort du Ministre de France, M. Allizée, et de l'attaché militaire, le lieutenant colonel Desprès. Après nous avoir demandé des renseignements sur notre reconnaissance et la cause de notre atterrissage en Hollande. Ils nous firent part de l'intention des autorités hollandaises de nous envoyer à l'île d'Urk. Comme l'internement y est extrêmement pénible, ils nous conseillaient de donner notre parole pour nous faire oublier, quittes à la reprendre quelque temps après. Coutisson et moi, nous trouvâmes un moyen terme et après de longs pourparlers, les autorités hollandaises décidèrent de nous laisser à Wierickerschans.

INTERNEMENT A WIERICKERSCHANS

Wiierickerschans est un vieux fort désarmé qui servait de poudrière avant que l'on pensât à en faire un lieu d'internement. Placé au bord du "Vieux Rhin", au milieu des Polders entre Leyde et Utrecht, le fort est entouré d'eau de tous côtés. Wierickerschans se composait de deux groupes de bâtiments, l'un réservé aux officiers internés, l'autre à l'usage de la petite garnison hollandaise composée d'une centaine d'hommes. L'existence que nous menions était assez monotone, mais fort supportable. La nourriture était bonne. Dans la journée nous avions l'autorisation de nous promener sur les remparts. Des promenades avec escorte étaient organisées à l'extérieur. Des permissions de la journée nous étaient bientôt accordées pour aller à La Haye ou à Rotterdam. Nos lettres et paquetsn'étaient pasouverts. Le major Van Boecop, commandant du fort, s'appliquait à adoucir notre sort en nous installant une bibliothèque, puis un tennis. Malgré tous ces égards, notre idée fixe était de retrouver notre liberté. Toutes nos pensées comme nos conversations convergeaient vers ce but. (à suivre si cela t'interesse.)

Suite : Les bâtiments que nous habitions était dans une enceinte entourée d'une haute rangée de fils de fer barbelés, gardée par de nombreuses sentinelles éclairée la nuit comme en plein jour. Au sud une grille, fermée la nuit donnait accès à la région des casernes. Mais la cantine des soldats hollandais se trouvait dans l'enceinte où nous logions et chaque soir, entre 8 et 9 heures, il s'établissait de ce fait un va et vient continu à la grille de l'enceinte. Si nous parvenions à nous procurer des uniformes hollandais, nous avions grande chance de passer insoupçonnés devant la sentinelle de traverser la cour non éclairée la nuit, de franchir la palissade qui fermait la couret d'arriver ainsi au bord de l'eau. Mais il nous fallait une aide extérieure :

  • 1° pour nous procurer des uniformes hollandais;
  • 2° pour venir nous chercher de l'autre côté du fossé du fort.

Le 17 février, nous recevions la visite de à qui nous avions écrit le 14; nous lui exposâmes notre plan d'évasion; il voulut bien nous promettre son aide et nous dit que son meilleur collaborateur allait s'occuper de nous. Bientôt nous reçumes par petits colis deux shakos et deux combinaisons kakis. Dès lors nous étions prêts et n'eûmes plus qu'à attendre la date convenue pour l'évasion, qui fût fixée au 26 février. Mais un télégramme, puis une lettre nous apprenaient que le projet était remis, nous enjoignant d'attendre des instructions. Les jours passaient et rien ne venait. Pendant ce temps, le commandant du fort, voulant donner le maximum de confort aux officiers internés, accumulait sans y tâcher les difficultés qui s'opposaient à notre fuite. Il fit construire un nouveau corps de garde à l'extérieur du fort, et transporter la cantine des hommes dans la cour extérieure; dès le 5 marss, le va et vient sur lequel reposait en grande partie notre succès diminuait ainsi d'une façon sérieuse, à notre grand désespoir. Seuls quelques ordonnances passaient à présent la grille entre 8 et 9 heures du soir. L'ajournement de notre tentative allait peut-être nous être fatal. Le 19 mars, fort inquiet d'être sans nouvelles, je me renis à La Haye, où j'appris que notre Ministre avait reçu du Gouvenement hollandais la proposition d'échanger Coutisson contre un aviateur allemand. Il convenait d'attendre la réponse du Gouvernement français avant de ne rien tenter. Je répondis en signalant les difficultés qui allaient s'accumulant; on me conseilla la patience; dès que Coutisson serait échangé, on s'occuperait de moi. Le soir en rentrant, je mis Coutisson au courant. (à suivre).

Notes et références modifier

  1. (nl) J. Reinders, « Interneringsoord Fort Wierickerschans 1915-1917 », sur ssew.nl, (consulté le )

Liens externes modifier


Westgate - Nairobi modifier

Le , une attaque terroriste revendiquée par Al-Shabbaab sur son compte Twitter par ce message « The Mujahideen entered #Westgate Mall today at around noon and are still inside the mall, fighting the #Kenyan Kuffar inside their own turf »[1]

Notes et références modifier

  1. (en) n.c., « Al-Shabaab twitter account suspended after mall attack », Daily Nation, Nairobi, The Standard Group,‎ (lire en ligne [[html]]) — Source AFP

Stegobium paniceum modifier

Description modifier

Version ordiphone

Comparaison des deux espèces

Version PC no 1

Comparaison des deux espèces
Stegobium paniceum adulte Lasioderma serricorne adulte Larves
Un individu adulte de Stegobium paniceum vu de dos Un individu adulte de Lasioderma serricorne vu de trois-quarts dos Larve de Lasioderma serricorne en haut et larve de Stegobium paniceum en bas
antennes à 11 articles,
les 3 derniers en forme de massue allongée
antennes en dents de scie
setæ plus longs
chez Lasioderma serricorne (en haut)
que chez Stegobium paniceum (en bas)
élytres avec des lignes longitudinales
de ponctuations leur donnant un aspect strié
élytres très finement ponctuées,
paraissant lisses

Version PC no 2

Comparaison de l'adulte
Stegobium paniceum Lasioderma serricorne
Un individu adulte de Stegobium paniceum vu de dos Un individu adulte de Lasioderma serricorne vu de trois-quarts dos
antennes à 11 articles,
les 3 derniers en forme de massue allongée
antennes en dents de scie
élytres avec des lignes longitudinales
de ponctuations leur donnant un aspect strié
élytres très finement ponctuées,
paraissant lisses
Comparaison de la larve
Larve de Lasioderma serricorne en haut et larve de Stegobium paniceum en bas
setæ plus longs
chez Lasioderma serricorne (en haut)
que chez Stegobium paniceum (en bas)

Version PC no 3

Comparaison entre S. paniceum ( à gauche) et L. serricorne (à droite)
Adulte
Un individu adulte de Stegobium paniceum vu de dos Un individu adulte de Lasioderma serricorne vu de trois-quarts dos
antennes à 11 articles,
les 3 derniersen forme de massue allongée
antennes en dents de scie
élytres avec des lignes longitudinales
de ponctuations leur donnant un aspect strié
élytres très finement ponctuées,
paraissant lisses
Larve
Une larve de Stegobium paniceum Une larve de Lasioderma serricorne
longs setæ
courts setæ
aspérités sur la face dorsale de l'abdomen
aucune aspérité sur
la face dorsale de l'abdomen
stigmates discrets en forme de « 7 »
stigmates discrets de forme ronde à ovale

Systématique et taxinomie modifier

Nom accepté modifier

L'espèce Stegobium paniceum (du latin panis, « pain ») a été décrite par le naturaliste suédois Carl von Linné en 1758, dans le genre Dermestes, sous le nom initial de Dermestes paniceus[1].

Elle a été transférée dans le genre Anobium en 1790 par l'entomologiste français Guillaume-Antoine Olivier[2]. En 1860, l'entomologiste russe Viktor Motchoulski en fait le type du nouveau genre Stegobium (du grec ancien στέγος, stégos, « toit », et βίος, bíos, « vie ») qu'il décrit pour distinguer du genre Anobium « les espèces à corps un peu raccourci et ovalaire et à corselet large, arrondi postérieurement »[3].

Les genres Artobium, créé par Mulsant & Rey en 1863, et Sitodrepa, créé par Thomson aussi en 1863, sont des synonymes de genre acceptés[4].

Les genres Autobium, créé par Reiter en 1901, Litropeda, par Stebbing en 1914 et Sidrotepa par Bosq[5] en 1934 sont des erreurs orthographiques[6].

Synonymes modifier

Liste des synonymes publiés par des programmes-cadre de la Commission européenne : Fauna Europaea (2000-2004)[7] et Pan-European Species directories Infrastructure (2008-2011)[4].

Espèce Auteur Année de
publication
Publication
Dermestes paniceus (protonyme) Linnaeus
(la) Caroli Linnaei, Systema naturae per regna tria naturae, secundum classes, ordines, genera, species, cum characteribus, differentiis, synonymis, locis, t. I, Holmiæ, impensis direct. Laurentii Salvii, , 823 p. (lire en ligne), p. 357
Anobium ferrugineum Herbst
(en) Herbst, Fuessly's Archives of Entomolgy, vol. 4, , p. 27
Anobium ireos A. Villa & G. B. Villa
(it) A. Villa & G.B Villa, Coleoptera Europae Dupleta in Collectione Villa, Milano, , p. 33
Anobium minutum Fabricius
Dictionnaire raisonné et universel d'agriculture, Deterville, (lire en ligne), p. 646
Anobium nanum Küster
(de) H.C. Küster, Die Käfer Europas, Nürnberg : Bauer und Raspe, Bd. 19, 1849, p. 45
Anobium obesum Melsheimer
(en) Proceedings of the Academy of Natural Sciences of Philadelphia, vol. 2, no. 12, 1845, p. 309
Anobium tenuestriatum Say
(en) Journal of the Academy of Natural Sciences of Philadelphia, 1825, p. 173
Anobium villosum Melsheimer
Cis bonariensis Steinheil
L'Abeille : journal d'entomologie, Paris, Société entomologique de France, vol. 13, 1875, p. clxxxvii
Cis striatopunctatus Steinheil
L'Abeille : journal d'entomologie, Paris, Société entomologique de France, vol. 13, 1875, p. clxxxvii
Ptinus rubellum Marsham
(en) Nature and Life in Southeast Asia, Fauna and Flora Research Society, 1964, vol. 3-4, p. 200
Ptinus tenuicorne Marsham
(en) Thomas Marsham, Entomologia Britannica, sistens Insecta Britanniae indigena secundum Linneum deposita. Coleoptera, 1802, p. 84
Ptinus testaceus Thunberg
Novae insectorum species descriptae. Nova Acta Regiae Societatis Scientiarium Upsaliensis, vol. 4. p. 1-28.
Ptinus upsaliensis Gmelin
(en) Robert W. Poole & Patricia Gentili (editors), Nomina Insecta Nearctica : A Check List of the Insects of North America, t. 1 : Coleoptera, Strepsiptera, Rockville, Md., Entomological Information Services, (lire en ligne), p. 48
Sitodrepa panicea Thomson

Notes et références modifier

  1. (la) Caroli Linnaei, Systema naturae per regna tria naturae, secundum classes, ordines, genera, species, cum characteribus, differentiis, synonymis, locis, t. I, Holmiæ, impensis direct. Laurentii Salvii, , 823 p. (lire en ligne), p. 357
  2. Guillaume-Antoine Olivier, Entomologie, ou histoire naturelle des insectes, avec leurs caractères génériques et spécifiques, leur description, leur synonymie et leur figure enluminée, vol. 2 : Coléoptères : N° 16, Vrillette, Paris, (lire en ligne), p. 11
  3. Viktor de Motschulsky, « Coléoptères rapportés de la Sibérie orientale et notamment des pays situées [sic] sur les bords du fleuve Amour par MM. Schrenck, Maack, Ditmaar, Voznessenski etc. », dans Leopold von Schrenck, Reisen und Forschungen in Amur-Lande in den Jahren 1854-1856, vol. II, St. Petersburg, Kaiserliche Akademie der Wissenschaften, 1859-1867 (lire en ligne), p. 154-155
  4. a et b « Stegobium paniceum (Linnaeus, 1758) », Recherche du taxon, sur eu-nomen.eu, Pan-European Species directories Infrastructure, (consulté le )
  5. (es) Juan M. Bosq, « Primera lista de coleópteros de la República Argentina dañinos a la Agricultura », Boletín del Ministerio de Agricultura de la Nación, Buenos Aires, Ministro de Agricultura, Ganadería y Pesca, no 4,‎ , p. 313-346.
  6. (en) « GENUS Stegobium Motschulsky, 1860 », Recherche, Collection, Anobiidae, sur insects.tamu.edu, Texas A&M University (consulté le ) : « Department of Entomology »
  7. (en) « Stegobium paniceum (Linnaeus 1758) », Data Base, sur faunaeur.org, Fauna Europaea, (consulté le )