Utilisateur:Michel Abada/Article en cours de modification/Plautilla

Plautilla est une femme romaine, liée aux flaviens, mère de sainte Flavia Domitilla qui aurait été baptisée par l'apôtre Pierre en même temps que sa fille et deux de ses chambellans, les saints Nérée et Achillée, avant que Pierre quitte Rome (vers 60 - 62). Selon la tradition chrétienne, elle aurait aussi été une des témoins de l'exécution de Saint-Paul (Paul de Tarse (vers 67 - 68[1])). Selon la Passion de Paul, elle aurait offert un voile à l'apôtre Paul juste avant son martyr. Cette scène est représentée sur une porte de bronze[2] de la Basilique Saint-Pierre-de-Rome[3], réputée être la reproduction exacte de la porte de la basilique initiale construite au IVe siècle. Selon la tradition orthodoxe, elle serait morte vers 67[3].

Dans la tradition orthodoxe et celles des églises orientales, elle est considérée comme une sainte, fêtée le 20 mai[3].

Sources modifier

Évolution des différents récits
De Rossi

Une ou deux Flavia Domitilla modifier

Elle est surtout connue comme un élément de la controverse sur l'identité de la sainte Flavia Domitilla. En effet, depuis plus d'un siècle un débat existe pour savoir si la tradition chrétienne antique s'est trompée, la sainte Flavia Domitilla n'étant pas la nièce du consul Titus Flavius Clemens, mais sa femme, ce qui impliquerait que Plautilla ne soit pas la mère de la sainte malgré ce que disent plusieurs sources de la tradition antique. Ce débat, existe depuis aussi longtemps car il a d'importantes implications historiennes. Il s'agit notamment de savoir s'il y a eu une Persécution de Domitien ou de savoir s'il y avait un très grand nombre de flaviens qui avaient adopté la religion chrétienne dès les années 60.

Exploration modifier

De Rossi:

« La racine du cognomen Plautilla ne se retrouve point dans ce que nous connaissons de la généalogie des Flaviens : peut-être la femme demeurée inconnue de Titus Flavius Sabinus, père de Clemens et de Plautilla, portait-elle le nom de Plautia, d'où l'on aurait fait dériver, selon l'usage, le cognomen de sa fille : si cette conjecture était vraie, la mère de Plautilla eût été parente du mari de la célèbre Pomponia Græcina. »

[...] Le nom de Plautilla nous rappelait tout à l'heure celui de Plautius, le conquérant de la Bretagne sous Claude, et le mari de Pomponia Græcina, dont Tacite raconte la mystérieuse histoire au troisième livre des Annales (1). Compterons-nous cette noble dame parmi les premières chrétiennes? L'immortel historien nous apprend que, l'an 58, elle fut accusée d'avoir embrassé « une superstition étrangère. » La cause fut déférée au jugement de son mari et de ses proches, qui la déclarèrent innocente. Elle vécut jusqu'à une extrême vieillesse, conservant « une tristesse continuelle. » Personne cependant ne songea dans la suite à renouveler contre elle l'ancienne accusation, et, à la fin, le genre de vie qu'elle avait embrassé « lui tourna en gloire, » mox in gloriam vertit. […] On a récemment découvert dans une chambre du cimetière de Calliste l'inscription funéraire d'un petit-fils chrétien de Pomponia Græcina.

Un point demeure acquis après l'étude rapide à laquelle nous venons de nous livrer : c'est que dès le début de la prédication chrétienne l'Eglise recruta des adhérents dans tous les rangs de la société romaine et non pas, comme on le dit si souvent encore, dans la seule classe des prolétaires et des esclaves. L'histoire du premier âge des catacombes prouvera jusqu'à l'évidence ce fait incontestable.

Aulus Plautus

Aulus Plautus, éventuel mari de Pomponia Græcina est cité en Tacite Agric. XIII, Dion Cassius, Hist. rom., XL, 677, 679, 685 ; Suetone, Néron, XXXV qui rapporte la mort d'un jeune homme (son fils ?) et Pomponia dans des souffrances atroces, sur ordre de Néron.

Liens avec la famille de Nerva modifier

Deux Sergia Plautilla sont notables, toutes deux sont liées avec Gaius Octavius Laenas, l'une étant sa fille, l'autre étant sa sœur. La fille sera l'épouse de l'empereur Nerva.

Arbre généalogique modifier

 
 
 
 
 
 
 
 
Tiberius Plautius Silvanus Aelianus
(45-71)
 
 
 
 
femme inconnue
 
Cnaeus Domitius Corbulo
 
 
 
 
 
Cassia Longina
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Fabia Barbara
 
 
 
 
 
 
 
 
Lucius Aelius Lamia Plautius Aelianus
(c. 45 - 81/96)
 
 
 
 
 
 
 
 
Domitia Longina
 
 
 
 
 
 
 
 
Domitien
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Lucius Ceionius Commodus
 
 
 
Plautia
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Caius Avidius Nigrinus
 
 
 
 
 
 
 
 
Sextus Vettulenus Civica Cerialis
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Lucius Aurelius Verus
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Avidia (Plautia)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Jésus
 
Jacques le Juste
 
Joseph Barsabas
 
 
Jude (apôtre)
 
Simon le Zélote

Lien avec la gens Fulvia modifier

À la fin du IIe siècle on trouve plusieurs Plautilla/Plautien/Plautinus liés à la gens Fulvia:

Ainsi, une importante famille originaire de Lepcis Magna porta le gentilice Fulvius sous l'empire et fut lié de très près à la famille de Septime Sévère :

Une ou deux Flavia Domitilla modifier

Plautilla est surtout connue comme un élément de la controverse sur l'identité de la sainte Flavia Domitilla. En effet, depuis plus d'un siècle un débat existe pour savoir si la tradition chrétienne antique s'est trompée, la sainte Flavia Domitilla n'étant pas la nièce d'un consul Clemens, que la tradition chrétienne médiévale a identifié avec Titus Flavius Clemens, mais la femme de ce même consul, ce qui impliquerait que Plautilla ne soit pas la mère de la sainte malgré ce que disent les Actes des martyres de la vierge sainte Flavia Domitilla et des saints Nérée et Achillée, ainsi que plusieurs sources de la tradition antique, comme des itinéraires vers les tombes des saints, des calendriers et des martyrologes. Ce débat, existe depuis aussi longtemps car il a d'importantes implications historiques. Il s'agit notamment de savoir s'il y a eu une Persécution de Domitien ou de savoir s'il y avait un très grand nombre de flaviens qui avaient adopté la religion chrétienne dès les années 60.

Theodoxa modifier

Dans la Passion de saint Paul modifier

 
La Porte de Filarete dans la Basilique Saint-Pierre au Vatican

Selon la Passion de saint Paul dont la rédaction est traditionnellement attribuée à saint Lin, Plautilla est une dame d'une très noble famille romaine qui donne à saint Paul son voile, qu'il emploie comme bandeau sur les yeux pendant son exécution et qu'il lui rend miraculeusement après. Dans cette version Plautilla n'est pas présente à l'exécution[4]. Comme des dizaines d'autres écrits chrétiens, la Passion de saint Paul a été déclaré apocryphe ultérieurement à une date indéterminée.

La scène de la remise miraculeuse du voile à Plautilla est représentée dans la porte de bronze centrale de la Basilique Saint-Pierre-de-Rome (pas la Porte sainte)[5],[3] Cette porte, la Porte de Filarete, fut faite en 1445 par Le Filarète pour l'ancienne basilique et contient aussi scènes de la mythologie grecque et romaine comme l'enlèvement d'Europe et l'épisode de Dionysos et les pirates, qu'il transforme en dauphins[5]

Les vitraux de Chartres montrent les deux épisodes de la légende de Plautilla et Paul: Plautilla qui donne le voile[6] et Plautilla que le reçoit de Paul après l'exécution[7].

Selon les Actes de Pierre et Paul du VIe siècle, la femme qui donne son voile à Paul s'appelle Perpetua et est aveugle d'un œil. Le voile lui est redonné non pas miraculeusement mais par les soldats chargés de l'exécution. Elle se met le voile et l'œil lui est guéri[8],[9].

Selon Marie-Françoise Baslez, Plautilla a été témoin de l'exécution de Paul en compagnie des saintes Basilisse et Anastasie[1].

Plautilla dans les Actes de Rufine et Seconde modifier

Selon les Actes de Rufine et Seconde les deux sœurs, Rufine et Seconde, sont torturées et tuées pour avoir refusé d'épouser leurs fiancés, qui avaient abandonné la foi chrétienne. On laisse leurs corps là où ils sont mortes, dans le verger une matrone païenne nommée Plautilla, à laquelle les deux sœurs martyres apparaissent dans une vision, la convertissent au Christ, et lui demandent de les ensevelir dans le même endroit[10],[11],[12].

San mention de Plautilla, Rufine e Seconde sont inscrites dans le Martyrologe d'Adon le 10 juillet[13] et encore dans le Martyrologe romain de 2004[14].

Plautilla des Actes des saints Nérée et Achillée modifier

Selon les Actes des saints Nérée et Achillée du Ve ou du VIe siècle, la mère de Flavia Domitilla s'appelait Plautilla et était sœur d'un certain consul Clemens, qui est souvent identifié comme Flavius Clemens[15],[16],[17]. Ayant écouté la prédication de saint Pierre, elle a cru et a été baptisé. Elle a fait baptiser aussi sa fille et les eunuques chambellans, Nérée et Achillée, qu'elle avait acquis. Dans la même année de la conversion et le baptême de Plautilla, Pierre a été martyrisé et Plautilla est morte[18],[19],[20]

Dans le Bulletin d'archéologie chrétienne de 1874 Giovanni Battista De Rossi a fait un bref commentaire sur la différence qui existe entre l'inscription placée par le pape Damase dans le IVe siècle sur le tombeau des martyrs Nérée et Achillée, dans laquelle il les décrit comme des soldats, et cette « légende acceptée par Adon et propagée depuis dans les autres martyrologes »[21]. De cet Adon, Henri Quentin déclare : « Presque partout où la tradition des martyrologes a causé aux historiens de graves embarras, nous avons retrouvé la main de cet auteur... Adon a donc exercé sur le développement de la littérature martyrologique la plus regrettable influence »[22] Adon a utilisé les Acta SS. Nerei et Achillei directement et indirectement dans la composition de son martyrologe[23], mais c'est un auteur plus récent qui a introduit le nom de Plautilla dans un martyrologe : la première forme (1583) du Martyrologe romain inclut comme dernier élément dans sa liste de saints du 20 mai : « Romae sanctae Plautillae foeminae consularis, matris sanctae Flaviae Domitillae, quae a beato Petro Apostolo baptizata, eodem anno quo sanctus Petrus passus est, quievit in pace » (À Rome, sainte Plautille, femme consulaire, mère de la bienheureuse Flavia Domitilla ; ayant été baptisée par l'apôtre saint Pierre, elle mourut dans la paix dans la même année dans laquelle saint Pierre fut mis à mort)[24] En 1586 Caesar Baronius fait une révision du Martyrologe romain et remplace la phrase « eodem anno quo sanctus Petrus passus est » par « omnium virtutum laude refulgens » (avec la réputation d'avoir excellé en toutes sortes de vertus) et corrige l'orthographe de foeminae en feminae[25]. Dans les éditions successives du Martyrologe romain l'éloge de Plautilla est resté dans cette forme jusqu'à la fin du XXe siècle, mais dans l'édition de 2001 on ne la mentionne plus[26].

Quentin observe « qu'il serait aussi imprudent de s'appuyer aveuglément sur le Martyrologe Romain héritier direct des martyrologes du moyen âge, que téméraire de rejetter sur l'autorité ecclésiastique la responsabilité des erreurs qu'il contient »[27]. Et déjà à la fin du XVIIe siècle Adrien Baillet reconnaît que « ce qui reste à corriger dans ce martyrologe pour le rendre digne de l'Église Romaine, n'est pas une petite affaire, à n'y considérer même que ce qui regarde la vie des Saints »[28]. Et des Actes des saints Nérée et Achillée il a dit qu'ils « sont fort corrumpus et peut-être supposés. Ils contiennent des faussetés visibles »[29]. Pour des jugements récents, voir Actes des saints Nérée et Achillée. Et la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements a déclaré, dans son décret de promulgation de l'édition de 2001 du Martyrologe romain, que, en vue de la décision du IIe concile œcuménique du Vatican que les récits du martyre ou de la vie des saints devaient être en accord avec la réalité historique[30], il faut soumettre au jugement de l'investigation historique les noms et les éloges des saints inscrits dans le Martyrologe et les examiner plus attentivement qu'auparavant[26]. Le secrétaire de la Congrégation a observé ; « Le travail le plus forte et complexe au niveau de la rédaction a été certainement la vérification des données concernant les saints les plus anciens, ce qui a entraîné la suppression d'individus d'identité douteuse eregations/ccdds/documents/rc_con_ccdds_doc_20011002_conf-martirologio_it.htmt la correction des dates de culte »[31]

Flavia Domitilla selon Eusèbe de Césarée modifier

Eusèbe de Césarée mentionne une Flavia Domitilla, dont il n'indique pas le nom de la mère. Fille d'une sœur du consul Flavius Clemens, cette Flavia Domitilla est réléguée par Domitien dans l'île Pontia parce qu'elle s'est déclarée chrétienne. Eusèbe en parle dans son Histoire Écclesiastique[32], et dans sa Chronique[33] Georges le Syncelle donne l'information de la Chronique mais en utilisant un mot qui peut signifier soit nièce ou cousine[34]. Selon certains la mention de la nièce (ou cousine) écoule d'une erreur et la seule Flavia Domitilla véritable que Domitien a réléguée est l'épouse de Flavius Clemens, tandis que selon d'autres deux Flavia Domitilla distinctes ont été rélégués par Domitien dans des îles distinctes.

Paul Allard donne en 1892 une liste d'auteurs qui nient la distinction entre ces deux Domitilles (Joseph Juste Scaliger, Nathaniel Lardner, Ernest Renan, Benjamin Aubé, Richard Adelbert Lipsius, Joseph Lightfoot, Stéphane Gsell, Albert Dufourcq) et d'auteurs qui l'affirment (Louis-Sébastien Le Nain de Tillemont, Giovanni Battista De Rossi, Karl Georg Wieseler, Henry Doulcet, Albert Imhof)[35]. À ceux qui l'affirment on peut ajouter Paul Allard même et les contemporains Alessandro Carletti[36] et P. Keresztes[37]. À ceux qui le nient on peut ajouter les contemporains Brian Jones[38], qui dit qu'avant César Baronius il n'y avait personne qui croyait dans l'existence de ces deux Flavia Domitilla[39] et John Granger Cook[40], et, d'une époque déjà lointaine, Edward Gibbon[41]

Dans les éditions du Martyrologe romain revisée en conformité avec les instructions du Concile Vatican II en 2001 et 2004, sainte Domitilla est présentée comme dans les indications d'Eusèbe et de Jérôme, qui dans la lettre où il parle de la vie de Paula de Rome, dit que dans l'île de Pontia « si célèbre par l'exil de Flavia Domitilla, la plus illustre femme de son siècle », Paula a vue « les petites cellules où elle avait souffert un long martyre» »[42]

Ces mêmes éditions ne mentionnent aucune Plautilla.

Église orthodoxe modifier

Dans l'Église orthodoxe, sainte Plautilla est fêtée avec divers autres saints le 20 mai et on raconte que, selon la tradition, elle a été baptisée par saint Pierre, était présente au martyre de saint Paul, est considérée mère de sainte Domitilla et est morte comme martyre dans l'an 67. Dans l'art elle est représentée en offrant le voile à saint Paul au temps de son martyre ou en le recevant des mains de l'apôtre qui lui apparaît et le lui rend[3].

Autres Plautilla modifier

Pour J. Guey, la concession à la ville du ius Italicum résulte d’une faveur impériale accordée lors du passage de Septime Sévère à Leptis 152 . Une dernière voie fut désignée par V. M. Strocka, qui appuie son argumentation sur l’étude des reliefs qui ornaient l’arc quadrifrons sévérien de Leptis Magna 153 : s’il met bien ces reliefs en liaison avec un voyage de Septime Sévère et de la famille impériale, l’absence de Plautianus et de Plautilla, ainsi que le genre de coiffure portée par Caracalla, le conduisent alors à proposer une datation des frises et par conséquent du voyage, comprise entre les années 206 et 209. La date qu’il propose du voyage est donc postérieure à celles émises avant lui par J. Hasebroek et J. Guey, à moins, sug- gère V. M. Strocka, que la venue de l’empereur à Leptis qu’il situe entre 206 et 209 ne résulte d’un deuxième déplacement de Septi- me Sévère en Afrique. Mais ces arguments semblent isolés et n’ont pas encore réussi à convaincre les historiens qui se sont par la suite penchés sur le sujet. Les études plus récentes de M. Cor- bier 154 , T. Kotula 155 et A. R. Birley 156 se rallient préférentielle- ment à une datation d’un unique voyage de Septime Sévère en Afrique en 202-203,

La “edad de oro” durante Elagábalo y Alejandro Severo modifier

Con los sucesores de Caracalla, los empe radores Elagábalo (218-222) y Alejandro Severo (222-235), la situación de los cristi anos mejoró de forma manifiesta. Estos emperadores, según la documentación, parecen haberse mostrado favorables a los cristianos, que habrían gozado de una especi e de “edad de oro” durante el periodo (Santos, 1996:50). El sincretismo de orientac ión oriental y en concreto las corrientes
Note n° 31 :Los decennalia del año 202 coincidieron con el regreso a Roma de Septimio Severo, la boda de Caracalla y Plautilla y la fiesta de natalis de Geta

Notes et références modifier

  1. a et b Marie-Françoise Baslez, Saint Paul, Paris, 2012, éd. Pluriel, p. 291.
  2. La Basilique Saint Pierre de Rome, Porte Sainte à 16 panneaux de bronze.
  3. a b c d et e (el) Grand livre Des saints, Synaxaire orthodoxe, article Ἡ Ἁγία Πλατίλλα ἡ Ρωμαία (La sainte Plautilla de Rome). Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « Plautilla_grec » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  4. Passion de saint Paul dans Dictionnaire des apocryphes, ou Collection de tous les livres apocryphes relatifs à l'Ancien et au Nouveau Testament (Migne 1858), coll. 271–672
  5. a et b The Filarete Door
  6. Panel 31 - Plautilla gives her veil to Paul, en-route to his execution
  7. Panel 33 - After his execution, Paul returns Plautilla's veil
  8. John B. Polhill, Paul and His Letters (B&H Publishing Group 1999 (ISBN 978-0-80541097-6)), p. 444
  9. The Acts of Peter and Paul
  10. Les Actes de sainte Rufine et sainte Seconde
  11. Les 7 Frères et les Stes Rufine et Seconde, martyrs
  12. Martyrs de l'Église primitive
  13. Martyrologe d'Adon, 10 juillet
  14. [Martyrologium Romanum, editio altera (Typis Vaticanis 2004 (ISBN 978-88-209-7210-3)), p. 380
  15. Édition de Laurentius Surius
  16. Édition des Bollandistes Henschen et Papenbroeck
  17. Texte grec, p. 8
  18. Édition de Laurentius Surius des Acta SS. Nerei et Achillei
  19. Édition de Henschen et Papenbroeck
  20. Texte grec, p. 8
  21. "Découverte de la basilique de sainte Pétronille, et du tombeau des martyrs Nérée et Achillée, au cimitière de Domitille" dans Bulletin d'archeologie chretienne de M. le commandeur J.B. de'Rossi (Belley 1874)
  22. Henri Quentin, Les martyrologes historiques du Moyen-Âge (Paris 1908), p. 687
  23. Quentin, p. 563
  24. Martyrologium Romanum (Venise 1583)
  25. Martyrologium Romanum (Rome 1586)
  26. a et b Martryrologium Romanum ex decreto sacrosancti oecumenici Concilii Vaticani II instauratum auctoritate Ioannis Pauli PP. II promulgatum (Typis Vaticanis 2001) (ISBN 88-209-7210-7)
  27. Quentin, p. 689
  28. Adrien Baillet, Les vies des saints composées sur ce qui nous est resté de plus autentique et de plus assuré dans leur Histoire (Nouvelle édition, Paris 1739), tome I, p. xxxviii
  29. Adrien Baillet, Les vies des saints composées sur ce qui nous est resté de plus autentique et de plus assuré dans leur Histoire (Nouvelle édition, Paris 1739), tome IV, p. x
  30. Sacrosanctum Concilium, 92 c
  31. Conférence de presse de présentation du Martyrologe romain de 2001
  32. Eusèbe de Césarée, Histoire Écclesiastique, livre III, chapitre 18 (traduction française)
  33. Chronique (traduction latine par Jérôme)
  34. Cité dans John Granger Cook, Roman Attitudes Toward the Christians: From Claudius to Hadrian (Mohr Siebeck 2011 (ISBN 978-3-16150954-4)), p. 130
  35. Paul Allard, Histoire des persécutions pendant les deux premiers siècles (troisième édition, Paris 1903), pp. 113–114
  36. Alessandro Carletti, Santa Flavia Domitilla Martire
  37. Andrew Cain, Jerome's Epitaph on Paula: A Commentary on the Epitaphium Sanctae Paulae with an Introduction, Text, and Translation (Oxford University Press 2013 (ISBN 978-0-19967260-8)), p. 196
  38. Brian Jones, The Emperor Domitian (Routledge 2002 (ISBN 978-1-13485313-7)), p. 48
  39. Jones, The Emperor Domitian, p. 116
  40. John Granger Cook, Roman Attitudes Toward the Christians: From Claudius to Hadrian (Mohr Siebeck 2011 (ISBN 978-3-16150954-4)), p. 129
  41. Edward Gibbon, The History of the Decline and Fall of the Roman Empire (Cambridge University Press 2013 (ISBN 978-1-10805072-2)), vol. 2, p. 91
  42. Jérôme, Lettre CVIII, 7 (chapitre III)