Utilisateur:Juliettes/anatomie du chat
Morphologie
modifierLa tête
modifierComme chez la plupart des mammifères, chez le chat c'est tête qui est le plus sujet à des variations, on y trouve ainsi de nombreux repères important sur le plant morphologique et esthétique. Le stop est le point centrale de la tête qui marque une séparation entre le crâne et la face. Selon les chats il peut former une marche très nette comme chez le persan, ou au contraire être casiment absent, comme chez le siamois. En avant du stop, l'espace se trouvant jusqu'à la truffe s'appelle le chanfrein, tandis que celui qui se trouve à l'arrière du stop et qui va jusqu'aux oreilles s'appelle le front. Ses caractéristiques sont particulièrement utile pour décrire la morphologie de la tête du chat et sont souvent utilisé pour les standards de races. Cependant ont utilise aussi la distance qui séparent les arcades zygomatiques, relief osseux très nets, palpables entre l'oeil et l'oreille, pour définir la largeur de la tête, paramètre complémentaire au deux précédente.
Les yeux
modifierLes yeux sont placés dans un plan relativement antérieur pour un carnivore[Note 1], ils ont une forme en amande plus ou moin marqué selon les races. Contrairement aux autres espèces domestique, la couleur des yeux est un élément important dans la description de certaines race. Cette couleur est le plus souvent jaune-orangé, vert ou bleu et est particulièrement visible en pleine lumière lorsque la pupille est le plus contractée.
Les oreilles
modifierAlors que chez le chiens, la forme des oreilles peut prendre des position relativement nombreuse, chez le chat, celle-ci reste relativement uniforme d'une race à l'autre. On observe cependant quelque différence selon la taille de la tête qui peut faire varier l'écartement. Il existe aussi une mutation génétique chez le scottish fold qui provoque le replis des oreilles à leur pointe. Le pavillon est très mobile et est plus ou moins recouvert de poil selon les races, mais il y est toujours plus court que sur les autres parties du corps.
La truffe et les vibrisses
modifierLa truffe est toujours humide et plus ou moins pigmentée. Elle est séparé de la bouche par le philtrum, là où les deux lèvres supérieures fusionnent incomplètement. Ces lèvres portent les vibrisses sur quatre à cinq rangées. On en retrouve aussi au-dessus des yeux et sous la bouche. Ces longs poils poils très innervés à la base, ont un rôle tactile primordial dans les mouvement de la tête et de la gueule.
La dentition
modifierLe chat adulte compte en tout 30 dents, soit pour une demi-mâchoire: trois incisives, une canine, trois prémolaires et une molaire au maxillaire, deux prémolaires et une molaire à la mandibule. Les incisive sont très petites et ont un rôle mineur. Les incisives centrales sont appelées les pinces tandis que les latérales sont les mitoyennes et les plus latérales sont nommées les coins. On trouve en arrière de la dentition les prémolaires et les molaires ainsi qu'une paire de dents particulières au carnivore, les carnassières, constitué de la troisième prémolaire supérieur et de la première molaire inférieur. Ces dents sont de véritable cisailles naturelles et les plus importantes chez le chat domestique car les canines ne lui servent plus à tuer leurs proies. Les dents présentes avant les carnassière sont dites précarnassières tandis que celles en arrière sont les tuberculeuse. Comme chez tout les mammifères, la dentition adulte est précédée d'une dentition lactérale composé de 26 dents, les molaires étant absente. Cette première dentition apparait vers trois semaines pour les incisive et les canines et vers sept pour les prémolaires. Ces dents sont remplacé vers l'âge de 4 à 7 mois.
Le tronc
modifierL'encolure, qui relie la tête et le tronc présente peu de repère, cependant le tronc est très utile pour la compréhension des bases de l'anatomie et de la physiologie. Le garrot est un des point de repère les plus utilisé pour mesurer la taille. On trouve ensuite le dos, le rein puis la croupe. L'hypocondre ou arc costal est une ligne qui unit l'arrière des dernières côtes, elle sépare le thorax de l'abdomen. "note". Les extrémités des membres peuvent être plus ou moins rondes selon les races, ces différences sont généralement plus marqué au postérieurs. Contrairement au chien la queue marque peu de différence d'une race à l'autre, si ce n'est une différence de taille, les persans ont par exemple une queue plus petite que les autres races. La seul modification important qui est à noter est la mutation génétique présente chez le Manx, qui n'a pas de queue.
Les trois types de morphologie
modifierAppareil locomoteur
modifierLe squelette
modifierLes muscles
modifierLes allures
modifierPhysiologie
modifierL'appareil digestif
modifierL'appareil Cardio-respiratoire
modifierL'appareil uro-génital
modifierLes organes des sens
modifierL'odorat
modifierLe goût
modifierLa vue
modifierLe toucher
modifierL'ouïe
modifierNotes
modifier- Ceci est dut au faite que la face du chat est plus développer que le loup et la fouine par exemple, qui ont eux, les yeux rejetés plus latéralement.
Références
modifierBibliographie
modifier- Muriel Alnot-Perronin, Colette Arpaillage et Patrick Pageat, Le traité rustica du chat, Paris, Rustica, 2006, (ISBN 2840386801)
- Pierre Rousselet-Blanc, Larousse du Chat, Larousse, Paris, 2000. (ISBN 2035174295)
- Pierre Rousselet-Blanc, Le chat, Larousse, Paris, 1992, (ISBN 2035174023)
- Paul-Henry Carlier, Les chats, Nathan, Paris, 1983, (ISBN 2092842439)